Dans La Cour / DCJEAD by Roimage Noir Lyrics
Y'a cette fille qui passe dans la cour
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
Pour toi je froderai le bus *j'te l'jure*
Pour toi je frolerai la mort *c'est sûr*
Rien à foutre si je pige pas tout
C'est cupidon pas de ding ding dong
Les uc bidons, on s'en contre fou
S'il n'y a pas de farce c'est moi l'dindon
J'observe le ciel et ses couches
Qui doucement se dissoudent
La pluie commence et m'eclabousse
La fille doucement s'évanouit
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
*Nan mais tu vois y'a rien de mal à décrire ce moment, c'est un peu comme un tableau, un tableau vivant, une œuvre d'art, quelque chose de précieux sans vigile, sans barrière sans rien.*
Y'a cette fille qui passe dans la cour
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
Mon regard dévit
L'impression d'croiser l'dévil, mes vertè-bres
Se compriment
Quand j'la recroise à l'épicerie
OK stop
La y'a pleins d'images dans ma tête
Du style kardi B
Dans l'cagibi
Y'a moi aussi
On est serré
Pas de pass santé
Ni de ré-cé-pissé
Scène épicée
Vers le précipice
J'me précipite
Au bord du vide
J'me met à m'pisser, m'pisser, m'pisser
Dessus car quand le son-ge se dissipe
Entre mes cernes
Je dicerne
Que je deviens disciple
D'une toute autre réalité. Réalité réalité
*Ah tu, tu fais tes courses à l'épicerie
Tu t'souviens de moi? On s'est croisé la dernière fois?
Je, je crois que tu marchais, mais jsuis plus très sur, sur mes lunettes y'avait, y'avait beaucoup d'buée.*
Y'a cette fille qui passe dans la cours
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
...
De-puis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
De-puis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
Depuis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis elle s'invoque
Elle s'invoque
Elle s'invoque he
Depuis elle s'invoque
Elle s'invoque
Elle s'invoque dans mes rêves
À quand la trêve
À quand la grève?
Main dans la glaise
J'avance sans glaive
Elle créé la brèche
J'en perds ma sève
Ces visions doivent disparaître, sans condition, car il paraît , qui'a peu d'espoirs sous l'une noire, dans le miroir, reste de moi, dans le mouroir, reste de toi, rester de marbre ou se mouvoir? Si s'émouvoir, est illusoir, je met les voiles vers le brouillard
De-puis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
De-puis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
Depuis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
...
L'obsession qui me dévore, me laisse sans vie me laisse sans force
De l'infini vers l'infini, j'appelle en vain c'en est fini
...
Au coin de rue je distingue une aura, je saisi un regard, je perçois un sourire, je décroche un rencard
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
Pour toi je froderai le bus *j'te l'jure*
Pour toi je frolerai la mort *c'est sûr*
Rien à foutre si je pige pas tout
C'est cupidon pas de ding ding dong
Les uc bidons, on s'en contre fou
S'il n'y a pas de farce c'est moi l'dindon
J'observe le ciel et ses couches
Qui doucement se dissoudent
La pluie commence et m'eclabousse
La fille doucement s'évanouit
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
*Nan mais tu vois y'a rien de mal à décrire ce moment, c'est un peu comme un tableau, un tableau vivant, une œuvre d'art, quelque chose de précieux sans vigile, sans barrière sans rien.*
Y'a cette fille qui passe dans la cour
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
Mon regard dévit
L'impression d'croiser l'dévil, mes vertè-bres
Se compriment
Quand j'la recroise à l'épicerie
OK stop
La y'a pleins d'images dans ma tête
Du style kardi B
Dans l'cagibi
Y'a moi aussi
On est serré
Pas de pass santé
Ni de ré-cé-pissé
Scène épicée
Vers le précipice
J'me précipite
Au bord du vide
J'me met à m'pisser, m'pisser, m'pisser
Dessus car quand le son-ge se dissipe
Entre mes cernes
Je dicerne
Que je deviens disciple
D'une toute autre réalité. Réalité réalité
*Ah tu, tu fais tes courses à l'épicerie
Tu t'souviens de moi? On s'est croisé la dernière fois?
Je, je crois que tu marchais, mais jsuis plus très sur, sur mes lunettes y'avait, y'avait beaucoup d'buée.*
Y'a cette fille qui passe dans la cours
Pendentif autour du cou
Son allégresse me donne des cours
J'entends mon cœur qui donne des coups
Tout d'un coup le temps s'écoule
Doucement, doucement
Son corps et ses courbes valent le détour, valent le détour
...
De-puis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
De-puis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
Depuis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis elle s'invoque
Elle s'invoque
Elle s'invoque he
Depuis elle s'invoque
Elle s'invoque
Elle s'invoque dans mes rêves
À quand la trêve
À quand la grève?
Main dans la glaise
J'avance sans glaive
Elle créé la brèche
J'en perds ma sève
Ces visions doivent disparaître, sans condition, car il paraît , qui'a peu d'espoirs sous l'une noire, dans le miroir, reste de moi, dans le mouroir, reste de toi, rester de marbre ou se mouvoir? Si s'émouvoir, est illusoir, je met les voiles vers le brouillard
De-puis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
De-puis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
Depuis ce jour elle a disparu, disparu, dispa
Depuis ce jour elle a disparu
Son odeur de vanille
Son shampoing camomille
Son visage qui brûle dans la nuit
Ma ma mia, calomnia. He
...
L'obsession qui me dévore, me laisse sans vie me laisse sans force
De l'infini vers l'infini, j'appelle en vain c'en est fini
...
Au coin de rue je distingue une aura, je saisi un regard, je perçois un sourire, je décroche un rencard