De lhuile sur le feu by TASCO Lyrics
Y a de quoi divertir les auditeurs
Faire parler ceux qui s’font passer pour des chroniqueurs
De l’adulte au mineur, squattent derrière les moniteurs
J’rap folie meurtrière pour les homies, J’veux du bénèf comme les gros dealers
Un cierge pour les tomy, un berger pour les bœufs
J’ai 30 berges, j’fuck tony, gamberge pour mes vœux
Et quand j’merde, pour les vieux, j’manque de fierté
On parle souvent d’image et regard de l'autre, y en a que pour les yeux
On s'prosterne pour les dieux, certains pètent un câble
Mesure pas la foie à la longueur de la barbe
Trop s’perdent pour les yeux des autres, à en devenir barge
Comme le gars au PMU qui s’endettent pour les jeux
Si tu rêves d’être prodigieux, apprends d’abord à encaisser
J’attends rien de la vie, à part de l’huile sur le feu
J’plaide pour les refrés qui s’perdent jamais n’envisagent
Qu’en prenant les raccourcis y a des culs de sacs et des grands virages
Ici les bandits margent en sous marin
Hantés par le vice, tentés par le fric, j’vais pas te dire que tout va bien
Des potes se font péter, les jobs se font rares
Comme dieudo à la télé s’tirant une balle dans le mocassin
J’ai de l’amour les mots, mais peur de partir comme Joe Dassin
Le temps est tarifé, j’en ai marre de me coucher au matin
Du mal à clarifier les choses, pacifier les causes
Appliquer les bases, pour sacrifier ma vie, j’gagne haut la main
J'respire de l'air trop malsain, et j’appréhende la canicule
La pollution en particules, les keufs qui guettent matricules
Chasse mauvaises habitudes, mieux vaut que tu capitules
Des fois c’est cocktail de poisse, t’es mort si t’ as pas d’issue
C’est le bordel comme dans mes textes
Y a pas de règles, que des lois, les droits de l’homme virent au semblant d’échec
La rue ne flambe pas que pendant les fêtes
J’rime dans le tas, cible lambda, ici les gens s’tuent en mangeant des miettes
On sort l’argenterie à l’Élysée, comme dans la rue c’est l’argent vif
Marchand de rêve pour te fidéliser
Élisez le meilleur, c’est ce qu’on nous a dit
Mais durant le 2ème tour c’est le pire qu’on a dû éviter
J’fais que délivrer des parenthèses
Des images en quête d’illustration où ma rage n’est pas en quarantaine
Fuck les Airs Jordans, j’porte des charentaises
Pantouflard, j’ai pas l’net sur mon portable
Mais l'port d’arme lyrical, j’défouraille plus + que Jack Bauer
H24, décourage les wacks, découpage des phases, que je lâche, plein gaz
À vous parquer dans des chambres, la mort est passée dans les camps
L’homme à tafé dans les champs, avant de rapper dans les temps
J’ai vu le monde dériver, pire qu’un man plein de crack
J’suis comme un chassé dans les dents, une lame cachée dans les gants
J’rime cash, dévoué comme pour un taf plein d’mailles
J’ai plein d’bail à faire sans vouloir tomber dans une sale affaire
J’dois m’tenir à carreau car j’suis bronzé sans vivre à la mer
Fonsdé comme un rastaquouère, la vie est faite de clichés
J’m'en serre comme des balises, ça pourrait m’conduire à ma perte
Ce monde c’est pas la terre promise, c’est pas la peine de l’prétendre
Même si t’es feuj et ronger par la guerre
Fonder par un tas de galères, la vision pleine de mélancolie
J’te parle avant d’finir effondré comme un grabataire
J’demande pas la permission d’faire du son les percussions m’guident
Comme un pilote vers le mur du son, en perdition, j’rime s’qui m’environne
Répercussion du stress, dans une mer agitée on s’ balade en pirogue
J’dédicace les guignols qui s’mouillent dans mes 16
J’ parle après qu’il soit trop tard, bats les couilles de faire des pièces
J’balaye tout avec un texte, quand j’me sens libre tard le soir
J’suis l’apprenti salopard, qui vient représenter l’espèce
Faire parler ceux qui s’font passer pour des chroniqueurs
De l’adulte au mineur, squattent derrière les moniteurs
J’rap folie meurtrière pour les homies, J’veux du bénèf comme les gros dealers
Un cierge pour les tomy, un berger pour les bœufs
J’ai 30 berges, j’fuck tony, gamberge pour mes vœux
Et quand j’merde, pour les vieux, j’manque de fierté
On parle souvent d’image et regard de l'autre, y en a que pour les yeux
On s'prosterne pour les dieux, certains pètent un câble
Mesure pas la foie à la longueur de la barbe
Trop s’perdent pour les yeux des autres, à en devenir barge
Comme le gars au PMU qui s’endettent pour les jeux
Si tu rêves d’être prodigieux, apprends d’abord à encaisser
J’attends rien de la vie, à part de l’huile sur le feu
J’plaide pour les refrés qui s’perdent jamais n’envisagent
Qu’en prenant les raccourcis y a des culs de sacs et des grands virages
Ici les bandits margent en sous marin
Hantés par le vice, tentés par le fric, j’vais pas te dire que tout va bien
Des potes se font péter, les jobs se font rares
Comme dieudo à la télé s’tirant une balle dans le mocassin
J’ai de l’amour les mots, mais peur de partir comme Joe Dassin
Le temps est tarifé, j’en ai marre de me coucher au matin
Du mal à clarifier les choses, pacifier les causes
Appliquer les bases, pour sacrifier ma vie, j’gagne haut la main
J'respire de l'air trop malsain, et j’appréhende la canicule
La pollution en particules, les keufs qui guettent matricules
Chasse mauvaises habitudes, mieux vaut que tu capitules
Des fois c’est cocktail de poisse, t’es mort si t’ as pas d’issue
C’est le bordel comme dans mes textes
Y a pas de règles, que des lois, les droits de l’homme virent au semblant d’échec
La rue ne flambe pas que pendant les fêtes
J’rime dans le tas, cible lambda, ici les gens s’tuent en mangeant des miettes
On sort l’argenterie à l’Élysée, comme dans la rue c’est l’argent vif
Marchand de rêve pour te fidéliser
Élisez le meilleur, c’est ce qu’on nous a dit
Mais durant le 2ème tour c’est le pire qu’on a dû éviter
J’fais que délivrer des parenthèses
Des images en quête d’illustration où ma rage n’est pas en quarantaine
Fuck les Airs Jordans, j’porte des charentaises
Pantouflard, j’ai pas l’net sur mon portable
Mais l'port d’arme lyrical, j’défouraille plus + que Jack Bauer
H24, décourage les wacks, découpage des phases, que je lâche, plein gaz
À vous parquer dans des chambres, la mort est passée dans les camps
L’homme à tafé dans les champs, avant de rapper dans les temps
J’ai vu le monde dériver, pire qu’un man plein de crack
J’suis comme un chassé dans les dents, une lame cachée dans les gants
J’rime cash, dévoué comme pour un taf plein d’mailles
J’ai plein d’bail à faire sans vouloir tomber dans une sale affaire
J’dois m’tenir à carreau car j’suis bronzé sans vivre à la mer
Fonsdé comme un rastaquouère, la vie est faite de clichés
J’m'en serre comme des balises, ça pourrait m’conduire à ma perte
Ce monde c’est pas la terre promise, c’est pas la peine de l’prétendre
Même si t’es feuj et ronger par la guerre
Fonder par un tas de galères, la vision pleine de mélancolie
J’te parle avant d’finir effondré comme un grabataire
J’demande pas la permission d’faire du son les percussions m’guident
Comme un pilote vers le mur du son, en perdition, j’rime s’qui m’environne
Répercussion du stress, dans une mer agitée on s’ balade en pirogue
J’dédicace les guignols qui s’mouillent dans mes 16
J’ parle après qu’il soit trop tard, bats les couilles de faire des pièces
J’balaye tout avec un texte, quand j’me sens libre tard le soir
J’suis l’apprenti salopard, qui vient représenter l’espèce