2020 by Terence Lyrics
J’ai compris pas mal de choses dans l’échec
J’fais d’la musique pas du chiffre
J’commence à comprendre c’que c’est d’être un chef d’équipe
Donner d’l’amour et des chèques
J’ai pas dormi j’ai préparé des projets
2020 pourtant c’est rafale de crochets
J’découpe le rap comme on découpe des croquettes
Trop vite faudra bien s’accrocher
La folie dans les veines, je n’ai pas de limite
Et les mains du mal me demandent d’aller pêcher
Mais je sais que la rue ne m’aidera jamais dans mon CV
Donc j’ai mal quand je vois que mes larmes de feu ne pourront jamais sécher
J’pense pas que je pourrais m’arrêter
Peur de personne, pas besoin de Beretta
J’te tape tu ferais bien père et mère
Tu t’es fait zéxplo au Velleda pa-pa-pa-pa
Je ne mets que mes démons dans les mots que je dit
En général je rafale diverses images plutôt noires
Mes deux poumons remplis au plutonium
Mon cœur est fin grandi dans les pays les plus au Nord
Je reviens des terres où l’homme n’est jamais revenu
Mais dans la rue le mal je ne l’ai jamais vénéré
Je reviens de là où tu n’oseras jamais venir
Où sont passés mes amis, les liens que l’on a fédérés
J’suis l’étoile que l’on n’a jamais vu dans le ciel
Je me sens tellement fort, bosser pour être invincible
Qui menace qui ? Qui pourra me faire taire ?
Qui m’a carotté subira châtiment de principe
J’suis dans mon délire, euro, dollar, pour ça j’ai commis des délits
J’suis dans mon bocal, j’rentre le whisky coca
Ils sont tous cokés, bloqués dans l’coma
Pendant qu’mon quota l’pied sous l’côté
Jamais la nausée pour l’oseille
Gare à ceux qui parlent trop
Ils finiront par terre
J’attends tous les paramètres au vert pour les parquer
Dans le cœur on aime bien que du calcaire
On ne veut pas calquer
Leur modèle malsain
La douleur m’harcèle, beaucoup trop de lar’sen
Fêtant chacune des parcelles de la rue ma ville
De Paris à Marseille, j’te raconte ma vie
Ce que j’ai fait la veille
J’ai souvent du mal à retenir le bien que l’on m’a fait
On retient souvent le mal dans ce que l’on dit
On essaie d’avoir du temps pour les gens qu’on aime, mais
Au fond de nous-même on n’est pas ce que l’on affiche
C’est les mêmes hommes pas les mêmes sommes qui m’entourent depuis l’début
J’ai trop d’flow c’est le déluge, bien trop d’mots dans le vécu
Amoureux de la rime et des écus
Et si t’as mal, saches que t’es pas le seul
Même si souvent le cœur a du mal à se calmer
On marche sous le même ciel, le même sol
Mais les étoiles ne sont pas les mêmes pour les mal-aimés
Donc si tu tombes face à plus fort n’abandonne pas tu n’as qu’une vie
Laisse-les penser que tu dors, chez nous quand on fait des sous on est pudique
Ils t’regardent mal parce que t’es pas comme eux
Ils t’regardent mal parce que t’es pas commun
On sait bien que t’as jamais trop parlé on te connait
T’as le cœur en or mais divisé comme les deux Corées
J’connais tous les dealer de la ville, enfin ceux qui pèsent un minimum
J’frappe très fort et au millimètre, coup d’tête dans leur mère
Dis- moi qui dit mieux
2020
J’fais d’la musique pas du chiffre
J’commence à comprendre c’que c’est d’être un chef d’équipe
Donner d’l’amour et des chèques
J’ai pas dormi j’ai préparé des projets
2020 pourtant c’est rafale de crochets
J’découpe le rap comme on découpe des croquettes
Trop vite faudra bien s’accrocher
La folie dans les veines, je n’ai pas de limite
Et les mains du mal me demandent d’aller pêcher
Mais je sais que la rue ne m’aidera jamais dans mon CV
Donc j’ai mal quand je vois que mes larmes de feu ne pourront jamais sécher
J’pense pas que je pourrais m’arrêter
Peur de personne, pas besoin de Beretta
J’te tape tu ferais bien père et mère
Tu t’es fait zéxplo au Velleda pa-pa-pa-pa
Je ne mets que mes démons dans les mots que je dit
En général je rafale diverses images plutôt noires
Mes deux poumons remplis au plutonium
Mon cœur est fin grandi dans les pays les plus au Nord
Je reviens des terres où l’homme n’est jamais revenu
Mais dans la rue le mal je ne l’ai jamais vénéré
Je reviens de là où tu n’oseras jamais venir
Où sont passés mes amis, les liens que l’on a fédérés
J’suis l’étoile que l’on n’a jamais vu dans le ciel
Je me sens tellement fort, bosser pour être invincible
Qui menace qui ? Qui pourra me faire taire ?
Qui m’a carotté subira châtiment de principe
J’suis dans mon délire, euro, dollar, pour ça j’ai commis des délits
J’suis dans mon bocal, j’rentre le whisky coca
Ils sont tous cokés, bloqués dans l’coma
Pendant qu’mon quota l’pied sous l’côté
Jamais la nausée pour l’oseille
Gare à ceux qui parlent trop
Ils finiront par terre
J’attends tous les paramètres au vert pour les parquer
Dans le cœur on aime bien que du calcaire
On ne veut pas calquer
Leur modèle malsain
La douleur m’harcèle, beaucoup trop de lar’sen
Fêtant chacune des parcelles de la rue ma ville
De Paris à Marseille, j’te raconte ma vie
Ce que j’ai fait la veille
J’ai souvent du mal à retenir le bien que l’on m’a fait
On retient souvent le mal dans ce que l’on dit
On essaie d’avoir du temps pour les gens qu’on aime, mais
Au fond de nous-même on n’est pas ce que l’on affiche
C’est les mêmes hommes pas les mêmes sommes qui m’entourent depuis l’début
J’ai trop d’flow c’est le déluge, bien trop d’mots dans le vécu
Amoureux de la rime et des écus
Et si t’as mal, saches que t’es pas le seul
Même si souvent le cœur a du mal à se calmer
On marche sous le même ciel, le même sol
Mais les étoiles ne sont pas les mêmes pour les mal-aimés
Donc si tu tombes face à plus fort n’abandonne pas tu n’as qu’une vie
Laisse-les penser que tu dors, chez nous quand on fait des sous on est pudique
Ils t’regardent mal parce que t’es pas comme eux
Ils t’regardent mal parce que t’es pas commun
On sait bien que t’as jamais trop parlé on te connait
T’as le cœur en or mais divisé comme les deux Corées
J’connais tous les dealer de la ville, enfin ceux qui pèsent un minimum
J’frappe très fort et au millimètre, coup d’tête dans leur mère
Dis- moi qui dit mieux
2020