Interlude by Many Artiste Lyrics
Vous l’aurez compris, l’unicité me répugne, le panurgisme me répulse
Je fais état d’âmes de ce que je pense bien que la bien-pensance me révulse
On se donne des buts, se forge une réput’, rêves et sentiments on les rebute
Ce rébus social auquel on se consacre pour des prunes depuis le tout début
On se transforme en étuve c’est sûr
Mais sais-tu que c’est normal car leur monde est dur
Tout pour des thunes, mais avec des tubes, aucun message dans ces bruits
Faire des études, retenir des trucs inutiles pour saisir l’élue et la séduire
Car oui je l’avoue à tous, j’ai vécu ma jeunesse sous le prisme de l’amour
Ce monument qui au fil des années immobile, lui, amasse de la mousse
J’aimerais m’en délivrer, j’ai rarement déliré, l’archange a décidé
Totalement pétrifié je repense aux langues déliées, d’où vient ce manque désiré ?
Aimer pour donner, pour se transcender, aimer pour vivre en entier ?
Ou pour recevoir, pour se fuir soi, voir une toile de victoire grivoise dans le miroir ?
Aimer l’Amour, aimer la Femme, qui tend vers notre idéal ?
Ou aimer la moue, aimer la face, distante des anges qui dansaient dans ce cinéma ?
J’en sais rien mais c’est clair que le destin m’éclaire et que l’air de mes poumons est sous l’ombre des glaives clairsemés dans mon corps
Ma raison sent mon tort, donne un bon sermon d’or quand les songes scellent mon sort, on dort, on s’réveille
On oublie ce que dit l’inconscient. Trop plein d’confiance
Ré-instaure un bon temps puis on refait les mêmes erreurs et on s’effraye
Quand faut assumer le carnage, on se voit blanc comme l’Ajax, ça détend comme Xanax
Même si le tort se partage, l’égo craint d’être puni comme Carthage ; lâcheté répandue par tâches
Sous les débris on crie, peu d’espoir on prie, les souvenirs on trie
On se dit que dans un monde parallèle, la belle appelle à l’aide car cette fois c’est elle dont le coeur est conquis
Et on rêve
Je fais état d’âmes de ce que je pense bien que la bien-pensance me révulse
On se donne des buts, se forge une réput’, rêves et sentiments on les rebute
Ce rébus social auquel on se consacre pour des prunes depuis le tout début
On se transforme en étuve c’est sûr
Mais sais-tu que c’est normal car leur monde est dur
Tout pour des thunes, mais avec des tubes, aucun message dans ces bruits
Faire des études, retenir des trucs inutiles pour saisir l’élue et la séduire
Car oui je l’avoue à tous, j’ai vécu ma jeunesse sous le prisme de l’amour
Ce monument qui au fil des années immobile, lui, amasse de la mousse
J’aimerais m’en délivrer, j’ai rarement déliré, l’archange a décidé
Totalement pétrifié je repense aux langues déliées, d’où vient ce manque désiré ?
Aimer pour donner, pour se transcender, aimer pour vivre en entier ?
Ou pour recevoir, pour se fuir soi, voir une toile de victoire grivoise dans le miroir ?
Aimer l’Amour, aimer la Femme, qui tend vers notre idéal ?
Ou aimer la moue, aimer la face, distante des anges qui dansaient dans ce cinéma ?
J’en sais rien mais c’est clair que le destin m’éclaire et que l’air de mes poumons est sous l’ombre des glaives clairsemés dans mon corps
Ma raison sent mon tort, donne un bon sermon d’or quand les songes scellent mon sort, on dort, on s’réveille
On oublie ce que dit l’inconscient. Trop plein d’confiance
Ré-instaure un bon temps puis on refait les mêmes erreurs et on s’effraye
Quand faut assumer le carnage, on se voit blanc comme l’Ajax, ça détend comme Xanax
Même si le tort se partage, l’égo craint d’être puni comme Carthage ; lâcheté répandue par tâches
Sous les débris on crie, peu d’espoir on prie, les souvenirs on trie
On se dit que dans un monde parallèle, la belle appelle à l’aide car cette fois c’est elle dont le coeur est conquis
Et on rêve