Par Dépit by Tratre Clin Lyrics
Voyage dérisoire de l’astre à l’église
Péages d’abattoir où tes sens se divisent
Lange sali par le sang de ton visage où survie
L’ange ingrat des charniers aux fragrances en sursis
Tu culpabilises, le fait d’avoir vécu
Ce jour dans le désert où tu violas tes ingénus
Tu évangélises, le bleu une fois nu
La nuit où rêvent nos vieux démons à la mue de vertu
Il y a quelque chose de pourri au royaume des Cieux :
Un fruit trop mûr, une égérie qui de peur s’ouvre en deux
Puis tombe, éclate et repeint l’âme de ce livide lieu
Ici les murs sont faits de mains et les ventres de nœuds
Sourd soir où j’évitais tes vanités :
Suaires sales évidés dans des bénitiers
Oripeaux de peste, tu t’en pares en apnée
Or il n’y a que des restes que t’empare les années
C’est ta chair qu’aujourd’hui en obole on débite
On en nourrit les singes qui autour de toi gravitent
Et la chaire d’où se scandent tes douleurs émérites
Ne déloge pas tes orbites de l’or du zénith
Il y a quelque chose de pourri au royaume des Cieux :
Un fruit trop mûr, une égérie qui de peur s’ouvre en deux
Puis tombe, éclate et repeint l’âme de ce livide lieu
Ici les murs sont faits de mains et les ventres de nœuds
Albe Aube où j’étirais tes vérités
Rare arme tombée aux mains des héritiers
Horrible être à la chair non encore née
Corps indigeste par la douceur tâchée
Sordide antenne tout droit sortie de ta comptine
Tu continues à gratter inlassablement les mots aveugles de ton abîme
J’ai vérifié derrière tes frasques et j’y ai vu des bijoux
Ils étaient aussi rouges que la lymphe qui coule sur tes joues
Péages d’abattoir où tes sens se divisent
Lange sali par le sang de ton visage où survie
L’ange ingrat des charniers aux fragrances en sursis
Tu culpabilises, le fait d’avoir vécu
Ce jour dans le désert où tu violas tes ingénus
Tu évangélises, le bleu une fois nu
La nuit où rêvent nos vieux démons à la mue de vertu
Il y a quelque chose de pourri au royaume des Cieux :
Un fruit trop mûr, une égérie qui de peur s’ouvre en deux
Puis tombe, éclate et repeint l’âme de ce livide lieu
Ici les murs sont faits de mains et les ventres de nœuds
Sourd soir où j’évitais tes vanités :
Suaires sales évidés dans des bénitiers
Oripeaux de peste, tu t’en pares en apnée
Or il n’y a que des restes que t’empare les années
C’est ta chair qu’aujourd’hui en obole on débite
On en nourrit les singes qui autour de toi gravitent
Et la chaire d’où se scandent tes douleurs émérites
Ne déloge pas tes orbites de l’or du zénith
Il y a quelque chose de pourri au royaume des Cieux :
Un fruit trop mûr, une égérie qui de peur s’ouvre en deux
Puis tombe, éclate et repeint l’âme de ce livide lieu
Ici les murs sont faits de mains et les ventres de nœuds
Albe Aube où j’étirais tes vérités
Rare arme tombée aux mains des héritiers
Horrible être à la chair non encore née
Corps indigeste par la douceur tâchée
Sordide antenne tout droit sortie de ta comptine
Tu continues à gratter inlassablement les mots aveugles de ton abîme
J’ai vérifié derrière tes frasques et j’y ai vu des bijoux
Ils étaient aussi rouges que la lymphe qui coule sur tes joues