Zopiclone by Pierre Lapointe Lyrics
Premier constat, je ne comprends pas
D'où me vient cette faiblesse
À bien y voir, je ne peux pas croire
Cet outrage à ma noblesse
J'ai gobé un par un mes aveux de défaite
La pression du cœur qui vous monte à la tête
Les yeux fermés, je t'ai vu m'aspirer
Amour sorcier, je ne t'aime plus
Tu n'es qu'une ombre disparue
Amour fatal, je ne sens plus
Cette ère de promesses
Car les insomnies nous arrachent du cœur
Ce sourire que dessinent nos paupières à l'heure
De prendre une pause j'ai augmenté la dose
Et par milliers de larmes j'avale
Dans mon sang fragile le métal
Jaillissant du doux Gardénal
De ma tempête
De ma tempête
De ma tempête
De bleu mon monde se tache sous mes yeux
Je ne sais pas ce que le contrat
Qui nous lie tout deux me laisse
Je garde espoir que par un beau soir
Je retrouve ma jeunesse
J'ai gobé un par un mes aveux de défaite
Faisant de mon lit une triste fête
Les yeux fanés
Je t'ai vu m'achever
Passion sorcière, je ne t'aime plus
Assoiffé, d'ton poison j'ai bu
Passion de peur je suis pris dans ta forteresse
Car les insomnies connaissent bien la valeur
Des trésors qui dorment dans les jardins des heures
Comme une rose
Ses épines indisposent
Et par milliers de larmes j'avale
Dans mon sang fragile le métal
Jaillissant du doux Gardénal
De ma tempête
De ma tempête
De ma tempête
Ouh, ouh, ouh
De bleu mon monde se tache sous mes yeux
D'où me vient cette faiblesse
À bien y voir, je ne peux pas croire
Cet outrage à ma noblesse
J'ai gobé un par un mes aveux de défaite
La pression du cœur qui vous monte à la tête
Les yeux fermés, je t'ai vu m'aspirer
Amour sorcier, je ne t'aime plus
Tu n'es qu'une ombre disparue
Amour fatal, je ne sens plus
Cette ère de promesses
Car les insomnies nous arrachent du cœur
Ce sourire que dessinent nos paupières à l'heure
De prendre une pause j'ai augmenté la dose
Et par milliers de larmes j'avale
Dans mon sang fragile le métal
Jaillissant du doux Gardénal
De ma tempête
De ma tempête
De ma tempête
De bleu mon monde se tache sous mes yeux
Je ne sais pas ce que le contrat
Qui nous lie tout deux me laisse
Je garde espoir que par un beau soir
Je retrouve ma jeunesse
J'ai gobé un par un mes aveux de défaite
Faisant de mon lit une triste fête
Les yeux fanés
Je t'ai vu m'achever
Passion sorcière, je ne t'aime plus
Assoiffé, d'ton poison j'ai bu
Passion de peur je suis pris dans ta forteresse
Car les insomnies connaissent bien la valeur
Des trésors qui dorment dans les jardins des heures
Comme une rose
Ses épines indisposent
Et par milliers de larmes j'avale
Dans mon sang fragile le métal
Jaillissant du doux Gardénal
De ma tempête
De ma tempête
De ma tempête
Ouh, ouh, ouh
De bleu mon monde se tache sous mes yeux