La légèreté by Tim Dup Lyrics
[Paroles de "La légèreté"]
Je marche depuis une heure
Dans les rues à pas lent
Rien ne presse, un rebours du monde
Le jour s'étiole
Le ciel est pêche comme le crépis des murs
Les commerçants rentrent leurs boutiques
Ils en abaissent les rideaux
Et dehors on sent poindre la fièvre
Encore là languis mais éveillée déjà
Prêts à s'emparer des corps sur le qui-vive de la nuit
Il y a sur les terrasses un parfum étourdi de brulure, d'ivresse
D'la musique d'un soir latin
J'ai faim
J'ai faim de pâtes, d'olives
De copeaux de parmesans
De citron, de basilic
J'ai soif
J'ai soif de vin, d'amour, d'aventure
Je m'assois
Et je pense à mes contradictions
À mes inconnus
À mes rares certitudes
Je me dis que
Jamais, jamais je me quitte
C'est toujours mes yeux, ma bouche, mon nez, mes mains
Pas celles, pas celles d'un autre
C'est encore ma gueule
Il y a juste à en sourire
Et d'un coup là
Bah j'ai envie qu'on me saisisse
Qu'on m'emmène, qu'on m'embarque, qu'on m'embrasse
Et j'ai envie d'aller danser
De marcher encore, de regarder la ville s'obscurcir
Et de naitre à nouveau sous ses lueurs d'appoint
Il y a le déclin du ciel
Son aquarelle en feu
L'appétit du soir
La légèreté de la saison chaude
Et son bouquet de promesses, c'est vrai, putain
La légèreté c'est du sérieux, bon
Je marche depuis une heure
Dans les rues à pas lent
Rien ne presse, un rebours du monde
Le jour s'étiole
Le ciel est pêche comme le crépis des murs
Les commerçants rentrent leurs boutiques
Ils en abaissent les rideaux
Et dehors on sent poindre la fièvre
Encore là languis mais éveillée déjà
Prêts à s'emparer des corps sur le qui-vive de la nuit
Il y a sur les terrasses un parfum étourdi de brulure, d'ivresse
D'la musique d'un soir latin
J'ai faim
J'ai faim de pâtes, d'olives
De copeaux de parmesans
De citron, de basilic
J'ai soif
J'ai soif de vin, d'amour, d'aventure
Je m'assois
Et je pense à mes contradictions
À mes inconnus
À mes rares certitudes
Je me dis que
Jamais, jamais je me quitte
C'est toujours mes yeux, ma bouche, mon nez, mes mains
Pas celles, pas celles d'un autre
C'est encore ma gueule
Il y a juste à en sourire
Et d'un coup là
Bah j'ai envie qu'on me saisisse
Qu'on m'emmène, qu'on m'embarque, qu'on m'embrasse
Et j'ai envie d'aller danser
De marcher encore, de regarder la ville s'obscurcir
Et de naitre à nouveau sous ses lueurs d'appoint
Il y a le déclin du ciel
Son aquarelle en feu
L'appétit du soir
La légèreté de la saison chaude
Et son bouquet de promesses, c'est vrai, putain
La légèreté c'est du sérieux, bon