Matinal by Tom-Lou Lyrics
Perdu, captivé par un docu' sur l’éternité
Je nous ai vu toi et moi crier sur les sommets de la Lune
À écrire des soluces pour les années suivantes
Fuyant du regard le vide, fuyant l’insomnie
Le temps qui passe, les yeux qui plissent, l’écran s’éteint
Je traine la mélo de ce gars sous la pluie matinale
Je ne m’arrêterai jamais de regarder le film
J’ai le Tsuki-No Miyako dans le casque hallеlujah!
Hocus Pocus dans le crâne
Bien sûr qu’on va finir par allеr là-haut, aller là-haut comme le jazz hey
Ahegao ahegao quand on s’marre tkt
Marée basse ou Mär Heaven, je patauge dans l’imaginaire
La vie c’est des cycles et des cercles
Je trace des signes et des siècles, je travaille sur la suite
Si je le décide j’ai des cernes
Sérieux, sé-po sur le balcon, la vision, les sens, l’horizon, épousent les toits
J’aime tant quand l’instant dépasse les toiles
On ne vit qu’une seule fois alors je repousse le temps
On est pas plus que de la poussière d’étoiles et nos yeux le savent
Y’a qu’une seule teinte et c’est ça
Dans ce regard c’est la guerre, des éclats
Aujourd’hui y’a qu’une seule toile et c’est toi et c’est tout
Je n’aurai pas le temps de tout dire dans cet album
J’crois que c’est déjà la morale de cet album : un truc qui parle de mort
Tu le sais des fois c’est les décès qui décident, des fois la douleur qui dirige
Et toi qui dérive...
Peu importe frère, laisse le temps faire
Ici c’est le destin qui dessine, ceux sont les trains qui t’emportent au loin
Tu le sais, c’est l’étreint qui t’emporte si loin
On est nul à ce jeu, pour se dire adieux
Une nuit d’adieux ça me crève le coeur
Alors je nage
Loin dans vos nuages
Adieux mon Tsuki-No Miyako
Je nous ai vu toi et moi crier sur les sommets de la Lune
À écrire des soluces pour les années suivantes
Fuyant du regard le vide, fuyant l’insomnie
Le temps qui passe, les yeux qui plissent, l’écran s’éteint
Je traine la mélo de ce gars sous la pluie matinale
Je ne m’arrêterai jamais de regarder le film
J’ai le Tsuki-No Miyako dans le casque hallеlujah!
Hocus Pocus dans le crâne
Bien sûr qu’on va finir par allеr là-haut, aller là-haut comme le jazz hey
Ahegao ahegao quand on s’marre tkt
Marée basse ou Mär Heaven, je patauge dans l’imaginaire
La vie c’est des cycles et des cercles
Je trace des signes et des siècles, je travaille sur la suite
Si je le décide j’ai des cernes
Sérieux, sé-po sur le balcon, la vision, les sens, l’horizon, épousent les toits
J’aime tant quand l’instant dépasse les toiles
On ne vit qu’une seule fois alors je repousse le temps
On est pas plus que de la poussière d’étoiles et nos yeux le savent
Y’a qu’une seule teinte et c’est ça
Dans ce regard c’est la guerre, des éclats
Aujourd’hui y’a qu’une seule toile et c’est toi et c’est tout
Je n’aurai pas le temps de tout dire dans cet album
J’crois que c’est déjà la morale de cet album : un truc qui parle de mort
Tu le sais des fois c’est les décès qui décident, des fois la douleur qui dirige
Et toi qui dérive...
Peu importe frère, laisse le temps faire
Ici c’est le destin qui dessine, ceux sont les trains qui t’emportent au loin
Tu le sais, c’est l’étreint qui t’emporte si loin
On est nul à ce jeu, pour se dire adieux
Une nuit d’adieux ça me crève le coeur
Alors je nage
Loin dans vos nuages
Adieux mon Tsuki-No Miyako