Deux semaines by Teknograde Lyrics
[Intro]: Raph: -Et depuis, baaah, j'ai trouvé un boulot dans la boîte de mes potes de lycée...
-Tim: Tu sais, c'est super cool que tu bosse avec nous, enfin j'veux dire, pour nous... sucre!
-Léo: fait pas la gueule, Raph! On passe tous par là. Et puis un jour tu te réveille et whouah! t'as ta propre carte de photocopieuse!
-Psychologue de Raph: comment vous vous sentez?
-Raph: abandonné...
[1er couplet]:
Une bouffé de chaleur, suivie d'un grand vide
À chaque fois j'ressens ça en pensant à ces souvenirs
Les deux seules semaines de l'année où je me sens vivre
On part en colo, dans le train on chante "pour le pire"
Là bas j'ai connu des gens uniques au monde
Avec qui les heures passent pour des secondes
Et comme on oublie le bien je n'ai pas le choix
C'était hier mais déjà trop loin derrière moi
Ça commence toujours par un départ en train
La journée des rencontres c'est l'malaise à temps plein
Mais ce long voyage plutôt symbolique est nécessaire
Pour la suite vers le bonheur soit un tremplin
Après le voyage on arrive, on est crevés
On compose notre groupe de tente avec nos reu-frés
Les membres de ta tente ce sera ton équipage
Donc t'as pas de chance si tu tombe sur l'idiot du village...
[Refrain]:
Le matin on marche, on douille, on s'barre en couille, on graille, on s'douche
Et on crée des liens
L'aprèm on gueule, on bouge, on sue, on coure, on pue, on joue
Et parfois on fait rien
Les sourires de ces filles, les délires de ces potes
Ou alors cet espèce de débile avec ses clopes
De tous ces éléments j'retiendrait peut être les bons
Ces deux semaines ne peuvent qu'être la perfection
[2ème couplet]:
Alors y'a raremnt des embrouilles, on est pas des gamins
Et puis si ça se barre en couille, on oubliera demain
Sur la carcasse du bonheur les problèmes se tirent
Quand je déterre plus tard le fossile des souvenirs
Tout le long des deux semaines tu perd ta thune
Dépensée pour un couteau ou un swcheppes agrumes
Mais le meilleur c'est quand notre étrange attitude
Nous fait acheter un gros morceau de fromage qui pue
Pas tous les jours des douches economie de caleçons
On fait pas des blagues de beauf mais des blagues de garçons
En rando tu vendrais ta mère pour de l'eau aux glaçons
Et si j'découvre des gens géniaux on partage nos passions
C'est avec un vrai bonheur que se percutent nos verres
Parce qu'ici les gens m'on fait quelques compliments sincères
Chaque année se forment des couples mais moi j'était pas déter
Car cette année ma cible potentielle est autre part, tu sais, frère...
[refrain]
[3ème couplet]:
Pendant deux semaines, une toile pour dortoir
Sans penser au moment où il faudra se dire "au revoir"
Le bonheur nous dira "à plus" du haut du balcon
Et puis chacun retournera à ses occupations
La plupart habitent loin, faire le trajet, la flemme
La vie serait plus simple si on était voisins
On se reverra dans longtemps ça me fout la haine
On se reverra l'année prochaine mais avant c'est pas simple
On en parlera plus tard à voix basse sous la toile
Ou en écoutant "si seul" à la belle étoile
J'ai peur de dire "au revoir" donc souvent je m'enfuis
Pendant toute l'année ces souvenirs resterons enfouis
Et je pense à vous en écrivant ces lignes
Sans qui jamais mon bonheur ne serait complet
Un jour je vous verrait de loin et je vous ferait signe
En attendant de vous revoir, les jours sont comtés...
[refrain]x2
-Tim: Tu sais, c'est super cool que tu bosse avec nous, enfin j'veux dire, pour nous... sucre!
-Léo: fait pas la gueule, Raph! On passe tous par là. Et puis un jour tu te réveille et whouah! t'as ta propre carte de photocopieuse!
-Psychologue de Raph: comment vous vous sentez?
-Raph: abandonné...
[1er couplet]:
Une bouffé de chaleur, suivie d'un grand vide
À chaque fois j'ressens ça en pensant à ces souvenirs
Les deux seules semaines de l'année où je me sens vivre
On part en colo, dans le train on chante "pour le pire"
Là bas j'ai connu des gens uniques au monde
Avec qui les heures passent pour des secondes
Et comme on oublie le bien je n'ai pas le choix
C'était hier mais déjà trop loin derrière moi
Ça commence toujours par un départ en train
La journée des rencontres c'est l'malaise à temps plein
Mais ce long voyage plutôt symbolique est nécessaire
Pour la suite vers le bonheur soit un tremplin
Après le voyage on arrive, on est crevés
On compose notre groupe de tente avec nos reu-frés
Les membres de ta tente ce sera ton équipage
Donc t'as pas de chance si tu tombe sur l'idiot du village...
[Refrain]:
Le matin on marche, on douille, on s'barre en couille, on graille, on s'douche
Et on crée des liens
L'aprèm on gueule, on bouge, on sue, on coure, on pue, on joue
Et parfois on fait rien
Les sourires de ces filles, les délires de ces potes
Ou alors cet espèce de débile avec ses clopes
De tous ces éléments j'retiendrait peut être les bons
Ces deux semaines ne peuvent qu'être la perfection
[2ème couplet]:
Alors y'a raremnt des embrouilles, on est pas des gamins
Et puis si ça se barre en couille, on oubliera demain
Sur la carcasse du bonheur les problèmes se tirent
Quand je déterre plus tard le fossile des souvenirs
Tout le long des deux semaines tu perd ta thune
Dépensée pour un couteau ou un swcheppes agrumes
Mais le meilleur c'est quand notre étrange attitude
Nous fait acheter un gros morceau de fromage qui pue
Pas tous les jours des douches economie de caleçons
On fait pas des blagues de beauf mais des blagues de garçons
En rando tu vendrais ta mère pour de l'eau aux glaçons
Et si j'découvre des gens géniaux on partage nos passions
C'est avec un vrai bonheur que se percutent nos verres
Parce qu'ici les gens m'on fait quelques compliments sincères
Chaque année se forment des couples mais moi j'était pas déter
Car cette année ma cible potentielle est autre part, tu sais, frère...
[refrain]
[3ème couplet]:
Pendant deux semaines, une toile pour dortoir
Sans penser au moment où il faudra se dire "au revoir"
Le bonheur nous dira "à plus" du haut du balcon
Et puis chacun retournera à ses occupations
La plupart habitent loin, faire le trajet, la flemme
La vie serait plus simple si on était voisins
On se reverra dans longtemps ça me fout la haine
On se reverra l'année prochaine mais avant c'est pas simple
On en parlera plus tard à voix basse sous la toile
Ou en écoutant "si seul" à la belle étoile
J'ai peur de dire "au revoir" donc souvent je m'enfuis
Pendant toute l'année ces souvenirs resterons enfouis
Et je pense à vous en écrivant ces lignes
Sans qui jamais mon bonheur ne serait complet
Un jour je vous verrait de loin et je vous ferait signe
En attendant de vous revoir, les jours sont comtés...
[refrain]x2