À Medame by Roimage Noir Lyrics
Nuit noire dans la ville
Les candélabres dans la pièce flamboient
Il faudrait l'voir pour le croire
Et veiller tard pour les voir
Les flammes du soir, près des bars
Prennent leur élan puis se mouvoient
S'élancent enfin de leurs bougeoirs
S'enlacent sans fin et émouvoient
Les passants de la ville
Qui devant flamme qui scintille
Suspendent alors leur routine
Pénétrent dès lors la vitrine
Les passants de la ville
Qui devant flamme qui scintille
Tentent l'experience fortuite
Pénétrent dès lors la vitrine
Il fallait l'voir pour le conter
Il fallait voir sans y entrer
Lancés sensuels de regards
Non censurés à mon égard
La flamme s'égare, à mon contact
Pleine de charme, me dévisage
La flamme s'égare, à mon contact
Consumme l'O2, de mon visage
Son souffle chaud, sur mes paumettes
Insuffle la flamme à tout mon être
Sa silhouette dans mes pupilles
Qui se balance déstabilise
L'homme calme que je suis
Mes pulsions contredisent
Ma raison et j'aime croire
Qu'elle m'aimera
Sans serment
Quel émoi?
Sincèrement
Qu'elle m'aimera
Lueur du jour jour jour
Flamme disparaît-rait-rait
Au coin de rue rue rue
Son parfum règne règne règne
À 5 on roule roule roule
À court de souffle souffle souffle
La ville tourne tourne tourne autour de nous
L'astre solaire par son déclin
Rallume enfin la flamme éteinte
Le froid d'la nuit se réfléchit
Sur l'eau du fleuve qui s'assoupi
Une fumée dense se condense
Les idées noires s'évaporent
La flamme danse, se sublime
Mais notre courage se liquéfie
Ça y est l'obscurité, s'est emparée de la ville
La flamme s'est a-llu-mée
Et timidement se met à luire
Moi je lis dans ses manières
Qu'elle me ment c'est assez claire
Elle sur-joue ses émotions
Se contorsionne dans tous les sens
Pour me faire voir une dévotion
Alors qu'elle brille pour tous les hommes
Pour me faire croire sans prétention
Qu'elle s'ra la flamme et l'affection
Qu'elle s'ra la braise le charbon
Qu'elle s'ra la femme la fiction
Qu'elle s'ra tendresse sensation
Qu'elle s'ra la baise et la passion
Un jour la flamme s'éteint, au beau milieu de la nuit
Elle laisse des teintes sépias, colorer ses souvenirs
La flamme s'insère peu à peu dans sa nouvelle vie
Sans "l", prend son envol, et voit ainsi l'a-venir
Les candélabres dans la pièce flamboient
Il faudrait l'voir pour le croire
Et veiller tard pour les voir
Les flammes du soir, près des bars
Prennent leur élan puis se mouvoient
S'élancent enfin de leurs bougeoirs
S'enlacent sans fin et émouvoient
Les passants de la ville
Qui devant flamme qui scintille
Suspendent alors leur routine
Pénétrent dès lors la vitrine
Les passants de la ville
Qui devant flamme qui scintille
Tentent l'experience fortuite
Pénétrent dès lors la vitrine
Il fallait l'voir pour le conter
Il fallait voir sans y entrer
Lancés sensuels de regards
Non censurés à mon égard
La flamme s'égare, à mon contact
Pleine de charme, me dévisage
La flamme s'égare, à mon contact
Consumme l'O2, de mon visage
Son souffle chaud, sur mes paumettes
Insuffle la flamme à tout mon être
Sa silhouette dans mes pupilles
Qui se balance déstabilise
L'homme calme que je suis
Mes pulsions contredisent
Ma raison et j'aime croire
Qu'elle m'aimera
Sans serment
Quel émoi?
Sincèrement
Qu'elle m'aimera
Lueur du jour jour jour
Flamme disparaît-rait-rait
Au coin de rue rue rue
Son parfum règne règne règne
À 5 on roule roule roule
À court de souffle souffle souffle
La ville tourne tourne tourne autour de nous
L'astre solaire par son déclin
Rallume enfin la flamme éteinte
Le froid d'la nuit se réfléchit
Sur l'eau du fleuve qui s'assoupi
Une fumée dense se condense
Les idées noires s'évaporent
La flamme danse, se sublime
Mais notre courage se liquéfie
Ça y est l'obscurité, s'est emparée de la ville
La flamme s'est a-llu-mée
Et timidement se met à luire
Moi je lis dans ses manières
Qu'elle me ment c'est assez claire
Elle sur-joue ses émotions
Se contorsionne dans tous les sens
Pour me faire voir une dévotion
Alors qu'elle brille pour tous les hommes
Pour me faire croire sans prétention
Qu'elle s'ra la flamme et l'affection
Qu'elle s'ra la braise le charbon
Qu'elle s'ra la femme la fiction
Qu'elle s'ra tendresse sensation
Qu'elle s'ra la baise et la passion
Un jour la flamme s'éteint, au beau milieu de la nuit
Elle laisse des teintes sépias, colorer ses souvenirs
La flamme s'insère peu à peu dans sa nouvelle vie
Sans "l", prend son envol, et voit ainsi l'a-venir