Je ne sais pas quoi raconter.. by Sukeakuro Lyrics
J'sais pas quoi raconter
J'parle de ma vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui n'aura aucune vue
J'arrive a rien dans cette vie
Même pas baiser ma copine
En même temps je n'l'aime pas trop
Heureusement elle en a des gros
Ca compense sa connerie: elle a toujours bonne mine
Et dans le noir quand je la pine:
Ouai c'est tout d'suite mieux, je lui crache dans les yeux
Un peu d'enfants inexistant
Ils tombent du bout d'ma bite
Et creusent leur tombe aussi vite
Mes paroles sont superficielles, comme la superficie du ciel
Du soleil, ou bien même de mon oseille immatérielle
Je sais pas quoi raconter
J'parle de ma vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui n'aura aucune vue
Je broie un peu de noir pour ma machine à café
Avant d'aller taffer, je dois, encore me recoiffer
L'apparence est primordiale m'ont ils toujours répétés
Au collège comme au lycée ne trainais-je qu'avec des pédés?
Petite baguette dans le jus noir, j'ingère tout ça
Du jus d'chausettes? Non je n'crois pas
Vous mettez les pieds dans l'plat
C'est quelques choses de raffiné
[Comme ta mère en p'tite] dentelles
Je vais pas la baiser
Pour ça, j'ai déjà mon sommeil
Je sais pas quoi raconter
... vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui ne sera jamais lu
Ma copine, je l'ai trompé
Elle a rien dit, elle m'a pas cru
Comme mes paroles. La sienne, non merci je n'en veux plus
J'ai trop donné pour peu: Je ne suis pas stable:
Repas composé de sable et de jus d'érable
Toujours le cul entre deux chaises comme ta mère entre deux baises
Le feu au cul ça sent la braises, dans les caves du 93
De l'amour, elles voulaient tous en avoir
J'leurs rétorquais avec humour:
Laissez moi voir!
J'parle de ma vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui n'aura aucune vue
J'arrive a rien dans cette vie
Même pas baiser ma copine
En même temps je n'l'aime pas trop
Heureusement elle en a des gros
Ca compense sa connerie: elle a toujours bonne mine
Et dans le noir quand je la pine:
Ouai c'est tout d'suite mieux, je lui crache dans les yeux
Un peu d'enfants inexistant
Ils tombent du bout d'ma bite
Et creusent leur tombe aussi vite
Mes paroles sont superficielles, comme la superficie du ciel
Du soleil, ou bien même de mon oseille immatérielle
Je sais pas quoi raconter
J'parle de ma vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui n'aura aucune vue
Je broie un peu de noir pour ma machine à café
Avant d'aller taffer, je dois, encore me recoiffer
L'apparence est primordiale m'ont ils toujours répétés
Au collège comme au lycée ne trainais-je qu'avec des pédés?
Petite baguette dans le jus noir, j'ingère tout ça
Du jus d'chausettes? Non je n'crois pas
Vous mettez les pieds dans l'plat
C'est quelques choses de raffiné
[Comme ta mère en p'tite] dentelles
Je vais pas la baiser
Pour ça, j'ai déjà mon sommeil
Je sais pas quoi raconter
... vie au quotidien
Encore du rap té-pé
Ouai, c'toujours le même train-train
Je fais ça sur un vieux beat, la flemme de faire une instru
Pour une chanson nulle, qui ne sera jamais lu
Ma copine, je l'ai trompé
Elle a rien dit, elle m'a pas cru
Comme mes paroles. La sienne, non merci je n'en veux plus
J'ai trop donné pour peu: Je ne suis pas stable:
Repas composé de sable et de jus d'érable
Toujours le cul entre deux chaises comme ta mère entre deux baises
Le feu au cul ça sent la braises, dans les caves du 93
De l'amour, elles voulaient tous en avoir
J'leurs rétorquais avec humour:
Laissez moi voir!