LE POÈTE by SOCRATEISBACK Lyrics
Il y’avait dans mon village,
Un vieille homme boiteux,
Qui trépassait les âges,
De caractère orgueilleux,
Il avait vécu la guerre,
Il avait miles poèmes,
Le Voltaire solitaire,
Menait une vie de bohème,
Chaque matin, dès l’aube,
Une mélodie résonnait,
D’énormes bouquets de roses,
Sortaient de sa cheminée,
Je pouvais l’apercevoir,
En travers de l’église,
Tout seul durant les temps noirs,
Se tenant dans la brise,
Quand il vagabondait,
Il chantonnait ses vers,
Dans les rues, il marchait,
Plongé dans l’Univers,
Il parcourait les saisons,
Feuilles et plume à la main,
Regard vers l’horizon,
Il continuait son chemin,
Les années s’écoulèrent,
Chaque fois, il était là,
Gaillard spectaculaire,
Que le temps dissimulera,
Un jour, son âme mourut,
Noyé par les émotions,
Le poète n’était plus,
Meurtri de la pendaison,
Tué pour ses controverses,
Le poète a souffert,
Son âme, sa voix, la transperce,
Cette corde mortifère,
Attachée sur l’arbre sacré,
Du sang en abondance,
Le grand poète attaché,
Le vent qui le balance.
Un vieille homme boiteux,
Qui trépassait les âges,
De caractère orgueilleux,
Il avait vécu la guerre,
Il avait miles poèmes,
Le Voltaire solitaire,
Menait une vie de bohème,
Chaque matin, dès l’aube,
Une mélodie résonnait,
D’énormes bouquets de roses,
Sortaient de sa cheminée,
Je pouvais l’apercevoir,
En travers de l’église,
Tout seul durant les temps noirs,
Se tenant dans la brise,
Quand il vagabondait,
Il chantonnait ses vers,
Dans les rues, il marchait,
Plongé dans l’Univers,
Il parcourait les saisons,
Feuilles et plume à la main,
Regard vers l’horizon,
Il continuait son chemin,
Les années s’écoulèrent,
Chaque fois, il était là,
Gaillard spectaculaire,
Que le temps dissimulera,
Un jour, son âme mourut,
Noyé par les émotions,
Le poète n’était plus,
Meurtri de la pendaison,
Tué pour ses controverses,
Le poète a souffert,
Son âme, sa voix, la transperce,
Cette corde mortifère,
Attachée sur l’arbre sacré,
Du sang en abondance,
Le grand poète attaché,
Le vent qui le balance.