NOUVEAU SOUFFLE by SOCRATEISBACK Lyrics
[Refrain]
J’inspire, Shakespeare, me voici, me voilà, je reprends mon souffle, le nouveau souffle, l’espoir, l’optimisme me revient, quelque chose de nouveau à parcouru mon corps
[Couplet 1]
Est-ce l’amour ? Est-ce lui qui me revient
Celui qui s’est fait bombarder, revient t’il avec son acolyte le cœur, le mutilé ?
Est-ce l’espoir ? Celui en qui je croyais, mais qui s’est échappé quand j’me suis ouvert le corps, merde,ce n’était donc pas ça l’ouverture d’esprit ? l’espérance ne déçoit pas, je n’en suis plus si sûr ...
Est-ce la nostalgie, celle du passé, le passé positif, celui où j’étais heureux, celui où je vivais vraiment ?
Est-ce la tristesse ? La grande tristesse, celle qui a accompagné mes regrets et mes remords depuis toujours, est-ce bien toi ?
Cette putain de mélancolie revient elle ?
Est-ce la joie ? Qui a disparu depuis fort longtemps, et qui revient d’un claquement de doigt, d’un éclair, d’un souffle
La peur, la terreur ? Qui m’envahissent et me piétinent, est-ce vous bande de petits démons, mais vous allez me laisser tranquille ?
Est-ce la rage ? La rage de vengeance, celle de buter, de planter, de broyer des gens ?
Ou bien est-ce l’optimisme ? Hum ? Dis-moi, Oui ! mais oui ! l’optimisme me revient, et apporte avec lui d’immense émotions d’antan !
[Refrain]
J’inspire, Shakespeare, me voici, me voilà, je reprends mon souffle, le nouveau souffle, l’espoir, l’optimisme me revient, quelque chose de nouveau à parcouru mon corps
[Couplet 2]
Je souffle de nouveau, je reprend mon souffle, je marque le renouveau
Le pessimiste qui me rongeait ? Je l’ai dégagé, je l’ai buté, défoncé à coups de lattes, je reviens en force, je reviens fort, fort comme le coffre, ou comme le château, comme une personne qui sort de chimio, comme un vétéran d’une guerre, l’optimisme me gagne, je retrouve les jours heureux, même si nous pénétrons de plus en plus dans le noir des saisons
Que c’est beau, beau de vivre, je pars en profiter, j’espère que ce ne sera pas éphémère, ah ouais, pas d’éphémère pour la joie, je veux être heureux putain, j’vais y‘ arriver, y’a pas de raisons
À partir d’aujourd’hui, j’irai acheter mon pain chez la boulangère, et je me taperai la discute avec elle, je saluerai les passants, je vagabonderai, je danserai, j’aiderai les gens, j’aimerai plus que jamais, je sourirai, quitte à passer pour un fou, quitte à se faire dévisager et à subir quelques regards, de toute façon, j’ai déjà perdu du sang, je sors du trou, je sors du gouffre, de ma grotte, du noir, je descends du pont, du toit, je remonte sur le quai, j’ai rangé le couteau, j’ai refermé les plaies, rien ne pourra m’arrête, ni une, ni moins, j’écrirai plus que jamais, des paroles, des romans, l’essayiste, le romancier, le parolier, l’écrivain, le rappeur, c’est moi, et moi avec mon ambition, j’entreprendrai des projets, je battrai des ailes, les prédateurs, les tirs d’artilleries et les tempêtes, j’ai vaincu, et je continuerai de vaincre, l’air frais à remplacer l’air chaud, mes poumons se vident, le souffle est, le souffle est nouveau, mais oui ! Le souffle est nouveau !
J’inspire, Shakespeare
Cœur sur vous
J’inspire, Shakespeare, me voici, me voilà, je reprends mon souffle, le nouveau souffle, l’espoir, l’optimisme me revient, quelque chose de nouveau à parcouru mon corps
[Couplet 1]
Est-ce l’amour ? Est-ce lui qui me revient
Celui qui s’est fait bombarder, revient t’il avec son acolyte le cœur, le mutilé ?
Est-ce l’espoir ? Celui en qui je croyais, mais qui s’est échappé quand j’me suis ouvert le corps, merde,ce n’était donc pas ça l’ouverture d’esprit ? l’espérance ne déçoit pas, je n’en suis plus si sûr ...
Est-ce la nostalgie, celle du passé, le passé positif, celui où j’étais heureux, celui où je vivais vraiment ?
Est-ce la tristesse ? La grande tristesse, celle qui a accompagné mes regrets et mes remords depuis toujours, est-ce bien toi ?
Cette putain de mélancolie revient elle ?
Est-ce la joie ? Qui a disparu depuis fort longtemps, et qui revient d’un claquement de doigt, d’un éclair, d’un souffle
La peur, la terreur ? Qui m’envahissent et me piétinent, est-ce vous bande de petits démons, mais vous allez me laisser tranquille ?
Est-ce la rage ? La rage de vengeance, celle de buter, de planter, de broyer des gens ?
Ou bien est-ce l’optimisme ? Hum ? Dis-moi, Oui ! mais oui ! l’optimisme me revient, et apporte avec lui d’immense émotions d’antan !
[Refrain]
J’inspire, Shakespeare, me voici, me voilà, je reprends mon souffle, le nouveau souffle, l’espoir, l’optimisme me revient, quelque chose de nouveau à parcouru mon corps
[Couplet 2]
Je souffle de nouveau, je reprend mon souffle, je marque le renouveau
Le pessimiste qui me rongeait ? Je l’ai dégagé, je l’ai buté, défoncé à coups de lattes, je reviens en force, je reviens fort, fort comme le coffre, ou comme le château, comme une personne qui sort de chimio, comme un vétéran d’une guerre, l’optimisme me gagne, je retrouve les jours heureux, même si nous pénétrons de plus en plus dans le noir des saisons
Que c’est beau, beau de vivre, je pars en profiter, j’espère que ce ne sera pas éphémère, ah ouais, pas d’éphémère pour la joie, je veux être heureux putain, j’vais y‘ arriver, y’a pas de raisons
À partir d’aujourd’hui, j’irai acheter mon pain chez la boulangère, et je me taperai la discute avec elle, je saluerai les passants, je vagabonderai, je danserai, j’aiderai les gens, j’aimerai plus que jamais, je sourirai, quitte à passer pour un fou, quitte à se faire dévisager et à subir quelques regards, de toute façon, j’ai déjà perdu du sang, je sors du trou, je sors du gouffre, de ma grotte, du noir, je descends du pont, du toit, je remonte sur le quai, j’ai rangé le couteau, j’ai refermé les plaies, rien ne pourra m’arrête, ni une, ni moins, j’écrirai plus que jamais, des paroles, des romans, l’essayiste, le romancier, le parolier, l’écrivain, le rappeur, c’est moi, et moi avec mon ambition, j’entreprendrai des projets, je battrai des ailes, les prédateurs, les tirs d’artilleries et les tempêtes, j’ai vaincu, et je continuerai de vaincre, l’air frais à remplacer l’air chaud, mes poumons se vident, le souffle est, le souffle est nouveau, mais oui ! Le souffle est nouveau !
J’inspire, Shakespeare
Cœur sur vous