Le velours du soir by VAGUES Lyrics
Il demeure dans des sortes de limbes
Il s'accapare puis laisse choir son ombre
Jette un regard par la fenêtre
Admire le velours du soir prendre déjà l'avenue d'en face
Ces ombres lestes
Equivoques et troubles
Hésitant d'un trottoir à l'autre
Avant d'aller verser dans le noir pour fondre l'oubli sur la ville
Une escadre de bateaux sans bruits
Venus là de partout pour attendre
Que s'ouvre sans esclandre les grandes portes de la nuit
S'il y avait eu un moment de silence on aurait pu songer à renoncer à tout, à essayer d'oublier qu'il fallait vivre
Mais la vie nous traquait
Il ne discernait plus
Il ne distinguait plus
Rien
On s'est penchés
On repenchait
Qu'on épanchait
Au-dessus du vide
On s'est penchés
On repenchait
Qu'on épanchait
Sur nos corps avides
On s'est penchés
Sombres pensées
Qu'on épanchait
Dans les terres arides
On s'est penchés
Sombres pensées
Qu'on épanchait
Au-dessus du vide
Le ciel semble refléter la vaste étendue de nos tourments sous une pluie de questions avec des regrets et des nuages
Ainsi tourne le monde au travers de l'obscurité menaçante et silencieuse, oh, on se méfie de la lumière, on préfère la nuit
Il n'y a de terrible en nous sur la terre et dans le ciel peut être que ce qui n'a pas été dit
On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit une bonne fois pour toute
Alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire. On sera délestés
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Il s'accapare puis laisse choir son ombre
Jette un regard par la fenêtre
Admire le velours du soir prendre déjà l'avenue d'en face
Ces ombres lestes
Equivoques et troubles
Hésitant d'un trottoir à l'autre
Avant d'aller verser dans le noir pour fondre l'oubli sur la ville
Une escadre de bateaux sans bruits
Venus là de partout pour attendre
Que s'ouvre sans esclandre les grandes portes de la nuit
S'il y avait eu un moment de silence on aurait pu songer à renoncer à tout, à essayer d'oublier qu'il fallait vivre
Mais la vie nous traquait
Il ne discernait plus
Il ne distinguait plus
Rien
On s'est penchés
On repenchait
Qu'on épanchait
Au-dessus du vide
On s'est penchés
On repenchait
Qu'on épanchait
Sur nos corps avides
On s'est penchés
Sombres pensées
Qu'on épanchait
Dans les terres arides
On s'est penchés
Sombres pensées
Qu'on épanchait
Au-dessus du vide
Le ciel semble refléter la vaste étendue de nos tourments sous une pluie de questions avec des regrets et des nuages
Ainsi tourne le monde au travers de l'obscurité menaçante et silencieuse, oh, on se méfie de la lumière, on préfère la nuit
Il n'y a de terrible en nous sur la terre et dans le ciel peut être que ce qui n'a pas été dit
On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit une bonne fois pour toute
Alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire. On sera délestés
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller
Et le noir sous les réverbères continue de briller