VERTUEUX VICE by Tratre Clin Lyrics
J*$n7 entre dans la ville de Jérusalem et se rend au Temple pour aller prier YHWH, son Père. Quand il arrive, il voit des marchands de colombes, et aussi les tables des changeurs d’argent. Alors J3znS se met en colère et pour chasser tous les marchands du Temple, il renverse les tables et les chaises des vendеurs. Et il leur dit très fort : « Il est écrit que la maison dе mon Père est appelée une maison de prière. Et vous, vous l’avez transformée en un repaire de brigands ! »
Combien de corps perdus que la secte engraina ?
Qui occulte l’horloge que l’apôtre engrena ?
Des chimères de misère sous leur habit grenat
Qui auscultent les chairs comme on ouvre une grenade
De sibyllins sicaires, les sourires assortis
Vices plein les viscères, des satyres assombris
De si vilains vicaires qui se cachent sous vos lits
Lissent bien le suaire où s’attache la folie !
Assassin au cimeterre à la lance à la croix
Incessant cimetière, alliance de roi
Asséchant Déméter, sa semence et ses lois
Assenant Lucifer de semonce, de son poids
Camarilla du cloitre, fieffé de fortune
Impertinente prière, impudeur importune
Iscariote aristocratique, pendu dans les dunes
Miséreux missel, démystifiée lacune
De si belles cicatrices, le rictus rétréci
Coupure viciatrice à l’étanche frénésie
Décibel catharsis avalanche d’hérésie
Au ciel l’avarice, aux cieux l’infamie !
Suspension consentie de l’incrédulité
À trop voir Dieu, on n’y voit plus aucune utilité
Car derrière les sévices de l’expiation
Se cache le mensonge de l’illustration
Conception consentie de l’Inimmaculée
Puis l’adieu de ceux qui t’ont juré fidélité
Entre-temps le désert et ses tentations
Puis le drame de ta chair peu illustre à Sion
Combien de corps perdus que la secte engraina ?
Qui occulte l’horloge que l’apôtre engrena ?
Des chimères de misère sous leur habit grenat
Qui auscultent les chairs comme on ouvre une grenade
De sibyllins sicaires, les sourires assortis
Vices plein les viscères, des satyres assombris
De si vilains vicaires qui se cachent sous vos lits
Lissent bien le suaire où s’attache la folie !
Assassin au cimeterre à la lance à la croix
Incessant cimetière, alliance de roi
Asséchant Déméter, sa semence et ses lois
Assenant Lucifer de semonce, de son poids
Camarilla du cloitre, fieffé de fortune
Impertinente prière, impudeur importune
Iscariote aristocratique, pendu dans les dunes
Miséreux missel, démystifiée lacune
De si belles cicatrices, le rictus rétréci
Coupure viciatrice à l’étanche frénésie
Décibel catharsis avalanche d’hérésie
Au ciel l’avarice, aux cieux l’infamie !
Suspension consentie de l’incrédulité
À trop voir Dieu, on n’y voit plus aucune utilité
Car derrière les sévices de l’expiation
Se cache le mensonge de l’illustration
Conception consentie de l’Inimmaculée
Puis l’adieu de ceux qui t’ont juré fidélité
Entre-temps le désert et ses tentations
Puis le drame de ta chair peu illustre à Sion