Chagrin dhiver by Murzim Lyrics
C'est que je ne suis ni dieu, ni maître
Au sein d’un monde éloigné de mon esprit
Que j'œuvre dans l'abstrait d’où j'ai pu paître
Sans conscience des visages cachés de la vie
Mais qu'entends-je au-delà des fines couches astrales?
La grande aiguille qui marques les heures finales?
Elle fait vibrer de simples frissons sur mon échine fractale
Et Laisse à l'écho ambiant une névrose au rythme spatial
Mes pas s'imprègnent aux élans d'obsessions floues
Puis je m'enivre dans l'orage au seuil de ma proue
Défiant les débats d’une tempête pourvue de tabous
Je vogue sans rames sur les vagues qui s’échouent
C'est que je ne suis ni dieu, ni maître
Au sein d’un monde éloigné de mon esprit
Que j'œuvre dans l'abstrait d'où j’ai pu paître
Sans conscience des visages cachés de la vie
Ma chair est un cachot aux barreaux de feu glacé
Dont l'antre dévoile le portrait d'un aliéné
Mes passions sont ivres et mes chandelles oscillent
Dans cette caverne où plus ... plus rien ne brille …
Là, où rien ne brille...
Mes pensées qui défilent sont lourdes et enchevêtrées
Quand dans l'état d'éveil je vois d'horribles phénomènes
Je pleure et je pleure et que mes larmes sont d'ébènes!
Mon navire sombre avec moi et mes cris étouffés
Au sein d’un monde éloigné de mon esprit
Que j'œuvre dans l'abstrait d’où j'ai pu paître
Sans conscience des visages cachés de la vie
Mais qu'entends-je au-delà des fines couches astrales?
La grande aiguille qui marques les heures finales?
Elle fait vibrer de simples frissons sur mon échine fractale
Et Laisse à l'écho ambiant une névrose au rythme spatial
Mes pas s'imprègnent aux élans d'obsessions floues
Puis je m'enivre dans l'orage au seuil de ma proue
Défiant les débats d’une tempête pourvue de tabous
Je vogue sans rames sur les vagues qui s’échouent
C'est que je ne suis ni dieu, ni maître
Au sein d’un monde éloigné de mon esprit
Que j'œuvre dans l'abstrait d'où j’ai pu paître
Sans conscience des visages cachés de la vie
Ma chair est un cachot aux barreaux de feu glacé
Dont l'antre dévoile le portrait d'un aliéné
Mes passions sont ivres et mes chandelles oscillent
Dans cette caverne où plus ... plus rien ne brille …
Là, où rien ne brille...
Mes pensées qui défilent sont lourdes et enchevêtrées
Quand dans l'état d'éveil je vois d'horribles phénomènes
Je pleure et je pleure et que mes larmes sont d'ébènes!
Mon navire sombre avec moi et mes cris étouffés