Dolce Ricordo by Tim Dup Lyrics
[Paroles de "Dolce Ricordo"]
Sur les photographies
Délavées par le temps
De vacances en Italie
De sourire au levant
Quand le jour s'empalait
On mangeait sur le port
Et nos pas enfumés
Sur les quais au dehors
Et je garde en mémoire
Ces plus belles nuits d’été
On dansait rouge au soir
Sous la voute orangée
Puis fenêtre ouverte
On roulait au vent
De campagne déserte
En bordure d'océan
Le soir au coin du feu
On chantait des chansons
En sе souciant de peu
En se souciant dеs gens
Et c'est là bien plus tard
Qu’on est reparti
On montait dans un train
De Toscane, en Ombrie
Je me souviens encore
Avoir lavé ta peau
D'où perlait de fil d'or
Le débit d'un ruisseau
On marchait sous les arbres
Les pavés de feuilles onces
On empruntait le marbre
Vert et blanc de Florence
On se prenait en photo
Dans les champs égarés
À San Germiniano
Dans les rues plein été
Sur les photographies
Délavées par le temps
De vacances en Italie
De sourire au levant
Quand le jour s'empalait
On mangeait sur le port
Et nos pas enfumés
Sur les quais au dehors
Et je garde en mémoire
Ces plus belles nuits d’été
On dansait rouge au soir
Sous la voute orangée
Puis fenêtre ouverte
On roulait au vent
De campagne déserte
En bordure d'océan
Le soir au coin du feu
On chantait des chansons
En sе souciant de peu
En se souciant dеs gens
Et c'est là bien plus tard
Qu’on est reparti
On montait dans un train
De Toscane, en Ombrie
Je me souviens encore
Avoir lavé ta peau
D'où perlait de fil d'or
Le débit d'un ruisseau
On marchait sous les arbres
Les pavés de feuilles onces
On empruntait le marbre
Vert et blanc de Florence
On se prenait en photo
Dans les champs égarés
À San Germiniano
Dans les rues plein été