Par Habitude by Tratre Clin Lyrics
Sombre atome à la graine stérile
Tu ensemences les cimetières d’un geste de vide
Tes espoirs en chiens de morgues serviles
Qui creusent des clochers sur nos faces livides
Insomniaque à l’aller, mais pas au retour
Tous tes pas-à-pas sont des comptes à rebours
Tous tes corps-à-corps en linceul de velours
La nuit tape à la fenêtre ? Le jour fait le sourd
J’ai vu tes ongles griffer l’odeur du temps
Et tes yeux suicidés à la solde du néant
J’ai vu ses récifs, senti ses courants
J’ai vu le liquide couler derrière ses dents
Océan des ombres ou génocides célestes
Agonisant ressac par la merde ébruitée
Il ne suffit que d’une corde pour perdre son leste
Tes tombes sont toutes en voix d’ébriété
Tu n’es qu’une caricature de la mort
Un ersatz de la vie
Une pâle copie d’une idole qu’on adore
Et qui en vain nous embellit
Tu ensemences les cimetières d’un geste de vide
Tes espoirs en chiens de morgues serviles
Qui creusent des clochers sur nos faces livides
Insomniaque à l’aller, mais pas au retour
Tous tes pas-à-pas sont des comptes à rebours
Tous tes corps-à-corps en linceul de velours
La nuit tape à la fenêtre ? Le jour fait le sourd
J’ai vu tes ongles griffer l’odeur du temps
Et tes yeux suicidés à la solde du néant
J’ai vu ses récifs, senti ses courants
J’ai vu le liquide couler derrière ses dents
Océan des ombres ou génocides célestes
Agonisant ressac par la merde ébruitée
Il ne suffit que d’une corde pour perdre son leste
Tes tombes sont toutes en voix d’ébriété
Tu n’es qu’une caricature de la mort
Un ersatz de la vie
Une pâle copie d’une idole qu’on adore
Et qui en vain nous embellit