Limbes by Toziako Lyrics
Couplet 1:
On veut te faire descendre t’as même pas le temps de monter
Je me prends la tête car j'suis pas assez souple pour prendre mon pied
Bienvenue enchanté, de plus en plus lourd j’brûle les étapes, pas les calories, sans me vanter
Y’a plus le temps donc je kick ça fissa
D’humeur sombre, putin trop de problèmes qui visent la mifa
L’argent ne fait pas le bonheur, mais qui a dit ça ?
Les jeunes veulent plus d’oseille que le dealer de Wiz Khalifa
Tes dix doigts qui zappent, devant la télé que le vice attisa
Ta tise, ta pizza, en kiff devant des dji-ga bizarres
A la recherche de « bad bitches » y’a que les sages qui pigent
Qu’elles n’entraîneront que de sales litiges
C’est triste, même les meufs se revendiquent tapin
Depuis que les modèles à la télé sont de petites catins
La tentation est rude je crains
Que certains soient déjà tombés pour une chute de reins
Leur société s’écroule, pire fabrique des frustrés
Cela découle de l’empire de ce que leurs ruses créent
Le monde est cool mais je devrais vomir pour l’illustrer
Tout part en couille donc tu peux venir me les lustrer
Couplet 2 :
On veut te f aire descendre t’as même pas le temps de monter
L’orage est proche, depuis ma fenêtre je peux l’entendre gronder
Y’a plus vraiment de bonté
Bien souvent c’est tout pour les intérêts même l’amour ne se donne plus sans compter
Plus le temps donc je gratte mes 16
C’est que d’la musique frérot mais faut que t’en fasse des caisses
Je suis venu en paix donc je ne dirais pas que je les baise
Mais avec ta langue de pute faut que tu me décrasses les fesses
Donc me cherche pas des poux j’ai pas la tête qui gratte
Mets pas le feu aux poudres comme l’allumette qui craque
Et puis je suis pas un rappeur je suis juste un mec qui rap
Et toi t’es pas un jacteur t’es juste une merde qui jacte
Toziak, j’suis pas vraiment sportif mais je cours à ma perte
En cherchant toute sorte d’échappatoire pour pas l’admettre
Je suis bon qu’à me détruire, jeter mes sous par la fenêtre
Par bêtise ou par mal-être, j’finirai par me la mettre
C’est pas pour la street, c’est du son pour qui l’ressent
Ceux qui aiment la zik, qui ne peuvent pas vivre sans
Ils sont pleins de bon sentiments mais bien souvent vide de sens
J’écoute le rap game en chantonnant vive le vent
J’fais ça pour de vrai quand tu fais ça pour le blé
J’fais ça pour œuvrer quand tu fais ça pour meubler
T’es pas fou je sais, tu vois ce que t’as sous le nez
Et qu’sur un coup de dé ta carrière peut se soulever
Couplet 3 :
On veut te faire descendre t’as même pas le temps de monter
On fait que se plaindre, en oubliant qu’on est en bonne santé
On fait rien sans se tromper
Le plus important pour tenir le coup c’est de mettre du sens dans ce qu’on fait
Y’a plus le temps donc je crache le verbe
J’vois les nouvelles générations et des claques se perdre
Depuis qu’elle est partie j’ai le mal de mère
Donc je me jette à l’eau et me noie dans un pack de bière
Un sac de pierre, attaché autour de la cheville
J’régresse d’homme à primate, de papillon à chenille
J’croule sous une multitude de doutes
J’suis qu’une goutte dans l’océan
Mais l’océan lui-même n’est qu’une multitude de gouttes
Sous les turpitudes debout
J’tente le tout pour le tout même quand j’accuse le coup
Et dans ce monde j’vois des trucs de fou
Tant pis avec le temps, on prend l’habitude de tout
On veut te faire descendre t’as même pas le temps de monter
Je me prends la tête car j'suis pas assez souple pour prendre mon pied
Bienvenue enchanté, de plus en plus lourd j’brûle les étapes, pas les calories, sans me vanter
Y’a plus le temps donc je kick ça fissa
D’humeur sombre, putin trop de problèmes qui visent la mifa
L’argent ne fait pas le bonheur, mais qui a dit ça ?
Les jeunes veulent plus d’oseille que le dealer de Wiz Khalifa
Tes dix doigts qui zappent, devant la télé que le vice attisa
Ta tise, ta pizza, en kiff devant des dji-ga bizarres
A la recherche de « bad bitches » y’a que les sages qui pigent
Qu’elles n’entraîneront que de sales litiges
C’est triste, même les meufs se revendiquent tapin
Depuis que les modèles à la télé sont de petites catins
La tentation est rude je crains
Que certains soient déjà tombés pour une chute de reins
Leur société s’écroule, pire fabrique des frustrés
Cela découle de l’empire de ce que leurs ruses créent
Le monde est cool mais je devrais vomir pour l’illustrer
Tout part en couille donc tu peux venir me les lustrer
Couplet 2 :
On veut te f aire descendre t’as même pas le temps de monter
L’orage est proche, depuis ma fenêtre je peux l’entendre gronder
Y’a plus vraiment de bonté
Bien souvent c’est tout pour les intérêts même l’amour ne se donne plus sans compter
Plus le temps donc je gratte mes 16
C’est que d’la musique frérot mais faut que t’en fasse des caisses
Je suis venu en paix donc je ne dirais pas que je les baise
Mais avec ta langue de pute faut que tu me décrasses les fesses
Donc me cherche pas des poux j’ai pas la tête qui gratte
Mets pas le feu aux poudres comme l’allumette qui craque
Et puis je suis pas un rappeur je suis juste un mec qui rap
Et toi t’es pas un jacteur t’es juste une merde qui jacte
Toziak, j’suis pas vraiment sportif mais je cours à ma perte
En cherchant toute sorte d’échappatoire pour pas l’admettre
Je suis bon qu’à me détruire, jeter mes sous par la fenêtre
Par bêtise ou par mal-être, j’finirai par me la mettre
C’est pas pour la street, c’est du son pour qui l’ressent
Ceux qui aiment la zik, qui ne peuvent pas vivre sans
Ils sont pleins de bon sentiments mais bien souvent vide de sens
J’écoute le rap game en chantonnant vive le vent
J’fais ça pour de vrai quand tu fais ça pour le blé
J’fais ça pour œuvrer quand tu fais ça pour meubler
T’es pas fou je sais, tu vois ce que t’as sous le nez
Et qu’sur un coup de dé ta carrière peut se soulever
Couplet 3 :
On veut te faire descendre t’as même pas le temps de monter
On fait que se plaindre, en oubliant qu’on est en bonne santé
On fait rien sans se tromper
Le plus important pour tenir le coup c’est de mettre du sens dans ce qu’on fait
Y’a plus le temps donc je crache le verbe
J’vois les nouvelles générations et des claques se perdre
Depuis qu’elle est partie j’ai le mal de mère
Donc je me jette à l’eau et me noie dans un pack de bière
Un sac de pierre, attaché autour de la cheville
J’régresse d’homme à primate, de papillon à chenille
J’croule sous une multitude de doutes
J’suis qu’une goutte dans l’océan
Mais l’océan lui-même n’est qu’une multitude de gouttes
Sous les turpitudes debout
J’tente le tout pour le tout même quand j’accuse le coup
Et dans ce monde j’vois des trucs de fou
Tant pis avec le temps, on prend l’habitude de tout