Rêves ft Cléo by STZ (FRA) Lyrics
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'еs plus seul
C'est lorsqu'on vient au mondе avec certaines valeurs
Qu'on comprend pourquoi certaines tombes sont plus fournies en fleurs
Si mon passé est au présent, c'est que mon futur n'est pas à l'heure
On vit en colonie, comme des fourmis, philosophie de fédérateur
J'ai des insomnies qui m'font retourner plus vite que la lune
Cette symphonie va juste endurcir le poids de mon amertume
Je n'vois plus mon reflet car dans la mer y'a trop d'écume
Je n'vois plus le vrai du faux, une omerta de mes interludes
Et c'est interminable, cet air irrespirable
Comme un condensé de tout ce qui est indésirable
Des gens arrivent, des gens repartent
Comme une dose curative, face à ma prose maladive
Ma névrose c'est ton regard
C'est parce que tu l'as brisé, que j'n'appelerai plus mon coeur
Arsenic avalé, jamais je ne digèrerai cette peur
Sur mon poignet, des aiguilles tournent, perdu dans un schéma cyclique
Plus de paquets de résine douce, j'suis devenu trop amnésique
Et j'me rappelle encore du jeu d'il y a quelques années
Lorsqu'on était tit-pe et qu'il fallait tous vous vouvoyer
Maintenant on m'appelle Monsieur, je ne peux me fourvoyer
Lentement, je prends la place des vieux
Moi je voudrais rembobiner
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'es plus seul
Elle court, elle court, la rancoeur qui tabasse le bonheur
J'préfère un parcours puéril plutôt qu'être une race sans honneur
Jolie fille dans mon coeur, est-ce un sacrifice ? Le rap pour officine
Face à mes peurs je suis satiriste, si j'écris toutes ces rimes de menteur
Indécis face à mes choix ? Imbécile face à tes yeux
Les péripéties m'laissent sans voix donc on s'envoie vers les cieux
Et si jamais tu tends l'oreille, fais attention aux acouphènes
Il n'y a rien d'exceptionnel, quand le passé se prend pour modèle
J'affronte et je fonce en évitant les prises de tête accidentelles
Mais je succombe aux risques, de toutes ces âmes en peine
Car je retombe dans le purisme de trouver la plus humaine
Et si jamais on s'aime, promets moi de ne pas me dire "je t'aime"
Car c'est dans la mise en scène, qu'on devient tous schizophrène
L'avenir sera une prise de conscience qui permettra l'éveil
J'admire et j'aime ma mère et c'est sur elle que ma force veille
C'est le risque de la science de prouver que rien n'est éternel
Tant de choses éphémères comme cet amour contractuel
Oui je pose sans être vénère, c'est le poids lourd du constat réel
Combat de santé, on s'empressera de le raconter
Car sans paraphraser, oui la mort a voulu frapper
Descendant de l'histoire, suis-je un apôtre sans savoir lequel ?
Écrivant à l'encre noire sur ma peau quelque chose d'intemporel
Donc un temps pour tout, évitons les mots doux
Et vidons nos dégoûts, car on restera debout
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'es plus seul
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais on est plus seul
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'еs plus seul
C'est lorsqu'on vient au mondе avec certaines valeurs
Qu'on comprend pourquoi certaines tombes sont plus fournies en fleurs
Si mon passé est au présent, c'est que mon futur n'est pas à l'heure
On vit en colonie, comme des fourmis, philosophie de fédérateur
J'ai des insomnies qui m'font retourner plus vite que la lune
Cette symphonie va juste endurcir le poids de mon amertume
Je n'vois plus mon reflet car dans la mer y'a trop d'écume
Je n'vois plus le vrai du faux, une omerta de mes interludes
Et c'est interminable, cet air irrespirable
Comme un condensé de tout ce qui est indésirable
Des gens arrivent, des gens repartent
Comme une dose curative, face à ma prose maladive
Ma névrose c'est ton regard
C'est parce que tu l'as brisé, que j'n'appelerai plus mon coeur
Arsenic avalé, jamais je ne digèrerai cette peur
Sur mon poignet, des aiguilles tournent, perdu dans un schéma cyclique
Plus de paquets de résine douce, j'suis devenu trop amnésique
Et j'me rappelle encore du jeu d'il y a quelques années
Lorsqu'on était tit-pe et qu'il fallait tous vous vouvoyer
Maintenant on m'appelle Monsieur, je ne peux me fourvoyer
Lentement, je prends la place des vieux
Moi je voudrais rembobiner
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'es plus seul
Elle court, elle court, la rancoeur qui tabasse le bonheur
J'préfère un parcours puéril plutôt qu'être une race sans honneur
Jolie fille dans mon coeur, est-ce un sacrifice ? Le rap pour officine
Face à mes peurs je suis satiriste, si j'écris toutes ces rimes de menteur
Indécis face à mes choix ? Imbécile face à tes yeux
Les péripéties m'laissent sans voix donc on s'envoie vers les cieux
Et si jamais tu tends l'oreille, fais attention aux acouphènes
Il n'y a rien d'exceptionnel, quand le passé se prend pour modèle
J'affronte et je fonce en évitant les prises de tête accidentelles
Mais je succombe aux risques, de toutes ces âmes en peine
Car je retombe dans le purisme de trouver la plus humaine
Et si jamais on s'aime, promets moi de ne pas me dire "je t'aime"
Car c'est dans la mise en scène, qu'on devient tous schizophrène
L'avenir sera une prise de conscience qui permettra l'éveil
J'admire et j'aime ma mère et c'est sur elle que ma force veille
C'est le risque de la science de prouver que rien n'est éternel
Tant de choses éphémères comme cet amour contractuel
Oui je pose sans être vénère, c'est le poids lourd du constat réel
Combat de santé, on s'empressera de le raconter
Car sans paraphraser, oui la mort a voulu frapper
Descendant de l'histoire, suis-je un apôtre sans savoir lequel ?
Écrivant à l'encre noire sur ma peau quelque chose d'intemporel
Donc un temps pour tout, évitons les mots doux
Et vidons nos dégoûts, car on restera debout
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais tu n'es plus seul
Rattrapé par mes rêves
T'as oublié de les vivre
Le monde accoure dans tes bras comme une missive
Le compte à rebours est une soudaine perspective
T'as tout mis dans ton recueil
J'ai fait peau neuve pour essayer de m'adoucir
C'est l'épreuve que tu dois t'assurer de réussir
Le temps et son ossature me terrifie
Mais on est plus seul