Rêve Aérien by PRT Crew Lyrics
[Couplet 1]
Je n’fais qu’rêver de m’envoler pour fuir le quotidien
De nos journées passées à observer la chute du bien
Bien qu’on soit toujours en bande, seuls dans nos têtes
On fait tout pour que tu nous entendes, partage nos rêves
De gloire et d’or pur, même si modestes sont nos attentes
Le soir j’en dors plus, les mots des sons dans ma tête chantent
Leurs joies ou mélancolies, tristesse ou bien nostalgie
Mes textes mélangent mes choix avec mes influences de vie
Mon agilité d’esprit compense l’impudence de mes vers
La facilité de parler vient de l’impuissance de se taire
L’éternité des écrits condense la déviance des opinions
Tandis que l’avancement des sciences définit chaque jour la raison
Mon quotidien est terne, je maudis l’éternel quand je n’ai qu’une dernière
Perle sans aucune perte ni même l’esquisse d’une prise de tête
Est ce qu’il nous reste … un peu de fierté dans nos êtres
Au fond caché dans nos mal-êtres Qui nous laisserait seuls dans nos têtes
Mais conscient de nos corps, correct comme un choriste corse
Corsons la rime, d’accord ? Encore une corde accordée comme une force
Autour du cou de l’auditeur dis-moi t’es couleuvre ou vipère ?
Du coup tu persévères tes vers, pour découvrir un crew kicker
J’m’en lasse de tes désirs et t’enlaces pour te faire plaisir
Mais me forcer à te combler ne m’donne qu’envie de m’échapper
Et j'sais qu’tu t'en rends compte, lorsque j'rappe ce que tu veux
Si la vie est faite de rencontre alors je meurs à petit feu
[Couplet 2]
Du style libre, des rimes fines inspirées très tard
On chille fils c’est notre iv’ tranquille de fêtards
On s’active dans la nuit, débite nos freestyle à l’abri
La vie nous a vieilli mais on a failli à âger nos esprits
Pris de court comme au réveil d’un rêve je m’émerveille et pleure
Je prie pour que ce jour soit moins pire que la veille et puis je sors
Prie le sort, pris de remords, je me suis épris de son corps
Mais me voilà tout seul dehors alors qu’au chaud elle dort encore
S’activer dans la froideur de l’aube me laisse des plaies intérieures
Taquiner sans avoir peur de l’autre, n’en déplaise à mon coeur
Je vis ma vie sans que chaque jour je puisse un moment craindre mes peurs
Des lattes de spliff chacun notre tour, les flics surgissent pour un peu d’beuh
Réaction rapide… dispersion dans la nuit !
On va pas s’laisser faire par des cowboys vêtus de noir et gris
Ces rats sont avides, mais diverses sont nos veski !
Conte-ra pas qu’on t’a vi-ser rudeboy, veux-tu nous voir aigri ?
Je n’fais qu’rêver de m’envoler pour fuir le quotidien
De nos journées passées à observer la chute du bien
Bien qu’on soit toujours en bande, seuls dans nos têtes
On fait tout pour que tu nous entendes, partage nos rêves
De gloire et d’or pur, même si modestes sont nos attentes
Le soir j’en dors plus, les mots des sons dans ma tête chantent
Leurs joies ou mélancolies, tristesse ou bien nostalgie
Mes textes mélangent mes choix avec mes influences de vie
Mon agilité d’esprit compense l’impudence de mes vers
La facilité de parler vient de l’impuissance de se taire
L’éternité des écrits condense la déviance des opinions
Tandis que l’avancement des sciences définit chaque jour la raison
Mon quotidien est terne, je maudis l’éternel quand je n’ai qu’une dernière
Perle sans aucune perte ni même l’esquisse d’une prise de tête
Est ce qu’il nous reste … un peu de fierté dans nos êtres
Au fond caché dans nos mal-êtres Qui nous laisserait seuls dans nos têtes
Mais conscient de nos corps, correct comme un choriste corse
Corsons la rime, d’accord ? Encore une corde accordée comme une force
Autour du cou de l’auditeur dis-moi t’es couleuvre ou vipère ?
Du coup tu persévères tes vers, pour découvrir un crew kicker
J’m’en lasse de tes désirs et t’enlaces pour te faire plaisir
Mais me forcer à te combler ne m’donne qu’envie de m’échapper
Et j'sais qu’tu t'en rends compte, lorsque j'rappe ce que tu veux
Si la vie est faite de rencontre alors je meurs à petit feu
[Couplet 2]
Du style libre, des rimes fines inspirées très tard
On chille fils c’est notre iv’ tranquille de fêtards
On s’active dans la nuit, débite nos freestyle à l’abri
La vie nous a vieilli mais on a failli à âger nos esprits
Pris de court comme au réveil d’un rêve je m’émerveille et pleure
Je prie pour que ce jour soit moins pire que la veille et puis je sors
Prie le sort, pris de remords, je me suis épris de son corps
Mais me voilà tout seul dehors alors qu’au chaud elle dort encore
S’activer dans la froideur de l’aube me laisse des plaies intérieures
Taquiner sans avoir peur de l’autre, n’en déplaise à mon coeur
Je vis ma vie sans que chaque jour je puisse un moment craindre mes peurs
Des lattes de spliff chacun notre tour, les flics surgissent pour un peu d’beuh
Réaction rapide… dispersion dans la nuit !
On va pas s’laisser faire par des cowboys vêtus de noir et gris
Ces rats sont avides, mais diverses sont nos veski !
Conte-ra pas qu’on t’a vi-ser rudeboy, veux-tu nous voir aigri ?