Richelieus by Thomas Fersen Lyrics
En me léchant l'oreille
Un chat me donna
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
J'adoptai leur petit jeu
Et leurs étranges coutumes
Je léchais mes richelieus
Et mon costume
Je rôdais au cimetière
Sous les grands arbres
Je passais entre les pierres
Entre les marbres
Je sautais dans le jardin
De la voisine
Et je volais du boudin
À la cuisine
En me léchant l'oreille
Un chat me donna
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
J'aimais bien qu'on me caresse
Sous le menton
Les poutous de sa maîtresse
À son chaton
Oh le joli poisson rouge
Le canari
Je sautais sur tout c'qui bouge
Pauvre souris
J'ai fais tout c'que j'ai voulu
Dans le quartier
Bientôt on ne compta plus
Mes héritiers
Au lieu d'me donner du lait
On commença
À prétendre qu'il fallait
Couper le chat
Cela me rendait nerveux
Pour mes valseuses
Car les chats n'en ont qu'un jeu
Elles sont précieuses
Et voyant dans la détresse
Son petit chat
Mon adorable maîtresse
Se dépêcha
De me lécher l'oreille
Et le français remplaça
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
Je cessai mon petit jeu
Et la bizarre coutume
De lécher mes richelieus
Et mon costume
De lécher mes richelieus
Et mon costume
Mais je n'en restai pas moins
Un chaud lapin
Un chat me donna
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
J'adoptai leur petit jeu
Et leurs étranges coutumes
Je léchais mes richelieus
Et mon costume
Je rôdais au cimetière
Sous les grands arbres
Je passais entre les pierres
Entre les marbres
Je sautais dans le jardin
De la voisine
Et je volais du boudin
À la cuisine
En me léchant l'oreille
Un chat me donna
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
J'aimais bien qu'on me caresse
Sous le menton
Les poutous de sa maîtresse
À son chaton
Oh le joli poisson rouge
Le canari
Je sautais sur tout c'qui bouge
Pauvre souris
J'ai fais tout c'que j'ai voulu
Dans le quartier
Bientôt on ne compta plus
Mes héritiers
Au lieu d'me donner du lait
On commença
À prétendre qu'il fallait
Couper le chat
Cela me rendait nerveux
Pour mes valseuses
Car les chats n'en ont qu'un jeu
Elles sont précieuses
Et voyant dans la détresse
Son petit chat
Mon adorable maîtresse
Se dépêcha
De me lécher l'oreille
Et le français remplaça
Le pouvoir de comprendre
Le parler des chats
Je cessai mon petit jeu
Et la bizarre coutume
De lécher mes richelieus
Et mon costume
De lécher mes richelieus
Et mon costume
Mais je n'en restai pas moins
Un chaud lapin