Quand la ville dort Rize remix by T.I.S Lyrics
[Couplet 1]
La ville devient paisible et le brouillard s'épaissit
C'est l'ambiance que j'aime précisément et que j'apprécie
Les jours sont toujours courts mais les nuits sont pour les MC's
Ainsi qu'pour les vautours, aux alentours de leurs récits
Ma cité vaut l'détour, même si ma vision s'rétrécit
Celle-ci me vole, détourne mon attention d'jeune imbécile
Celle-ci me joue des tours, j'ai impression d'être indécis
Entre haine et amour, mais c'est toujours elle qui décide
Comme ce soir, où je croise des regards dépressifs
Dans ce square, ceux des gens qui se laissent vivre ou mourir
De désespoir, malgré tout, il faut que je reste vif
J'ai seize bars agressifs, et une histoire à écrire sur mes exploits
Gotham City, c'est cris et messes basses
C'est surtout gris, peu d'espaces verts qui incitent à l'extase
Et, pour la suite, mon texte passe d'un univers à l'autre, c'est p't-être naze
Mais c'est ma ville, quand j'passe par de complexes phases, que j'illumine
[Refrain] (x2)
Et j'rappe quand la ville dort (de minuit pile à 5 du mat')
J'raconte ma vie morne (plus je sors en ville, plus je gratte)
J'rapporte des rimes d'or (éphémères, non durables)
Quand je m'balade toute la nuit dehors (nécessaire pour qu'tu captes)
[Couplet 2]
La ville s'est endormie ; la nuit, les belles plantes rentrent
Il n'reste que des orties de sortie, rampantes, lentes
Toutes en bande, assorties, pas forcément méchantes
Mais, aujourd'hui, la légende les rend sordides, j'les entends
Elles aussi, d'ailleurs, c'est troublant quand mon rap frappe L'amorti, autrement dit, agis plus prudemment
Près des bandits, c'est pourtant eux qui m'inspirent plus souvent
Mon art grandit, en vieux marin comme Gambi, j'navigue sans plan
Mais, dans la vie, reste un apprenti, et prends l'pli, pour l'instant
J'rencontre un peu n'importe qui, encore pris dans l'ciment
Mon rap est loin d'un Jordy, ce genre d'inutiles gens
Pas d'party chez Corti, j'coupe l'ordi subitement
Envoie l'couplet sur orbite, j'suis hors beat, hors du temps
Un seul pilote dans l'cockpit, du Mobb Deep dans l'tympan
Avec l'esprit et l'corps libres, un fort, digne habitant
D'un Gotham City morbide qui redevient vivant grâce à mon clan
[Refrain] (x2)
Et j'rappe quand la ville dort (de minuit pile à 5 du mat')
J'raconte ma vie morne (plus je sors en ville, plus je gratte)
J'rapporte des rimes d'or (éphémères, non durables)
Quand je m'balade toute la nuit dehors (nécessaire pour qu'tu captes)
La ville devient paisible et le brouillard s'épaissit
C'est l'ambiance que j'aime précisément et que j'apprécie
Les jours sont toujours courts mais les nuits sont pour les MC's
Ainsi qu'pour les vautours, aux alentours de leurs récits
Ma cité vaut l'détour, même si ma vision s'rétrécit
Celle-ci me vole, détourne mon attention d'jeune imbécile
Celle-ci me joue des tours, j'ai impression d'être indécis
Entre haine et amour, mais c'est toujours elle qui décide
Comme ce soir, où je croise des regards dépressifs
Dans ce square, ceux des gens qui se laissent vivre ou mourir
De désespoir, malgré tout, il faut que je reste vif
J'ai seize bars agressifs, et une histoire à écrire sur mes exploits
Gotham City, c'est cris et messes basses
C'est surtout gris, peu d'espaces verts qui incitent à l'extase
Et, pour la suite, mon texte passe d'un univers à l'autre, c'est p't-être naze
Mais c'est ma ville, quand j'passe par de complexes phases, que j'illumine
[Refrain] (x2)
Et j'rappe quand la ville dort (de minuit pile à 5 du mat')
J'raconte ma vie morne (plus je sors en ville, plus je gratte)
J'rapporte des rimes d'or (éphémères, non durables)
Quand je m'balade toute la nuit dehors (nécessaire pour qu'tu captes)
[Couplet 2]
La ville s'est endormie ; la nuit, les belles plantes rentrent
Il n'reste que des orties de sortie, rampantes, lentes
Toutes en bande, assorties, pas forcément méchantes
Mais, aujourd'hui, la légende les rend sordides, j'les entends
Elles aussi, d'ailleurs, c'est troublant quand mon rap frappe L'amorti, autrement dit, agis plus prudemment
Près des bandits, c'est pourtant eux qui m'inspirent plus souvent
Mon art grandit, en vieux marin comme Gambi, j'navigue sans plan
Mais, dans la vie, reste un apprenti, et prends l'pli, pour l'instant
J'rencontre un peu n'importe qui, encore pris dans l'ciment
Mon rap est loin d'un Jordy, ce genre d'inutiles gens
Pas d'party chez Corti, j'coupe l'ordi subitement
Envoie l'couplet sur orbite, j'suis hors beat, hors du temps
Un seul pilote dans l'cockpit, du Mobb Deep dans l'tympan
Avec l'esprit et l'corps libres, un fort, digne habitant
D'un Gotham City morbide qui redevient vivant grâce à mon clan
[Refrain] (x2)
Et j'rappe quand la ville dort (de minuit pile à 5 du mat')
J'raconte ma vie morne (plus je sors en ville, plus je gratte)
J'rapporte des rimes d'or (éphémères, non durables)
Quand je m'balade toute la nuit dehors (nécessaire pour qu'tu captes)