Survivant by Scryss Lyrics
Survivant, mais par chance en quittant l’enfer
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi
En attendant mon cachet trouve moi en pleine médication
En nous y’a tous un gosse caché mais pas la même éducation
Mon âme du soleil en retrait fond, jusqu’au tréfonds
J’dois me sauver en vitesse, l’encre noircit, mes traits foncent
Peur du bizarre, un ressenti manque et ça vous braque
J’suis désolé y’a des histoires, des sentiments qui s’avouent pas
Y’a des vérités qui blessent genre : si Maman boit trop
C’est peut être parcequ’on a tous arrêter de l’aider bien tôt
J’vais pas trop parler de chez elle j’étais pas vexé d’en partir
J’sais pas pourquoi je la comprends des fois, ou j’fais une excès d’empathie
Sinon souvent c’est froid, sous ma poitrine
Comme si mon coeur volontairement voulait s’annexer d’un poids triste
Il n’est plus question d’un poème et maintenant qu’allez vous m’dire ?
Qu’au fond j’en veux à personne et que c’est bien ça mon problème
Que mis à part un peu d’amour, mes sentiments sont robotiques
Que j’avais en rayon du soleil, que mon coeur a fermé boutique
Survivant, mais par chance en quittant l’enfer
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi X2
Le mensonge étripe une âme, pour que mon père ait ma garde
Les autres en sortie scolaire et moi j’étais au tribunal
En vrai je n’ai pas menti mais je crois que j’ai exagéré
Et pour ça je m’en veux, l’enfance est un apprentissage
Morveux, on est bien trop influençable
Enfouit en soi les chocs dans le reflet peuvent donner différents visages
Des portes auxquelles accédé, à l’école
J’étais ce mélange rare entre un gars bizarre et pourtant accepter
C’est pour ces gosses qui savent que je parle des portes qu’on enfonce sourd
Et tout ces profs qui ne comprennent pas que beaucoup d’enfants souffrent
Ces portes qu’on claque à la gueule de ceux qui enfin s’ouvrent et qui saturent
J’ai passé plusieurs heures maintenant caduques a déprimé
Rassurez vous j’suis plus heureux en tant qu’adulte
D’autant plus révolté par les cas durs qu’on voit brimé
C’est pour mes jeunes divisés sans l’amitié
Comme la dérive des continents, le naufrage de l’humanité
Survivant, mais par chance en quittant l’enfer
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi X2
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi
En attendant mon cachet trouve moi en pleine médication
En nous y’a tous un gosse caché mais pas la même éducation
Mon âme du soleil en retrait fond, jusqu’au tréfonds
J’dois me sauver en vitesse, l’encre noircit, mes traits foncent
Peur du bizarre, un ressenti manque et ça vous braque
J’suis désolé y’a des histoires, des sentiments qui s’avouent pas
Y’a des vérités qui blessent genre : si Maman boit trop
C’est peut être parcequ’on a tous arrêter de l’aider bien tôt
J’vais pas trop parler de chez elle j’étais pas vexé d’en partir
J’sais pas pourquoi je la comprends des fois, ou j’fais une excès d’empathie
Sinon souvent c’est froid, sous ma poitrine
Comme si mon coeur volontairement voulait s’annexer d’un poids triste
Il n’est plus question d’un poème et maintenant qu’allez vous m’dire ?
Qu’au fond j’en veux à personne et que c’est bien ça mon problème
Que mis à part un peu d’amour, mes sentiments sont robotiques
Que j’avais en rayon du soleil, que mon coeur a fermé boutique
Survivant, mais par chance en quittant l’enfer
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi X2
Le mensonge étripe une âme, pour que mon père ait ma garde
Les autres en sortie scolaire et moi j’étais au tribunal
En vrai je n’ai pas menti mais je crois que j’ai exagéré
Et pour ça je m’en veux, l’enfance est un apprentissage
Morveux, on est bien trop influençable
Enfouit en soi les chocs dans le reflet peuvent donner différents visages
Des portes auxquelles accédé, à l’école
J’étais ce mélange rare entre un gars bizarre et pourtant accepter
C’est pour ces gosses qui savent que je parle des portes qu’on enfonce sourd
Et tout ces profs qui ne comprennent pas que beaucoup d’enfants souffrent
Ces portes qu’on claque à la gueule de ceux qui enfin s’ouvrent et qui saturent
J’ai passé plusieurs heures maintenant caduques a déprimé
Rassurez vous j’suis plus heureux en tant qu’adulte
D’autant plus révolté par les cas durs qu’on voit brimé
C’est pour mes jeunes divisés sans l’amitié
Comme la dérive des continents, le naufrage de l’humanité
Survivant, mais par chance en quittant l’enfer
La souffrance est coutume à raison d’une fois
J’ai l’image d’un enfant gisant à terre
Mais encore vivant oscillant dans sa foi X2