Mémoires doutre-Auvergne by Malenuit Lyrics
Au fond du Puy je vis, une vie de misère
Parsemée d'ennuis, et surtout, de galères
Accélérer l'oubli en enchaînant les verres
Pour traverser les nuits, désormais trop sévères
Sous un soleil de plomb, une brève accalmie
N'a pas eu ma raison : Muratello, fini !
Aujourd'hui je survis comme un loup solitaire
Ton fantôme me suit, et à chaque fois je perds
Au fin fond du Velay, où j'ai trouvé refuge
Tomberont mes rеgrets, après toi le déluge
Au fin fond dеs vallées, à l'alcool je me purge
Le diable s'en est allé, on continue les murges !
Mais ici, tout me lasse, me blesse et finit par me nuire
Au fond du trou je suis, plus aucune lumière
Ne traverse ma vie, ça ne date pas d'hier
Parfois je m'assoupis puisque tout m'indiffère
Ou je trinque sans répit, jusqu'à tomber par terre
Dans les rues de Clermont, clairement meurtrie
J'ai perdu la raison, la fête est finie
Aujourd'hui je survis comme un loup solitaire
Ton fantôme me suit, et à chaque fois je perds
Au fin fond du Velay, où j'ai trouvé refuge
Tomberont mes regrets, après toi le déluge
Au fin fond des vallées, à l'alcool je me purge
Le diable s'en est allé, on continue les murges !
Mais ici, tout me lasse, me blesse et finit par me nuire
Parsemée d'ennuis, et surtout, de galères
Accélérer l'oubli en enchaînant les verres
Pour traverser les nuits, désormais trop sévères
Sous un soleil de plomb, une brève accalmie
N'a pas eu ma raison : Muratello, fini !
Aujourd'hui je survis comme un loup solitaire
Ton fantôme me suit, et à chaque fois je perds
Au fin fond du Velay, où j'ai trouvé refuge
Tomberont mes rеgrets, après toi le déluge
Au fin fond dеs vallées, à l'alcool je me purge
Le diable s'en est allé, on continue les murges !
Mais ici, tout me lasse, me blesse et finit par me nuire
Au fond du trou je suis, plus aucune lumière
Ne traverse ma vie, ça ne date pas d'hier
Parfois je m'assoupis puisque tout m'indiffère
Ou je trinque sans répit, jusqu'à tomber par terre
Dans les rues de Clermont, clairement meurtrie
J'ai perdu la raison, la fête est finie
Aujourd'hui je survis comme un loup solitaire
Ton fantôme me suit, et à chaque fois je perds
Au fin fond du Velay, où j'ai trouvé refuge
Tomberont mes regrets, après toi le déluge
Au fin fond des vallées, à l'alcool je me purge
Le diable s'en est allé, on continue les murges !
Mais ici, tout me lasse, me blesse et finit par me nuire