Les couloirs de ton corps by TOM BIRD Lyrics
Dans le creux de ta mine d'or se trouve
Mon Dieu qu'il est beau ce trésor du Louvre
Comme un feu de paille qui explose sous ma flamme
Au sommet de ces montagnes pointe
L'infini qui à mes lèvres s'esquinte
Ils suintent sous le doigté du pianiste qui te rend triste
Dans le pli de tes pulpeuses arrogantes
J'y vois le plaisir que parfois tu me chantеs
Je deviens récidivistе et retourne au supplice
Au bout de ces deux chemins sinueux
Se rejoignent enfin ces plaines délicieuses
Chaque fois je m'y perds, j'y aperçois la mer
Mais ne le répète jamais
Au labo de ton corps
Je suis et resterai
Le prince que tu implores
A la frontière d'une ville sauvage
J'ai besoin que tu m'escortes
L'humidité s'installe dans ce champ de bataille
Ces dix magnifiques d'une finesse sans pareille
Me forcent à perdre haleine
J'en deviens ton esclave enchaîné à tes fantasmes
Deux jolies plantes en fleurs se présentent à moi
Elles ont la chaleur de ce qui ne s'oublie pas
Et ma bouche en silence vient goûter à la déchéance
Dans ce nouveau royaume où l'inconnu m'appelle
J'y vois de ces merveilles
J'avance dans la pénombre et y creuse ma tombe
Mais ne le répète jamais
Au labo de ton corps
Je suis et resterai
Le prince que tu implores
Mais ne le répète à personne
Dans les couloirs de ton corps
Tes cris d'ivresse résonnent
Même quand tu dors
Mon Dieu qu'il est beau ce trésor du Louvre
Comme un feu de paille qui explose sous ma flamme
Au sommet de ces montagnes pointe
L'infini qui à mes lèvres s'esquinte
Ils suintent sous le doigté du pianiste qui te rend triste
Dans le pli de tes pulpeuses arrogantes
J'y vois le plaisir que parfois tu me chantеs
Je deviens récidivistе et retourne au supplice
Au bout de ces deux chemins sinueux
Se rejoignent enfin ces plaines délicieuses
Chaque fois je m'y perds, j'y aperçois la mer
Mais ne le répète jamais
Au labo de ton corps
Je suis et resterai
Le prince que tu implores
A la frontière d'une ville sauvage
J'ai besoin que tu m'escortes
L'humidité s'installe dans ce champ de bataille
Ces dix magnifiques d'une finesse sans pareille
Me forcent à perdre haleine
J'en deviens ton esclave enchaîné à tes fantasmes
Deux jolies plantes en fleurs se présentent à moi
Elles ont la chaleur de ce qui ne s'oublie pas
Et ma bouche en silence vient goûter à la déchéance
Dans ce nouveau royaume où l'inconnu m'appelle
J'y vois de ces merveilles
J'avance dans la pénombre et y creuse ma tombe
Mais ne le répète jamais
Au labo de ton corps
Je suis et resterai
Le prince que tu implores
Mais ne le répète à personne
Dans les couloirs de ton corps
Tes cris d'ivresse résonnent
Même quand tu dors