Soleil noir by Tim Dup Lyrics
[Verse 1]
J’suis resté quinze minutes
La tête ancrée dans le bitume
J’me suis noyé dans les rues
En enchaînant les boulevards
Comme si y'avait au fond quelque chose à y voir
Une fucking interprétation de son sourire au coin du bar
En dansant dans la street
J’ai fait cracher mes poumons
Pour qu’ils vident l’envie qu’ils avaient de crier
De ne plus jamais la voir disparaître la nuit
S’envoler dans les ombres
Comme au tout premier soir
[Chorus]
Soleil, soleil
Des jours sans fin
Merveille, merveille
Contre son sein
Soleil soleil
Main dans la main
Merveille, merveille
Comme un dessin
[Verse 2]
J’resterais bien des heures
A me noyer
Dans les verres opaques des terrasses enfumées
A contempler les visages qui s’épanouissent
A contempler le sien avant qu’il ne s’esquisse
Un peu comme les couleurs primaires
Qui parfois s’évanouissent
Pour devenir pastel, aquarelles ou métisses
Un peu comme la nuit blanche qui retient le sommeil
Paumé dans l’ivresse et baigné de lumière
Elle me happe
Et m’échappe
Faut qu’j’la rattrape
Soleil, soleil
Des jours sans fin
Merveille, merveille
Contre son sein
Soleil, soleil
Main dans la main
Merveille, merveille
Comme un dessin
Un peu comme les couleurs primaires
Qui parfois s’évanouissent
Pour devenir pastel, aquarelles ou métisses
Un peu comme la nuit blanche qui retient le sommeil
Paumé dans l’ivresse et baigné de lumière
Elle me happe
Et m’échappe
Faut qu’j’la rattrape
Soleil, soleil
Merveille, merveille
Soleil, soleil
Merveille, merveille.
J’suis resté quinze minutes
La tête ancrée dans le bitume
J’me suis noyé dans les rues
En enchaînant les boulevards
Comme si y'avait au fond quelque chose à y voir
Une fucking interprétation de son sourire au coin du bar
En dansant dans la street
J’ai fait cracher mes poumons
Pour qu’ils vident l’envie qu’ils avaient de crier
De ne plus jamais la voir disparaître la nuit
S’envoler dans les ombres
Comme au tout premier soir
[Chorus]
Soleil, soleil
Des jours sans fin
Merveille, merveille
Contre son sein
Soleil soleil
Main dans la main
Merveille, merveille
Comme un dessin
[Verse 2]
J’resterais bien des heures
A me noyer
Dans les verres opaques des terrasses enfumées
A contempler les visages qui s’épanouissent
A contempler le sien avant qu’il ne s’esquisse
Un peu comme les couleurs primaires
Qui parfois s’évanouissent
Pour devenir pastel, aquarelles ou métisses
Un peu comme la nuit blanche qui retient le sommeil
Paumé dans l’ivresse et baigné de lumière
Elle me happe
Et m’échappe
Faut qu’j’la rattrape
Soleil, soleil
Des jours sans fin
Merveille, merveille
Contre son sein
Soleil, soleil
Main dans la main
Merveille, merveille
Comme un dessin
Un peu comme les couleurs primaires
Qui parfois s’évanouissent
Pour devenir pastel, aquarelles ou métisses
Un peu comme la nuit blanche qui retient le sommeil
Paumé dans l’ivresse et baigné de lumière
Elle me happe
Et m’échappe
Faut qu’j’la rattrape
Soleil, soleil
Merveille, merveille
Soleil, soleil
Merveille, merveille.