Manque daffection by Teknograde - DrFlashin Lyrics
[Intro]
Même si la lumière a ses charmes
Ce soir je préfère écrire dans le noir
Pour ne pas voir mes yeux asséchés
Je deviens cruel même s'il m'en faut je n'ai pas les larmes
[Couplet 1]
Même à la mort de mes proches je n'verse que trois larmes
Parfois j'étonne les mioches, ceux qui font du vacarme
J'ai appris à me taire quand le ciel parle
Je ne parle pas du seigneur mais des étoiles
Et tout de même, je suis triste
Tu pleure jusqu'à demain, ça te démange, les côtes
Et si je n'ai pas les larmes j'ai dix mille, mots
Et pour ta tête endormie, j'ai mon épaule
J'suis pas un homme fort, on me l'a dit
J'suis habitué à encaisser, tous les coups de la vie
Mon corps est blessé, donc fait toi ton avis
Suis-je un homme fort, ou un prisonnier d'asile
Car il cogne fort, le maton au gomme cogne
Je m'isole, dort, quand il est proche de la vitre
Je crie car je suis loin de ma horde ma clique
Et c'est pas d'main que je verrais l'essor de ma ville
[Refrain x2]
Mais je persiste à ne pas pleurer, je sais que
Les poches sous mes yeux cachent des regrets
Le Renard aussi, pire que moi, mais pour oublier ça
Il se roule des mille feuillets, d'beuh
[Couplet 2]
La solitude au début, ça fait du bien
Mais être trop casanier, ça rend débile
Inutile que je parte seul en débat
Il me faut de l'aide chaque fois que je déboule
Alors quand je discute avec toi
On cherche d'où viens cette affliction
Cette blessure qui fait infection
On l'appelle « le manque d'affection »
Alors ma voix d'artiste, m'autopsychanalyse
J'ai le droit à mille, tourment dans mes textes
Décrits mes cataclysmes, et des banalités
Sur l'autel de la voix tardive, ce texte sera sacrifié
(Sur l'autel de la voix tardive, ce texte sera sacrifié)
Je suis la voix dans ta tête, quand tu ne peut pas dormir
Je suis le murmure de nos insomnies
Je ne suis pas maléfique c'est promis
Je cherche juste des homies, pour rejoindre mon possy
En fait… j'ai du mal à être empathique
Alors je suis un peu en panique
Paraîtrait que ça viens avec la pratique
J'essayerai de faire plus de cadeau, genre quelques textes magiques
Si jamais j'ai plus de sous j'ai le trésor de l'artiste
Quand j’éteins la lumière, toutes ces pensées gravitent
Sont elles des idées divines, ou pensées parasites ?
[Pont]
Un nouvel espoir et des allusions
Pourrais-je demain passer à table?
Mais j'oublie très vite cette stupide question
J'étais emporté dans une trop belle fable
Et tous ses clins d'œil n'était qu'illusion
Pourtant sur d'avoir touché la Lune
Elle me sourit au loin sans rancune
L'ascenseur émotionnel est rude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
[Refrain x2]
Mais je persiste à ne pas pleurer, je sais que
Les poches sous mes yeux cachent des regrets
Le Renard aussi, pire que moi, mais pour oublier ça
Il se roule des mille feuilles et, d'beuh
[Outro]
Je persiste à ne pas pleurer
Ai-je perdu toutes mes émotions
Face au miroir je suis apeuré
Envers l'amour j'ai une dévotion
Mais aussi une peur immense, peur des évidences
Peur de la fin, qui me prend, tous les soirs de dimanche...
(Mais aussi une peur immense, peur des évidences
Peur de la fin, qui me prend, tous les soirs de dimanche...)
Même si la lumière a ses charmes
Ce soir je préfère écrire dans le noir
Pour ne pas voir mes yeux asséchés
Je deviens cruel même s'il m'en faut je n'ai pas les larmes
[Couplet 1]
Même à la mort de mes proches je n'verse que trois larmes
Parfois j'étonne les mioches, ceux qui font du vacarme
J'ai appris à me taire quand le ciel parle
Je ne parle pas du seigneur mais des étoiles
Et tout de même, je suis triste
Tu pleure jusqu'à demain, ça te démange, les côtes
Et si je n'ai pas les larmes j'ai dix mille, mots
Et pour ta tête endormie, j'ai mon épaule
J'suis pas un homme fort, on me l'a dit
J'suis habitué à encaisser, tous les coups de la vie
Mon corps est blessé, donc fait toi ton avis
Suis-je un homme fort, ou un prisonnier d'asile
Car il cogne fort, le maton au gomme cogne
Je m'isole, dort, quand il est proche de la vitre
Je crie car je suis loin de ma horde ma clique
Et c'est pas d'main que je verrais l'essor de ma ville
[Refrain x2]
Mais je persiste à ne pas pleurer, je sais que
Les poches sous mes yeux cachent des regrets
Le Renard aussi, pire que moi, mais pour oublier ça
Il se roule des mille feuillets, d'beuh
[Couplet 2]
La solitude au début, ça fait du bien
Mais être trop casanier, ça rend débile
Inutile que je parte seul en débat
Il me faut de l'aide chaque fois que je déboule
Alors quand je discute avec toi
On cherche d'où viens cette affliction
Cette blessure qui fait infection
On l'appelle « le manque d'affection »
Alors ma voix d'artiste, m'autopsychanalyse
J'ai le droit à mille, tourment dans mes textes
Décrits mes cataclysmes, et des banalités
Sur l'autel de la voix tardive, ce texte sera sacrifié
(Sur l'autel de la voix tardive, ce texte sera sacrifié)
Je suis la voix dans ta tête, quand tu ne peut pas dormir
Je suis le murmure de nos insomnies
Je ne suis pas maléfique c'est promis
Je cherche juste des homies, pour rejoindre mon possy
En fait… j'ai du mal à être empathique
Alors je suis un peu en panique
Paraîtrait que ça viens avec la pratique
J'essayerai de faire plus de cadeau, genre quelques textes magiques
Si jamais j'ai plus de sous j'ai le trésor de l'artiste
Quand j’éteins la lumière, toutes ces pensées gravitent
Sont elles des idées divines, ou pensées parasites ?
[Pont]
Un nouvel espoir et des allusions
Pourrais-je demain passer à table?
Mais j'oublie très vite cette stupide question
J'étais emporté dans une trop belle fable
Et tous ses clins d'œil n'était qu'illusion
Pourtant sur d'avoir touché la Lune
Elle me sourit au loin sans rancune
L'ascenseur émotionnel est rude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
Je n'ai donc plus aucune certitude
[Refrain x2]
Mais je persiste à ne pas pleurer, je sais que
Les poches sous mes yeux cachent des regrets
Le Renard aussi, pire que moi, mais pour oublier ça
Il se roule des mille feuilles et, d'beuh
[Outro]
Je persiste à ne pas pleurer
Ai-je perdu toutes mes émotions
Face au miroir je suis apeuré
Envers l'amour j'ai une dévotion
Mais aussi une peur immense, peur des évidences
Peur de la fin, qui me prend, tous les soirs de dimanche...
(Mais aussi une peur immense, peur des évidences
Peur de la fin, qui me prend, tous les soirs de dimanche...)