200 versets by Personne Lyrics
Un soir mon gars s'emmêle
Dans la mêlée le sang versé
Dans l'âme ailée, deux cent versets
Ce soir, le glas sonne miel
Aux aurores, ces voiles de satin
Ose Homme, hors de toi l'est le Destin
Tant déraison est tentatrice, Ma cantatrice
Courbe mon cosmos de son oeil hypnotique
Mais qu'on t'attriste et Courroux tombe
Pour qu'osmose de son deuil ressuscite
Je ris à gorge déployée, mon cou rougeoyant
Pulse de la vie par une salve paire
Nous chevauchons l'abyssale vipère
Et ton emprise sur ma nuque, l'une aussi nue que l'autre
Est mon empire dont tu te fais Reine
Lune dont l'éclat frappe ma plume
La solitude m'a déserté, durant des heures
Des airs timides tu l'isolas
J'étais lasso libre, je suis las au lit
Vas-y sonne Père, y'a son-per
Nouons en tresse le dénouement, je suis l'isolat
Ne te sers d'aimer qu'entre persiennes
Car les parisiennes paraissent viles
En cette ville qu'elles caressent
Et les ombres qui jouent la nuit
Se font plus vives alors qu'elles viennent
Quelles moeurs. Qu'elles meurent
Mais ton doux visage fascine autant qu'il me berce
Ton poitrail riche hume lair
Nous le portail du gémellaire
Je suis ton aimant tranquille, tant qu'il tonne l'amant
Tu t'abandonnes dans l'abondance
Etonnament ? C'est la bonne danse des normes
De réflexion en réflexion, l'inspiration est lunaire - audacieuce ode aux cieux
Les vois-tu ces filaments ? Qui courbent l'espace et le temps
J'ai de toi en moi, je nous vois nus, et blancs
Et beaux, dansant sur les étoiles
La voie lactée est notre piste
Le chant du cosmos impose le rythme
Nous dessinons la toile
Qui suis-je sinon la suie d'un je ?
Mirage du visage dans le miroir
Rage et désespoir
Sauras-tu me nantir d'une once de gloire
C'est sensible, étrange même, j'suis dans un élan chill
C'est tentant tant le tendre attends l'entente hantant le temps
Entends le tempêtant doux don à l'autre
J'voulais pas t'offrir la clef dans l'speed
Mon nom c'est Personne appelle moi Terence Hill
Langage de l'infini, celui du coeur et des grands cils
Nulle excuse quand nulle offense
De l'apache j'ai le derme
Si contre ma tempe, je presse sur la détente, bang damn'
C'est de la légitime défense
Si contre mes lèvres, j'allume la mèche, bang damn!
C'est de la légitime défonce
Avenue Fauch, c'est och
De la haut, j'vois la faucheuse
Un étage de plus et welcome nuage
Mais l'ange me nargue
Moi le monarque, mon monde
S'arque devant tes courbes
La lune entame sa ronde et les étoiles leur garde
Ma plume entaille ma honte, j'entâche les toiles du regard
Profane casanier, je ne pense qu'à nier
Je cannerai sans canne, j'kick déjà sans mic
Ne pas confondre la métrique et la maîtrise
Le manque d'éthique et la traîtrise
Je vois ton âme étriquée, c'est très triste
Si peu d'éthique, genre squelettique, qu'il ne reste que l'étiquette
J'persiste face à l'entrée des artistes tel un trait d'autisme
Pourquoi voter pour la césure, à deux c'est plus sûr
Personne est sur les listes électorales
Ma cage est thoracique, mon blason pectoral
D'un zeste, gouter ta peau, comme une ode aux épluchures
(Faucher les bles dansant sur ton crâne d'une caresse de la main
Téméraire, oser t'aimer, heurter les rêves de mon âme, aujourd'hui et demain.)
Dans la mêlée le sang versé
Dans l'âme ailée, deux cent versets
Ce soir, le glas sonne miel
Aux aurores, ces voiles de satin
Ose Homme, hors de toi l'est le Destin
Tant déraison est tentatrice, Ma cantatrice
Courbe mon cosmos de son oeil hypnotique
Mais qu'on t'attriste et Courroux tombe
Pour qu'osmose de son deuil ressuscite
Je ris à gorge déployée, mon cou rougeoyant
Pulse de la vie par une salve paire
Nous chevauchons l'abyssale vipère
Et ton emprise sur ma nuque, l'une aussi nue que l'autre
Est mon empire dont tu te fais Reine
Lune dont l'éclat frappe ma plume
La solitude m'a déserté, durant des heures
Des airs timides tu l'isolas
J'étais lasso libre, je suis las au lit
Vas-y sonne Père, y'a son-per
Nouons en tresse le dénouement, je suis l'isolat
Ne te sers d'aimer qu'entre persiennes
Car les parisiennes paraissent viles
En cette ville qu'elles caressent
Et les ombres qui jouent la nuit
Se font plus vives alors qu'elles viennent
Quelles moeurs. Qu'elles meurent
Mais ton doux visage fascine autant qu'il me berce
Ton poitrail riche hume lair
Nous le portail du gémellaire
Je suis ton aimant tranquille, tant qu'il tonne l'amant
Tu t'abandonnes dans l'abondance
Etonnament ? C'est la bonne danse des normes
De réflexion en réflexion, l'inspiration est lunaire - audacieuce ode aux cieux
Les vois-tu ces filaments ? Qui courbent l'espace et le temps
J'ai de toi en moi, je nous vois nus, et blancs
Et beaux, dansant sur les étoiles
La voie lactée est notre piste
Le chant du cosmos impose le rythme
Nous dessinons la toile
Qui suis-je sinon la suie d'un je ?
Mirage du visage dans le miroir
Rage et désespoir
Sauras-tu me nantir d'une once de gloire
C'est sensible, étrange même, j'suis dans un élan chill
C'est tentant tant le tendre attends l'entente hantant le temps
Entends le tempêtant doux don à l'autre
J'voulais pas t'offrir la clef dans l'speed
Mon nom c'est Personne appelle moi Terence Hill
Langage de l'infini, celui du coeur et des grands cils
Nulle excuse quand nulle offense
De l'apache j'ai le derme
Si contre ma tempe, je presse sur la détente, bang damn'
C'est de la légitime défense
Si contre mes lèvres, j'allume la mèche, bang damn!
C'est de la légitime défonce
Avenue Fauch, c'est och
De la haut, j'vois la faucheuse
Un étage de plus et welcome nuage
Mais l'ange me nargue
Moi le monarque, mon monde
S'arque devant tes courbes
La lune entame sa ronde et les étoiles leur garde
Ma plume entaille ma honte, j'entâche les toiles du regard
Profane casanier, je ne pense qu'à nier
Je cannerai sans canne, j'kick déjà sans mic
Ne pas confondre la métrique et la maîtrise
Le manque d'éthique et la traîtrise
Je vois ton âme étriquée, c'est très triste
Si peu d'éthique, genre squelettique, qu'il ne reste que l'étiquette
J'persiste face à l'entrée des artistes tel un trait d'autisme
Pourquoi voter pour la césure, à deux c'est plus sûr
Personne est sur les listes électorales
Ma cage est thoracique, mon blason pectoral
D'un zeste, gouter ta peau, comme une ode aux épluchures
(Faucher les bles dansant sur ton crâne d'une caresse de la main
Téméraire, oser t'aimer, heurter les rêves de mon âme, aujourd'hui et demain.)