Dans ma tête by Tim Lyrics
Dans ma tête je suis buté pendant que d’autres se font muter
Se la racontent pour des tunes de leurs jobs d’enculé
Je suis pas né dans la rue mais je pense qu’à faire fortune
J’ai quitté tôt le bahut pour atterrir sur le bitume
J’ai fais pleurer ceux que j’aimais maintenant je fais pleurer ma plume
J’écris ma vie sur un carnet, psychanalyse où y a rien de bon
Ecoutes juste le 1er couplet tu comprendras que ça tourne pas rond
J’essaie pourtant d’être carré sans GPS je suis égaré
Une sorte de Marlon Brando remixé à du Bob Marley
« No woman no cry »
J’essaie d’rester dans le vrai, mais je me consumes à petit feu
Je fais c’que je peux mais c’est la haine que tu peux lire dans mes yeux
J’ai trop douté, j’ai trop plané, maintenant je ne peux qu’avancer
Petit je voulais devenir pompier mais je n’ai fais qu’attiser les flammes
Je m’aseptisais à trop tiser et j’ai fini par perdre ma femme
Je m’abrutissais à métisser l’alcool, la weed, mon chit, mon âme
Une vie banale, où tu te mets toi-même des bananes
Où tu te mets toi-même des barrières t’en distingue plus le bien du mal
Putain de moral, où contre moi-même je suis en cavale
Où contre moi-même je fais des sales bails au risque de finir en cabane
Prise de conscience, et putain de remise en question
Maintenant j’avance dans le bon sens et fini les désillusions
« I have an illusion »
Ouais putain de merde on nous balade un troupeau d’65 millions
Ça se finit en panier à salade ou en salade tomate oignon
Ça me rappelle l’histoire d’un jeune con à qui on a dit de sauter du pont
Cette histoire tout le monde la connait mais c’est bien nous les vrais moutons
Et ouais mon con..
Y'a ceux qui touchent du bois, et puis y'a ceux qui broient du noir
Y'a ceux qui boivent du sky et puis y'a moi et mes cauchemars
Y'a ceux qui jouent avec mes tunes y'a ceux qui jouent avec mes nerfs
Y'a ceux qui parlent que d’infortunes y'a ceux qui partent en guerre
Y'a ceux qui gèrent, et ça malgré tout plein de galères
Ceux qui chaque jour relèvent la tête pour ne pas finir en enfer
J’prend la poussière, comme ce vieux livre sur cette étagère
Me demandes pas à quoi ça sert de te dire ce que je n’ai pas pu faire
Et ouais mon frère, non j’ai plus trop le temps de galérer
Vous devancer c’est ce que je vais faire et ça sans trop vous en parler !
Se la racontent pour des tunes de leurs jobs d’enculé
Je suis pas né dans la rue mais je pense qu’à faire fortune
J’ai quitté tôt le bahut pour atterrir sur le bitume
J’ai fais pleurer ceux que j’aimais maintenant je fais pleurer ma plume
J’écris ma vie sur un carnet, psychanalyse où y a rien de bon
Ecoutes juste le 1er couplet tu comprendras que ça tourne pas rond
J’essaie pourtant d’être carré sans GPS je suis égaré
Une sorte de Marlon Brando remixé à du Bob Marley
« No woman no cry »
J’essaie d’rester dans le vrai, mais je me consumes à petit feu
Je fais c’que je peux mais c’est la haine que tu peux lire dans mes yeux
J’ai trop douté, j’ai trop plané, maintenant je ne peux qu’avancer
Petit je voulais devenir pompier mais je n’ai fais qu’attiser les flammes
Je m’aseptisais à trop tiser et j’ai fini par perdre ma femme
Je m’abrutissais à métisser l’alcool, la weed, mon chit, mon âme
Une vie banale, où tu te mets toi-même des bananes
Où tu te mets toi-même des barrières t’en distingue plus le bien du mal
Putain de moral, où contre moi-même je suis en cavale
Où contre moi-même je fais des sales bails au risque de finir en cabane
Prise de conscience, et putain de remise en question
Maintenant j’avance dans le bon sens et fini les désillusions
« I have an illusion »
Ouais putain de merde on nous balade un troupeau d’65 millions
Ça se finit en panier à salade ou en salade tomate oignon
Ça me rappelle l’histoire d’un jeune con à qui on a dit de sauter du pont
Cette histoire tout le monde la connait mais c’est bien nous les vrais moutons
Et ouais mon con..
Y'a ceux qui touchent du bois, et puis y'a ceux qui broient du noir
Y'a ceux qui boivent du sky et puis y'a moi et mes cauchemars
Y'a ceux qui jouent avec mes tunes y'a ceux qui jouent avec mes nerfs
Y'a ceux qui parlent que d’infortunes y'a ceux qui partent en guerre
Y'a ceux qui gèrent, et ça malgré tout plein de galères
Ceux qui chaque jour relèvent la tête pour ne pas finir en enfer
J’prend la poussière, comme ce vieux livre sur cette étagère
Me demandes pas à quoi ça sert de te dire ce que je n’ai pas pu faire
Et ouais mon frère, non j’ai plus trop le temps de galérer
Vous devancer c’est ce que je vais faire et ça sans trop vous en parler !