Couleur Érable by Roimage Noir Lyrics
Premier, deuxième automnes
Amnésie du nouveau né
Trois, quatrième automnes
J'investis dans d'nouveaux nerfs
Coupe au bol dans la cour d'école
L'accoutrement de la cour des grands
Petit saut les pieds resserés, les chaussures de cuire bien lacées
Dans la poche du bas en velours, des berlons des billes en veux tu?
Trophées de batailles bien mеnées, œil de tigre pour lеs allumer
Dans la poche du bas en velours, des berlons des billes en veux tu?
Trophées de batailles bien menées, œil de tigre pour les allumer
Près d'la bouche dégout, technique et skills en dégoûtent
Simple et précis sont les coups, nombreux sursaut sur la plaque
Dégout
Dégoût quand bille ad-verse atteint le rond central
Étudies tirs à faire prochai-ne fois on épatera
Céleste est la voute, décrite par la courbe de la boule
Un coup de pouce, une soufflette pour orienter la petite sphère
Tourbillonnante dans les airs de tous ses éclats elle rutile
La bille lancée par l'enfant, d'aspect féline danse et voltige
Cinq, sixième automnes
Jamais d'ennui j'ai mon acolyte
Sept, huitième automnes
À Osgiliath on prend la fuite
Par magie j'prends la carte piège, esquive la trappe à peu de chose près
À croche pied près d'la marelle, saute dans un trou puis disparaît
Candeur et paraisse, à l'âge des cauchemars des câlins
Chaleur et tendresse, à l'heure des crêpes le matin
Chagrin et tristesse, à l'âge d'or des peluches
Angoisse et détresse car à l'école il y'a grabuge
Rien qu'ça joue des coudes, s'ramassent et veulent en découdre
Simples et précis sont les coups, si t'attaques un t'attaques le double
Rien qu'ça joue des coudes, s'ramassent et veulent en découdre
Simples et précis sont les coups, si t'attaques un t'attaques le double
Sur la pis-te du bowling
On s'ai-guise
Les canines
On sé-duit
Les gamines
On sait qui
Decanille
Les quilles. Petit Paul ne le sait pas mais la rigo-le le suivra dorénavant à chaque période automnale
Les lumière s'éteignent, et la scè-ne s'accélère
Les grains de sables se fracassent, leur son résonne sur le cristal
Du sablier
En un instant
Passe le tournant
D'une existence
Propulsion de
Sou-ve-nirs
Défiant des lors
Les lois du temps
...
Neuf dixième automnes
Me chercher des noises on évite
Onze douzième automnes
Ptite sœur débarque dans nos vies
Treize quatorzième automnes
Les retours s'font à la mexicaine
Quinze, seizième automnes
Montée d'hormones on veut la maxi ken
Bancs d'la fac à mon dix-septième, j'rencontre une reine à mon dix-huitième
J'ai mon concours à mon dix-neuvième
J'oublie la fête de mon vingtième
Am-nésie du nouveau né pour faire croire que boucle est bouclée
Ra-mè-ne toi si t'es rodé, rode ave-c meute affamée
Les loups ont faim c'est vrai mais, vingt et unième rose fannée
Ving-t deuxième confiné, j'entame une course effrénée
Les loups ont faim c'est vrai mais, vingt et unième rose fannée
Vingt deuxième, c'est frais mais l'histoire s'ra contée dans Arkhé
Amnésie du nouveau né
Trois, quatrième automnes
J'investis dans d'nouveaux nerfs
Coupe au bol dans la cour d'école
L'accoutrement de la cour des grands
Petit saut les pieds resserés, les chaussures de cuire bien lacées
Dans la poche du bas en velours, des berlons des billes en veux tu?
Trophées de batailles bien mеnées, œil de tigre pour lеs allumer
Dans la poche du bas en velours, des berlons des billes en veux tu?
Trophées de batailles bien menées, œil de tigre pour les allumer
Près d'la bouche dégout, technique et skills en dégoûtent
Simple et précis sont les coups, nombreux sursaut sur la plaque
Dégout
Dégoût quand bille ad-verse atteint le rond central
Étudies tirs à faire prochai-ne fois on épatera
Céleste est la voute, décrite par la courbe de la boule
Un coup de pouce, une soufflette pour orienter la petite sphère
Tourbillonnante dans les airs de tous ses éclats elle rutile
La bille lancée par l'enfant, d'aspect féline danse et voltige
Cinq, sixième automnes
Jamais d'ennui j'ai mon acolyte
Sept, huitième automnes
À Osgiliath on prend la fuite
Par magie j'prends la carte piège, esquive la trappe à peu de chose près
À croche pied près d'la marelle, saute dans un trou puis disparaît
Candeur et paraisse, à l'âge des cauchemars des câlins
Chaleur et tendresse, à l'heure des crêpes le matin
Chagrin et tristesse, à l'âge d'or des peluches
Angoisse et détresse car à l'école il y'a grabuge
Rien qu'ça joue des coudes, s'ramassent et veulent en découdre
Simples et précis sont les coups, si t'attaques un t'attaques le double
Rien qu'ça joue des coudes, s'ramassent et veulent en découdre
Simples et précis sont les coups, si t'attaques un t'attaques le double
Sur la pis-te du bowling
On s'ai-guise
Les canines
On sé-duit
Les gamines
On sait qui
Decanille
Les quilles. Petit Paul ne le sait pas mais la rigo-le le suivra dorénavant à chaque période automnale
Les lumière s'éteignent, et la scè-ne s'accélère
Les grains de sables se fracassent, leur son résonne sur le cristal
Du sablier
En un instant
Passe le tournant
D'une existence
Propulsion de
Sou-ve-nirs
Défiant des lors
Les lois du temps
...
Neuf dixième automnes
Me chercher des noises on évite
Onze douzième automnes
Ptite sœur débarque dans nos vies
Treize quatorzième automnes
Les retours s'font à la mexicaine
Quinze, seizième automnes
Montée d'hormones on veut la maxi ken
Bancs d'la fac à mon dix-septième, j'rencontre une reine à mon dix-huitième
J'ai mon concours à mon dix-neuvième
J'oublie la fête de mon vingtième
Am-nésie du nouveau né pour faire croire que boucle est bouclée
Ra-mè-ne toi si t'es rodé, rode ave-c meute affamée
Les loups ont faim c'est vrai mais, vingt et unième rose fannée
Ving-t deuxième confiné, j'entame une course effrénée
Les loups ont faim c'est vrai mais, vingt et unième rose fannée
Vingt deuxième, c'est frais mais l'histoire s'ra contée dans Arkhé