Dimension Parallèle by dF Lyrics
[Couplet 1]
Sens ton corps se délester, quitter l'atmosphère terrestre et
Se délecter d'cette légèreté de l'âme que l'intellect a déserté
La sérénité germe, j'entends le reste du monde jacter
Par accident voilà qu't'es dans ma galaxie non c'est pas la voie lactée
Soudain nos préoccupations s'effacent
Oublions cet enfer dont on s'écarte
La Terre est bien plus belle vue de l'espace
Partons loin pour témoigner de sa clarté
Et l'être humain manque de tact
La haine combat l'espoir de chacun et
Les contacts sont devenus néfastes
Chacun son chagrin, chacun son aparté
[Refrain 1]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent peut valoir son livre
À quoi bon avoir sans vivre ?
Le travail c'est l'abattoir
[Couplet 2]
Et le monde t'attriste, et l'écran parle
Tout va tellement vite et c'est tellement sale
Que tu réalises qu'une vie livide et vide
De sens évite d'avoir vraiment mal...
Préservons ta santé mentale
Laisse-moi t'amener loin d'ici, laisse-toi charmer
L'humanité connaît son tournant
Chacun porte son tourment
Tout le monde souffre. Chacun son tour, nan ?
Faut-il y croire ? Tous mentent
Tu sais les dissidents sont tous morts
Il n'y aura guère de révolution
La sélection est naturelle et ton esclavage
N'est qu'un procédé d'évolution
[Refrain 2]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent peut valoir son livre
À quoi bon vivre sans avoir ?
Tu sais le travail rend libre
[Couplet 3]
Et j'entends parler de liberté
J'ai peut-être manqué de poigne et
Laissé trop de choix et de droits à l’illettré
Qu'il oublie les chaînes à ses poignets
Vous avez les rêves d'insurrection moi
J'aurais voulu vous épargner, vous le fond du panier
Vous souhaitez la guerre, vous allez la perdre
Il est des combats qu'on ne peut gagner
Je vous ai tout donné, ingrats
Haineux, mon système vaincra
Même si'l faut vous injecter
Le respect par intraveineuse
Vous avez besoin de dirigeants
Besoin de limites et d'élites
De dénier ses militants débitant des litres
De leurs principes anarchistes et débilitants
[Refrain 2]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent vaut bien tous les livres
Si le travail c'est l'abattoir
Et bien que la mort vous délivre
[Couplet 4]
J'entends la foule gronder
Les premiers canons soudainement
Si l'envie vous prend j'irais vous montrer
Comment j'écrase un soulèvement
J'entends la foule gronder
Les premiers canons soudainement
Si l'envie vous prend j'irais vous montrer
Comment j'écrase un soulèvement
Et le monde est à moi, la devise
Diviser pour mieux régner
Décrédibiliser l'opposition pour la saigner
Viser l'espoir et l'inhiber
Entendez ma voix, craignez-la
Comme vous craignez vos divinités
Soumettez vous, suivez ma voie et
Bienvenue dans un monde civilisé
Attardés de merde, vous ne servez qu'à payer la dette
Payer la dette, payer la dette !
Il faut parfois savoir sacrifier l'adepte
De la compassion ? Vous vous payez ma tête ?
Le prolo a du mal à s'adapter, les torts
Sont les siens, rien ne sert d'aller gratter l'écorce
Maîtriser les forts et mépriser ces chiens
Aveugler le borgne et ses biens seront miens
Tous ces cerveaux malades seront traqués
Braquez-les, cramez les morts videz les coffres
Le moral sapé, la révolte sera matée
Drapez-les, cachez les corps, parez les fosses
Vous n'êtes que des esclaves et des bêtes à dompter
Des vaches à lait qu'on affale et qu'on gave à l'aide de
Banalités, des animaux malades et qui salivent à l'idée
D'aller s'aligner, consommer, saliver
Travail à la chaîne, servile et légalisé
J'ai dévalisé le monde et baisé l'humanité
L'unanimité n'est pas là mais le mal est déjà validé
J'ai semé la mort et redéfini l'égalité
La finance est le corps de l'injustice
Et quand rébellion des foules sera déclenchée
Solution finale aura son supplice :
Des enfants mort-nés et des têtes tranchées
J’vous mens, j’vous mens
Et souvent ouvertement
La finance au gouvernement
La plèbe attend le bouleversement...
J’vous mens, j’vous mens
Et souvent ouvertement
La finance au gouvernement
La plèbe attend le bouleversement...
Sens ton corps se délester, quitter l'atmosphère terrestre et
Se délecter d'cette légèreté de l'âme que l'intellect a déserté
La sérénité germe, j'entends le reste du monde jacter
Par accident voilà qu't'es dans ma galaxie non c'est pas la voie lactée
Soudain nos préoccupations s'effacent
Oublions cet enfer dont on s'écarte
La Terre est bien plus belle vue de l'espace
Partons loin pour témoigner de sa clarté
Et l'être humain manque de tact
La haine combat l'espoir de chacun et
Les contacts sont devenus néfastes
Chacun son chagrin, chacun son aparté
[Refrain 1]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent peut valoir son livre
À quoi bon avoir sans vivre ?
Le travail c'est l'abattoir
[Couplet 2]
Et le monde t'attriste, et l'écran parle
Tout va tellement vite et c'est tellement sale
Que tu réalises qu'une vie livide et vide
De sens évite d'avoir vraiment mal...
Préservons ta santé mentale
Laisse-moi t'amener loin d'ici, laisse-toi charmer
L'humanité connaît son tournant
Chacun porte son tourment
Tout le monde souffre. Chacun son tour, nan ?
Faut-il y croire ? Tous mentent
Tu sais les dissidents sont tous morts
Il n'y aura guère de révolution
La sélection est naturelle et ton esclavage
N'est qu'un procédé d'évolution
[Refrain 2]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent peut valoir son livre
À quoi bon vivre sans avoir ?
Tu sais le travail rend libre
[Couplet 3]
Et j'entends parler de liberté
J'ai peut-être manqué de poigne et
Laissé trop de choix et de droits à l’illettré
Qu'il oublie les chaînes à ses poignets
Vous avez les rêves d'insurrection moi
J'aurais voulu vous épargner, vous le fond du panier
Vous souhaitez la guerre, vous allez la perdre
Il est des combats qu'on ne peut gagner
Je vous ai tout donné, ingrats
Haineux, mon système vaincra
Même si'l faut vous injecter
Le respect par intraveineuse
Vous avez besoin de dirigeants
Besoin de limites et d'élites
De dénier ses militants débitant des litres
De leurs principes anarchistes et débilitants
[Refrain 2]
À quoi bon s'armer de savoir ?
L'argent vaut bien tous les livres
Si le travail c'est l'abattoir
Et bien que la mort vous délivre
[Couplet 4]
J'entends la foule gronder
Les premiers canons soudainement
Si l'envie vous prend j'irais vous montrer
Comment j'écrase un soulèvement
J'entends la foule gronder
Les premiers canons soudainement
Si l'envie vous prend j'irais vous montrer
Comment j'écrase un soulèvement
Et le monde est à moi, la devise
Diviser pour mieux régner
Décrédibiliser l'opposition pour la saigner
Viser l'espoir et l'inhiber
Entendez ma voix, craignez-la
Comme vous craignez vos divinités
Soumettez vous, suivez ma voie et
Bienvenue dans un monde civilisé
Attardés de merde, vous ne servez qu'à payer la dette
Payer la dette, payer la dette !
Il faut parfois savoir sacrifier l'adepte
De la compassion ? Vous vous payez ma tête ?
Le prolo a du mal à s'adapter, les torts
Sont les siens, rien ne sert d'aller gratter l'écorce
Maîtriser les forts et mépriser ces chiens
Aveugler le borgne et ses biens seront miens
Tous ces cerveaux malades seront traqués
Braquez-les, cramez les morts videz les coffres
Le moral sapé, la révolte sera matée
Drapez-les, cachez les corps, parez les fosses
Vous n'êtes que des esclaves et des bêtes à dompter
Des vaches à lait qu'on affale et qu'on gave à l'aide de
Banalités, des animaux malades et qui salivent à l'idée
D'aller s'aligner, consommer, saliver
Travail à la chaîne, servile et légalisé
J'ai dévalisé le monde et baisé l'humanité
L'unanimité n'est pas là mais le mal est déjà validé
J'ai semé la mort et redéfini l'égalité
La finance est le corps de l'injustice
Et quand rébellion des foules sera déclenchée
Solution finale aura son supplice :
Des enfants mort-nés et des têtes tranchées
J’vous mens, j’vous mens
Et souvent ouvertement
La finance au gouvernement
La plèbe attend le bouleversement...
J’vous mens, j’vous mens
Et souvent ouvertement
La finance au gouvernement
La plèbe attend le bouleversement...