Mangrove by Toukan Tukan Lyrics
Le sable s’enfonce sous mes pieds
Je laisse à l’abandon les mirages s’avancer
Et dans la mangrove je me suis laissé couler
Cette nouvelle sensation j’aimerais te la partager
Et ça fait des mois que défilent les saisons
Tu m’as vu défaillir et perdre la raison
Enfermée dans ma tête avec bien trop d’illusions
Un hiver est si long et sans interruption
J’ai couru des heures encore je cours vite et je crie à plein poumon
De toutes les arnaques tu sais j’ai construit tous les murs de la prison
Quand la plage mirage s’entrevoit sur le chemin de ma maison
Perdre le contrôle n’est plus un drame mais devenu une obsession
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Il y a des jours qui s’achèvent avec un battement au coeur
Depuis ce lointain voyage je ne ressens plus la peur
J’ai aimé risqué ma vie et attendre chaque seconde
Dans une île perdue, que la chaleur monte
Le souvenir d’un été bien plus chaud que de raison
Et sur ma peau brûlante une vague de frissons
Étourdie par les vagues, les embruns, l’insolation
Dans l’eau sur le rivage si fière de mon évasion
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Je laisse à l’abandon les mirages s’avancer
Et dans la mangrove je me suis laissé couler
Cette nouvelle sensation j’aimerais te la partager
Et ça fait des mois que défilent les saisons
Tu m’as vu défaillir et perdre la raison
Enfermée dans ma tête avec bien trop d’illusions
Un hiver est si long et sans interruption
J’ai couru des heures encore je cours vite et je crie à plein poumon
De toutes les arnaques tu sais j’ai construit tous les murs de la prison
Quand la plage mirage s’entrevoit sur le chemin de ma maison
Perdre le contrôle n’est plus un drame mais devenu une obsession
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Il y a des jours qui s’achèvent avec un battement au coeur
Depuis ce lointain voyage je ne ressens plus la peur
J’ai aimé risqué ma vie et attendre chaque seconde
Dans une île perdue, que la chaleur monte
Le souvenir d’un été bien plus chaud que de raison
Et sur ma peau brûlante une vague de frissons
Étourdie par les vagues, les embruns, l’insolation
Dans l’eau sur le rivage si fière de mon évasion
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber, laisse-laisse-toi couler, laisse tomber
Laisse tomber laisse-laisse-toi couler, laisse tomber