SUICIDE by SOCRATEISBACK Lyrics
[Couplet 1]
Mon bras est une guerre
Chaque entaille est une bataille
Chaque ligne, qu’elle soit verticale ou horizontale, est une histoire contée
Éphémères, jours après jours, elles disparaissent
Les seuls endroits où elles subsistent, où leurs derniers bastions tiennent encore, se trouvent dans le passé et dans mes pensées
Mais hélas, oubliez les festivités
La trêve ne sera sûrement pas éternelle
Car, à tout instant, un groupe de fantassins enragés, pourrait refaire surface, menant à une bataille sanglante
Qui réveillerait alors, la totalité d’une nation
Qui illuminerait, bombarderait, et saccagerait tout un front
Entraînant alors, une multitude de batailles
[Refrain]
Coucou, comment vas-tu ?
Couci-couça, tu coco tout ça
La vie j’sais pas, c’est où ?
La vie j’sais pas, c’est quoi ?
J’suis contrasté, ma vie c’est d’la merde, j’ai constaté
Dans le noir, j’ai plongé
La mort j’ai contacté
Le suicide j’ai côtoyé
Le couteau j’ai failli planté, mes amis me l’ont empêché
[Couplet 2]
Putain, j’ai emmagasiné plus de haine, que tout les LE PEN
Hier j’étais à deux doigts de m’ôter la vie
Et maintenant, j’suis à deux doigts de te mettre mes dix doigts
J’ai des pensées sombres, des idées noires, des putains d’envies de suicide, J’croyais qu’une fois l’été venu, j’aurai oublié tout cette merde, bah nan, t’as cru qu’ça aurait été aussi facile que ça, bordel
J’ai perdu la fois, le couteau m’a effleuré, et j’ai bien failli perdre mon foie
J’étais comme un soldat, j’ai tenté de me mutiler, non pas pour échapper au combat, mais pour échapper à la vie
J’m’en souviens encore, ces taches rouges, qui remplissaient mes pages blanches
Au dessus de l’évier, j’ai voulu déverser mon sang, comme la Loire dans l’Atlantique
Tailleur de pierres d’antan, aujourd’hui, tailleur de veines
Rempli de pensées délétères
Je n’oublierai pas
Vous, qui étiez là, quand j’ai voulu m’ôter la vie, vous m’avez relevé
J’en garde les traces
Passé, pensées, calmants, pansements
Un jour tout partira, Tout deviendra poussière, tout ça s’effacera
[Refrain]
Coucou, comment tu vas ?
Couci-couça, tu coco tout ça
La vie j’sais pas, c’est où ?
La vie j’sais pas, c’est quoi ?
J’suis contrasté, ma vie c’est d’la merde, j’ai constaté
Dans le noir, j’ai plongé
La mort j’ai contacté
Le suicide j’ai côtoyé
Le couteau j’ai failli planté, mes amis me l’ont empêché
[Couplet 3]
Ah mais la rage est là, j’ai la rage là, rien ne s’effacera, comme l’AZF de Toulouse, mes veines explosent, j’suis empoisonné mon sang est jaune, j’suis à Hiroshima, mon sang coule, c’est les chutes du Niagara, même avec la force que les gens et mes amis me donnent, un jour pas trop éloigné, je l’espère, mon heure viendra, je serai rattrapé par le Gong, la cloche sonnera, et tout s’effacera, tout partira
Mon bras est une guerre
Chaque entaille est une bataille
Chaque ligne, qu’elle soit verticale ou horizontale, est une histoire contée
Éphémères, jours après jours, elles disparaissent
Les seuls endroits où elles subsistent, où leurs derniers bastions tiennent encore, se trouvent dans le passé et dans mes pensées
Mais hélas, oubliez les festivités
La trêve ne sera sûrement pas éternelle
Car, à tout instant, un groupe de fantassins enragés, pourrait refaire surface, menant à une bataille sanglante
Qui réveillerait alors, la totalité d’une nation
Qui illuminerait, bombarderait, et saccagerait tout un front
Entraînant alors, une multitude de batailles
[Refrain]
Coucou, comment vas-tu ?
Couci-couça, tu coco tout ça
La vie j’sais pas, c’est où ?
La vie j’sais pas, c’est quoi ?
J’suis contrasté, ma vie c’est d’la merde, j’ai constaté
Dans le noir, j’ai plongé
La mort j’ai contacté
Le suicide j’ai côtoyé
Le couteau j’ai failli planté, mes amis me l’ont empêché
[Couplet 2]
Putain, j’ai emmagasiné plus de haine, que tout les LE PEN
Hier j’étais à deux doigts de m’ôter la vie
Et maintenant, j’suis à deux doigts de te mettre mes dix doigts
J’ai des pensées sombres, des idées noires, des putains d’envies de suicide, J’croyais qu’une fois l’été venu, j’aurai oublié tout cette merde, bah nan, t’as cru qu’ça aurait été aussi facile que ça, bordel
J’ai perdu la fois, le couteau m’a effleuré, et j’ai bien failli perdre mon foie
J’étais comme un soldat, j’ai tenté de me mutiler, non pas pour échapper au combat, mais pour échapper à la vie
J’m’en souviens encore, ces taches rouges, qui remplissaient mes pages blanches
Au dessus de l’évier, j’ai voulu déverser mon sang, comme la Loire dans l’Atlantique
Tailleur de pierres d’antan, aujourd’hui, tailleur de veines
Rempli de pensées délétères
Je n’oublierai pas
Vous, qui étiez là, quand j’ai voulu m’ôter la vie, vous m’avez relevé
J’en garde les traces
Passé, pensées, calmants, pansements
Un jour tout partira, Tout deviendra poussière, tout ça s’effacera
[Refrain]
Coucou, comment tu vas ?
Couci-couça, tu coco tout ça
La vie j’sais pas, c’est où ?
La vie j’sais pas, c’est quoi ?
J’suis contrasté, ma vie c’est d’la merde, j’ai constaté
Dans le noir, j’ai plongé
La mort j’ai contacté
Le suicide j’ai côtoyé
Le couteau j’ai failli planté, mes amis me l’ont empêché
[Couplet 3]
Ah mais la rage est là, j’ai la rage là, rien ne s’effacera, comme l’AZF de Toulouse, mes veines explosent, j’suis empoisonné mon sang est jaune, j’suis à Hiroshima, mon sang coule, c’est les chutes du Niagara, même avec la force que les gens et mes amis me donnent, un jour pas trop éloigné, je l’espère, mon heure viendra, je serai rattrapé par le Gong, la cloche sonnera, et tout s’effacera, tout partira