Jeudi by Thibaut Narme Lyrics
Décapité par inadvertance et baladé jusqu’à l’ouïe,
Puis simplement oublié d’être oublié.
J’étourdis l’horizon morose d’une célébration.
Accaparé par l’ultimatum modeste, par des maux d’autrefois
Déterminé à succéder à ce je-ne-sais-quoi
Dilué dans le sang du siècle
Détruit, tout simplement détruit
Remémoré à l’arrache-cœur, puis parti
Je gesticule allègrement des résonnements homothétiques
Je suis la foudre un soir de neige
Alourdi dans le cens du terme, de long-terme
Crispé par l’inégalité, la rationalité, la culture et la foi
J’avoue mes vices sans faiblesse
Je suis mort et déterré 100 fois, puis abandonné à son sort
J’ai la virgule qui s’apostrophe
L’aiguillon maladif retourné contre soi
L’oubli en étendard, la haine comme porte jarretelle
Applaudi le stupide vol systémique
Je suis l’oubli, je suis le présent sans lendemain
Arrache à mon cou la décibel cinglante
La tristesse, la fureur, la détermination, la voix
Rends-moi vide et animé, réanime-moi
Décelé par 100 jurys conspirationnistes, j’allègre un Dieu-pas-vraiment-z-un
Pendu au simple fait de vivre sans m’acharner
Construit par la sentence inavouable que la fin est prédéfini
J’absous mon plus fervent adversaire et son meilleur amis
Je suis reconnaissance et dédicace
Dérangé par les mots, fou d’ivresse et de fêtes
Remis de sa propre enfance
Cloué à l’oreillette
Dégluti facilement par l’Ogre-vie
Dégouté, regouté, digéré, puis …recommencé
Alerté par les foudres de 1000 pigeons
Réconcilié par inadvertance
Tendant vers le Beau, le Sincère, le Vrai
Détourné par 10 aéroplanes
Déconstruit par Platon, Epicure et Envy
Enfourné par simple interaction
Oublié, Oublié, Oublié, mais pas perdu
Crié par 1000 mots, 10 signes, un seul nom propre
Résisté par fatigue, crasse et traitrise
Par simplification d’extrême complexité
Puis relâché à son propre sort
Défiguré par l’Éternité après tout.
Puis simplement oublié d’être oublié.
J’étourdis l’horizon morose d’une célébration.
Accaparé par l’ultimatum modeste, par des maux d’autrefois
Déterminé à succéder à ce je-ne-sais-quoi
Dilué dans le sang du siècle
Détruit, tout simplement détruit
Remémoré à l’arrache-cœur, puis parti
Je gesticule allègrement des résonnements homothétiques
Je suis la foudre un soir de neige
Alourdi dans le cens du terme, de long-terme
Crispé par l’inégalité, la rationalité, la culture et la foi
J’avoue mes vices sans faiblesse
Je suis mort et déterré 100 fois, puis abandonné à son sort
J’ai la virgule qui s’apostrophe
L’aiguillon maladif retourné contre soi
L’oubli en étendard, la haine comme porte jarretelle
Applaudi le stupide vol systémique
Je suis l’oubli, je suis le présent sans lendemain
Arrache à mon cou la décibel cinglante
La tristesse, la fureur, la détermination, la voix
Rends-moi vide et animé, réanime-moi
Décelé par 100 jurys conspirationnistes, j’allègre un Dieu-pas-vraiment-z-un
Pendu au simple fait de vivre sans m’acharner
Construit par la sentence inavouable que la fin est prédéfini
J’absous mon plus fervent adversaire et son meilleur amis
Je suis reconnaissance et dédicace
Dérangé par les mots, fou d’ivresse et de fêtes
Remis de sa propre enfance
Cloué à l’oreillette
Dégluti facilement par l’Ogre-vie
Dégouté, regouté, digéré, puis …recommencé
Alerté par les foudres de 1000 pigeons
Réconcilié par inadvertance
Tendant vers le Beau, le Sincère, le Vrai
Détourné par 10 aéroplanes
Déconstruit par Platon, Epicure et Envy
Enfourné par simple interaction
Oublié, Oublié, Oublié, mais pas perdu
Crié par 1000 mots, 10 signes, un seul nom propre
Résisté par fatigue, crasse et traitrise
Par simplification d’extrême complexité
Puis relâché à son propre sort
Défiguré par l’Éternité après tout.