Main Tendue by Roimage Noir Lyrics
Faudra plus qu'une main tendue pour affronter l'inattendu
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil
Un matin le vent se lève et puis tu mets les voiles
Tu deviens ce marin aux 100 rêves qui sе dévoile
Les mains fermеs posées sur le gouvernail
T'affron-tes la tempête en espérant que vienne le calme
Le cri d'l'humanité s'estompe dans sa propre matité
Noyé par tant d'rivalité, c'est d'l'intérieur que l'eau monte mais
Prendre son envol ce n'est pas sauter de la falaise
Tout dégringole quand la réalité l'emporte sur le rêve
Cesse donc tes maniè-res
On sait c'qu'cache tes faux aires
Tu dis qu't'étais là hier
Mais qu'étais tu?
Le liège, le liere ou la hyène, oui qu'étais tu?
Un frère, un pique assiette, ou bien un traître, oui qu'é-tais tu?
Si tu lèches pas des culs sur la toile c'est qu't'es imbus de ta personne
Alors fais le jusqu'à ulcérer ta langue et tous ses pores
Après ça tu n'pourras plus parler, ni plaire à personne
Mais allègrement remercié tu seras par tous
Ces porcs
...
Tu jactes trop je vais finir par dénerver ton hypoglosse
Énervé, j'ai peu d'bonté, la popo me le rappelle
J'entends sans cesse que faire du zèle
Est moins bien vu qu'ouvrir ses fesses
J'attends qu'le ciel foudroit les traitres, Pour prendre mes aises et tendre mes ailes
Faudra plus qu'une main tendue pour affronter l'inattendu
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil
Faudra plus qu'une main tendue pour affronter l'inattendu
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil
Un matin le vent se lève et puis tu mets les voiles
Tu deviens ce marin aux 100 rêves qui sе dévoile
Les mains fermеs posées sur le gouvernail
T'affron-tes la tempête en espérant que vienne le calme
Le cri d'l'humanité s'estompe dans sa propre matité
Noyé par tant d'rivalité, c'est d'l'intérieur que l'eau monte mais
Prendre son envol ce n'est pas sauter de la falaise
Tout dégringole quand la réalité l'emporte sur le rêve
Cesse donc tes maniè-res
On sait c'qu'cache tes faux aires
Tu dis qu't'étais là hier
Mais qu'étais tu?
Le liège, le liere ou la hyène, oui qu'étais tu?
Un frère, un pique assiette, ou bien un traître, oui qu'é-tais tu?
Si tu lèches pas des culs sur la toile c'est qu't'es imbus de ta personne
Alors fais le jusqu'à ulcérer ta langue et tous ses pores
Après ça tu n'pourras plus parler, ni plaire à personne
Mais allègrement remercié tu seras par tous
Ces porcs
...
Tu jactes trop je vais finir par dénerver ton hypoglosse
Énervé, j'ai peu d'bonté, la popo me le rappelle
J'entends sans cesse que faire du zèle
Est moins bien vu qu'ouvrir ses fesses
J'attends qu'le ciel foudroit les traitres, Pour prendre mes aises et tendre mes ailes
Faudra plus qu'une main tendue pour affronter l'inattendu
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil
Faudra plus qu'une main tendue pour affronter l'inattendu
Chemin troublé par l'inconnu, j'entame une quête défendue
Détendu, je les connais
Les feintes tendues qu'on nous colle et
Je les déjoue, le bras tendu vers le soleil