A distance égale by TOM BIRD Lyrics
Y’en a qui pleurent, y’en a qui rient
D’autres qui s’effleurent, qui sont polis
Qui bougent les lèvres plus que leurs jambes
T’en as qui rêvent, d’autres qui tremblent
Comme les fans de la première heure
Qui connaissent les chansons par coeur
Ou seulement les fins de phrases
Ils sont sympas derrière mon dos
Mais qu’ils l’écrasent
Dans le noir ils jouent aux grands fiers
Mais faut lеs voir dans la lumière
Ils passent d’un état de démеnce
A un état de conifère
Et le grand debout là devant toi
Qui t’empêche de voir ton idole
Tu penches à gauche, tu tentes à droite
Mais derrière c’est une petite fille…
Que tu rends folle
Et puis y’a tous ces amoureux
Mielleux, qui se tiennent dans les bras
Et savourent sûrement mieux à deux
Quand d’autres s’ennuient de n’être qu’à soi
Ils respirent tellement le printemps
Qu’ils me font oublier ceux qui
M’aspirent à détester les gens
Ils sont ce que mes yeux admirent
Ceux qui sous l’emprise d’une plante bizarre
Oublient qu’ils sont seuls au milieu
D’un concert de deux mille vieillards
Qui ne bougent même plus leurs yeux
Ceux qui ne comprennent rien à l’anglais
Et qui pour pas avoir l’air cons
Esquissent un beau sourire parfait
Même quand l’artiste parle déception
Puis t’as le mec pas original
Qui pour fuir l’oppression commune
S’improvise son espace vital
A distance égale de la Lune
Ceux qui dès le silence tombé
Regardent encore vers les étoiles
Ou quittent la salle sans trop se presser
Rejoindre lentement l’être aimé
Qui ne les attend pas
Et puis y’a tous ces amoureux
Mielleux, qui se tiennent dans les bras
Et savourent sûrement mieux à deux
Quand d’autres s’ennuient de n’être qu’à soi
Ils respirent tellement le printemps
Qu’ils me font oublier ceux qui
M’aspirent à détester les gens
Ils sont ce que mes yeux admirent
D’autres qui s’effleurent, qui sont polis
Qui bougent les lèvres plus que leurs jambes
T’en as qui rêvent, d’autres qui tremblent
Comme les fans de la première heure
Qui connaissent les chansons par coeur
Ou seulement les fins de phrases
Ils sont sympas derrière mon dos
Mais qu’ils l’écrasent
Dans le noir ils jouent aux grands fiers
Mais faut lеs voir dans la lumière
Ils passent d’un état de démеnce
A un état de conifère
Et le grand debout là devant toi
Qui t’empêche de voir ton idole
Tu penches à gauche, tu tentes à droite
Mais derrière c’est une petite fille…
Que tu rends folle
Et puis y’a tous ces amoureux
Mielleux, qui se tiennent dans les bras
Et savourent sûrement mieux à deux
Quand d’autres s’ennuient de n’être qu’à soi
Ils respirent tellement le printemps
Qu’ils me font oublier ceux qui
M’aspirent à détester les gens
Ils sont ce que mes yeux admirent
Ceux qui sous l’emprise d’une plante bizarre
Oublient qu’ils sont seuls au milieu
D’un concert de deux mille vieillards
Qui ne bougent même plus leurs yeux
Ceux qui ne comprennent rien à l’anglais
Et qui pour pas avoir l’air cons
Esquissent un beau sourire parfait
Même quand l’artiste parle déception
Puis t’as le mec pas original
Qui pour fuir l’oppression commune
S’improvise son espace vital
A distance égale de la Lune
Ceux qui dès le silence tombé
Regardent encore vers les étoiles
Ou quittent la salle sans trop se presser
Rejoindre lentement l’être aimé
Qui ne les attend pas
Et puis y’a tous ces amoureux
Mielleux, qui se tiennent dans les bras
Et savourent sûrement mieux à deux
Quand d’autres s’ennuient de n’être qu’à soi
Ils respirent tellement le printemps
Qu’ils me font oublier ceux qui
M’aspirent à détester les gens
Ils sont ce que mes yeux admirent