Un Truc Etrange by PRT Crew Lyrics
[Couplet 1]
Face à mes tourments, tout m’enfonce si la défonce s’efface, au fond
Ma face se fonce, ma forme se casse et trépasse tout ce qui m’est bon
Le bleu du ciel devient amer, la mer en perd même ses vagues
La terre s’enferme sans espace, nos frères sont cernés dans la crasse
Dans un silence interminable où même la musique en est sourde
Je vague dans l’immensité du néant, anéanti par le fourbe
Qui est le vice et qui me vide durant ces durs jours de la vie
La vitalité est partie, l’oubli alimente les esprits
Encaisse les faiblesses des blessures, et sûr qu’on déteste les ratures
A tuer le futur, les urnes sont brisées sous la fracture d’la ur'
Les factures se brûlent si c’n’est les voitures, j’t’assure
Saturne protège nos burnes dans cette satire
La thune obsède les plus grands dans ce monde, dans l’ombre cèdent les plus francs des ondes
Et sombrent nos parents, acteurs, auteurs et faiseurs de nos fonds
Une dépression pressurisée, aromatisée à la tise
Et mise c’que tu veux, c’que tu vises n’est qu’à la portée du triste
[Refrain]
Y’a comme un truc étrange quand j’écris l’histoire de nos vies
La somme des mots s’échange contre les phases que j’aurais bien fui
Le tempo de nos cœurs s’emballe quand s’balancent les peurs dans nos crânes
Nos âmes ont mal de nos désirs, les vieilles fables nous l’avaient prédit
[Couplet 2]
Mais qu’est ce qui s’passe dans vos têtes quand vos pét' se consument
Et qu’les fêtes sont défaites comme les 16 de ma plume
Quand la lune se rallume et que les consciences sont éteintes
Le temps se parfume dans la thune, quand grâce à nos rhumes on se tient
Entiers grâce à mon tiers état, le clergé n’éclairait qu’les rois
Si c’est le peuple qui se bat, c’est pas pour abattre les cartes
Changer de main suffit à danser sur les dangers de demain
Dépenser des cents et des milles contre les pensées de ces chiens
Dans tout ce passé qui se tient, oublie que’le temps est un dessin
Effacé par l’argent, retiens, le darme-gen détient ton destin
La dame, genre, ne veut que ton bien afin d’l’échanger contre le sien
Le passe-temps définit la fin, ma faim ne dépend que du mien
Enfin j’suis pas à plaindre, je sais, sans connaître le sang maint’nant j’connais
Ce qu’il y’a à craindre. Aimer, c’est fait
Le but à atteindre est né au travers le sens de mes travers, les averses de leurs revers
Les caresses de mes ivresses, la faiblesse de ma paresse, ouais
[Refrain]
Face à mes tourments, tout m’enfonce si la défonce s’efface, au fond
Ma face se fonce, ma forme se casse et trépasse tout ce qui m’est bon
Le bleu du ciel devient amer, la mer en perd même ses vagues
La terre s’enferme sans espace, nos frères sont cernés dans la crasse
Dans un silence interminable où même la musique en est sourde
Je vague dans l’immensité du néant, anéanti par le fourbe
Qui est le vice et qui me vide durant ces durs jours de la vie
La vitalité est partie, l’oubli alimente les esprits
Encaisse les faiblesses des blessures, et sûr qu’on déteste les ratures
A tuer le futur, les urnes sont brisées sous la fracture d’la ur'
Les factures se brûlent si c’n’est les voitures, j’t’assure
Saturne protège nos burnes dans cette satire
La thune obsède les plus grands dans ce monde, dans l’ombre cèdent les plus francs des ondes
Et sombrent nos parents, acteurs, auteurs et faiseurs de nos fonds
Une dépression pressurisée, aromatisée à la tise
Et mise c’que tu veux, c’que tu vises n’est qu’à la portée du triste
[Refrain]
Y’a comme un truc étrange quand j’écris l’histoire de nos vies
La somme des mots s’échange contre les phases que j’aurais bien fui
Le tempo de nos cœurs s’emballe quand s’balancent les peurs dans nos crânes
Nos âmes ont mal de nos désirs, les vieilles fables nous l’avaient prédit
[Couplet 2]
Mais qu’est ce qui s’passe dans vos têtes quand vos pét' se consument
Et qu’les fêtes sont défaites comme les 16 de ma plume
Quand la lune se rallume et que les consciences sont éteintes
Le temps se parfume dans la thune, quand grâce à nos rhumes on se tient
Entiers grâce à mon tiers état, le clergé n’éclairait qu’les rois
Si c’est le peuple qui se bat, c’est pas pour abattre les cartes
Changer de main suffit à danser sur les dangers de demain
Dépenser des cents et des milles contre les pensées de ces chiens
Dans tout ce passé qui se tient, oublie que’le temps est un dessin
Effacé par l’argent, retiens, le darme-gen détient ton destin
La dame, genre, ne veut que ton bien afin d’l’échanger contre le sien
Le passe-temps définit la fin, ma faim ne dépend que du mien
Enfin j’suis pas à plaindre, je sais, sans connaître le sang maint’nant j’connais
Ce qu’il y’a à craindre. Aimer, c’est fait
Le but à atteindre est né au travers le sens de mes travers, les averses de leurs revers
Les caresses de mes ivresses, la faiblesse de ma paresse, ouais
[Refrain]