Jupiter by MGZ101 Lyrics
Je me réveille dans ce monde, y'a quelques secondes j'étais môme
Les années sont passées j'ai rien vu venir, le soleil se lève vers un futur inconnu
On dit que tout est écrit, des comètes aux constellations, moi dans ma tête tout est gris, moi dans ma tête tout est congelé à force de me consoler de rêver qu'on se libère
J'en fais sonner mon amour de l'hiver, petit j'avais le rêve d'être aventurier, sans savoir que l'Homme avait tout conquis, tout verrouillé
Quiconque me disait "C'est pas de ton âge", serait curieux d'savoir comment j'dévorais les pages, sur le curriculum tu vois qu'je conserve jamais les tafs
Jamais la vie n'a été c'qu'ils décrivaient dans leurs bouquins d'école, mes meilleurs profs étaient marginaux, mes potes faisaient déjà des sommes, (ouais)
Toujours en marge des autres, tout doux j'étudiais les codes de ceux, qui rejetaient les codes de ce monde
Terrain désert comme une planète abandonnée, noire est la couleur du bandana
Matrice essaye de nous bâillonner, frère c'est naze
3000 ans d'écart et c'est toujours la pyramide qui nous gouverne
24 piges que je demande au ciel, 24 piges que j'y pige que dalle
La vie me fait miroiter beaucoup, beaucoup d'temps passé dans un bloc de peine, j'attends des réponses
10000 questions dans la boite crânienne, 1000 évidences qu'on nous déshumanise, met la mélo sur le compte des lamelles et y'a plus rien d'humain dans c'que j'ramène
J'avoue j'ai fait le vœu chelou de ...
J'avoue n'pas réfléchir à nous deux chérie, on a beaucoup d'plaisir à s'déchirer, plus qu'à se chérir, plus qu'à se gérer
Perdu au Nord de la carte à la recherche de Thulé, (Ouais)
J'dois mener ma quête et j'm'arrêterai que si j'ai trouvé
La mort n'est qu'une porte de plus, j'avance à travers les âges et les arrêts de bus
Chaque jour est un nouvel opus, tous les matins je level-up
Tombée de la nuit je développe, j'ai tout l'univers dans ma tête et ça galope, si Dieu à son plan j'ai le mien, qu'elle me préserve du Diable et ces menottes, qu'elle me préserve de l'appât du gain
Je ne veux pas finir comme une prière à Moloch
L'énergie est telle que je libère le chi, j'y vais mollo, j'suis sur la route et j'suis solo
J'te l'ai déjà dit c'est l'hiver dans ma tête, me demande pas c'que j'veux faire de ma vie, j'suis en plein d'dans, c'est dans l'instant que mes pensées naviguent
Passer des nuits à chavirer, vivre la vie que j'devrais mener, j'roule jusqu'au bout de mon âme, ouais j'dois savoir d'où ça vient, toutes ces images qui me viennent, toutes ces idées que je peins, le fait qu'on est fait de la même chair, mais qu'on s'ressemble pas, j'me perds c'est grave, ceux qui gouvernent nous démolissent, esclave paye encore avec monnaie des colonies
M.G.Z, un geyser au milieu du désert, mes pensées s'allument comme la braise, grave mon salut dans la pierre, depuis petit j'ai des hallus, alunissage dans le talus, aller jusqu'à se perde et ce jusqu'à se retrouver, se retrousser les manches, se montrer clément envers mes proches et mes amantes, mes amis du collège, mes excès qui font que peu de gens me tolèrent
Depuis gamin j'suis fasciné par tornade et tonnerre, la tempête me calme, elle me connait mon prénom est celui du Soleil
Destiné à lutter contre les ténèbres, j'pourrai en devenir fêlé, mais je vois l'avenir venir, fais les choses comme faut les faire frère
Des cages à ciel ouvert, si tu veux voler faut des billets verts ou violets, tout se paye même Dieu est loué, Gaïa, Jupiter ou Mars, tous les destins semblent liés
(Tous les destins semblent liés) x2
J'écris pour que l'esprit se vide, j'suis pas de ceux qu'ils téléguident
J'suis pas le seul à m'sentir ivre de peine, génération souffre d'une balle dans le cœur, se réfugie dans le squad, c'est son seul havre de paix, j'veux pas d'vos salaires de merde, j'vais pas céder on a nos codes et c'est l'extase autour d'un re-vé, gravis les grades un par un, la ville est sale, elle est à l'image de l'homme, petit n'imaginait pas ça, la magie n'est pas un conte de gamin, content de gagner si c'est le mal qui perd, j'kick comme pas 2, j'veux rester kid comme Paddle
Les étoiles m'appellent, rayon rose comme Philip K. D., r'gardez j'ai trop l'feeling, hash dans paquet Philip, 2 réalités, serait-ce me dire un jour quelle est la bonne ? Serais-je mesurer le poids de la donne à payer ? Ramener le temps à 0, fréro j'ai besoin d'recule plus que de pécule, pélo
L'impression d'être prince parmi les morts-vivants, tout le monde est branché, tout le monde est dupé, j'crois qu'tous les rêves sont vrais, que c'est le vrai qui est faux, si les planètes s'alignent c'est pour pointer nos gros défauts
Tous les jours passent d'un monde à l'autre, chercher le point de départ de l'aube pour trouver la finalité de mon être, trouver le but de mes essais et c'est ça que m'évoque le ciel, il faut crever le plafond, cœurs esseulés, pour dépanner j'ai bon plavons, panneaux solaires sur le front (Solaire, solaire)
Trouer matrice c'est l'heure, c'est l'heure, j'pourrai jamais faire taire c'qui fait que j'suis né sur Terre
J'avais cette fille dans l'oeil, j'avais cette vie dans l'viseur, aujourd'hui c'est le blizzard, bizarre comme ta vie peut changer mo-difier le cap quand j'y pense, ramène vite dans tes pensées beaucoup de mangeurs d'âmes, ceux qu'on fait de l'Homme un damné (hé)
Les étoiles m'aiment autant qu'mes parents, si j'recommence j'le fais pareil
Dans leur monde sans couleurs, j'veux qu'on s'rappelle de moi comme d'une trace de feutre comme celui qui crache le feu au milieu des océans
Les années sont passées j'ai rien vu venir, le soleil se lève vers un futur inconnu
On dit que tout est écrit, des comètes aux constellations, moi dans ma tête tout est gris, moi dans ma tête tout est congelé à force de me consoler de rêver qu'on se libère
J'en fais sonner mon amour de l'hiver, petit j'avais le rêve d'être aventurier, sans savoir que l'Homme avait tout conquis, tout verrouillé
Quiconque me disait "C'est pas de ton âge", serait curieux d'savoir comment j'dévorais les pages, sur le curriculum tu vois qu'je conserve jamais les tafs
Jamais la vie n'a été c'qu'ils décrivaient dans leurs bouquins d'école, mes meilleurs profs étaient marginaux, mes potes faisaient déjà des sommes, (ouais)
Toujours en marge des autres, tout doux j'étudiais les codes de ceux, qui rejetaient les codes de ce monde
Terrain désert comme une planète abandonnée, noire est la couleur du bandana
Matrice essaye de nous bâillonner, frère c'est naze
3000 ans d'écart et c'est toujours la pyramide qui nous gouverne
24 piges que je demande au ciel, 24 piges que j'y pige que dalle
La vie me fait miroiter beaucoup, beaucoup d'temps passé dans un bloc de peine, j'attends des réponses
10000 questions dans la boite crânienne, 1000 évidences qu'on nous déshumanise, met la mélo sur le compte des lamelles et y'a plus rien d'humain dans c'que j'ramène
J'avoue j'ai fait le vœu chelou de ...
J'avoue n'pas réfléchir à nous deux chérie, on a beaucoup d'plaisir à s'déchirer, plus qu'à se chérir, plus qu'à se gérer
Perdu au Nord de la carte à la recherche de Thulé, (Ouais)
J'dois mener ma quête et j'm'arrêterai que si j'ai trouvé
La mort n'est qu'une porte de plus, j'avance à travers les âges et les arrêts de bus
Chaque jour est un nouvel opus, tous les matins je level-up
Tombée de la nuit je développe, j'ai tout l'univers dans ma tête et ça galope, si Dieu à son plan j'ai le mien, qu'elle me préserve du Diable et ces menottes, qu'elle me préserve de l'appât du gain
Je ne veux pas finir comme une prière à Moloch
L'énergie est telle que je libère le chi, j'y vais mollo, j'suis sur la route et j'suis solo
J'te l'ai déjà dit c'est l'hiver dans ma tête, me demande pas c'que j'veux faire de ma vie, j'suis en plein d'dans, c'est dans l'instant que mes pensées naviguent
Passer des nuits à chavirer, vivre la vie que j'devrais mener, j'roule jusqu'au bout de mon âme, ouais j'dois savoir d'où ça vient, toutes ces images qui me viennent, toutes ces idées que je peins, le fait qu'on est fait de la même chair, mais qu'on s'ressemble pas, j'me perds c'est grave, ceux qui gouvernent nous démolissent, esclave paye encore avec monnaie des colonies
M.G.Z, un geyser au milieu du désert, mes pensées s'allument comme la braise, grave mon salut dans la pierre, depuis petit j'ai des hallus, alunissage dans le talus, aller jusqu'à se perde et ce jusqu'à se retrouver, se retrousser les manches, se montrer clément envers mes proches et mes amantes, mes amis du collège, mes excès qui font que peu de gens me tolèrent
Depuis gamin j'suis fasciné par tornade et tonnerre, la tempête me calme, elle me connait mon prénom est celui du Soleil
Destiné à lutter contre les ténèbres, j'pourrai en devenir fêlé, mais je vois l'avenir venir, fais les choses comme faut les faire frère
Des cages à ciel ouvert, si tu veux voler faut des billets verts ou violets, tout se paye même Dieu est loué, Gaïa, Jupiter ou Mars, tous les destins semblent liés
(Tous les destins semblent liés) x2
J'écris pour que l'esprit se vide, j'suis pas de ceux qu'ils téléguident
J'suis pas le seul à m'sentir ivre de peine, génération souffre d'une balle dans le cœur, se réfugie dans le squad, c'est son seul havre de paix, j'veux pas d'vos salaires de merde, j'vais pas céder on a nos codes et c'est l'extase autour d'un re-vé, gravis les grades un par un, la ville est sale, elle est à l'image de l'homme, petit n'imaginait pas ça, la magie n'est pas un conte de gamin, content de gagner si c'est le mal qui perd, j'kick comme pas 2, j'veux rester kid comme Paddle
Les étoiles m'appellent, rayon rose comme Philip K. D., r'gardez j'ai trop l'feeling, hash dans paquet Philip, 2 réalités, serait-ce me dire un jour quelle est la bonne ? Serais-je mesurer le poids de la donne à payer ? Ramener le temps à 0, fréro j'ai besoin d'recule plus que de pécule, pélo
L'impression d'être prince parmi les morts-vivants, tout le monde est branché, tout le monde est dupé, j'crois qu'tous les rêves sont vrais, que c'est le vrai qui est faux, si les planètes s'alignent c'est pour pointer nos gros défauts
Tous les jours passent d'un monde à l'autre, chercher le point de départ de l'aube pour trouver la finalité de mon être, trouver le but de mes essais et c'est ça que m'évoque le ciel, il faut crever le plafond, cœurs esseulés, pour dépanner j'ai bon plavons, panneaux solaires sur le front (Solaire, solaire)
Trouer matrice c'est l'heure, c'est l'heure, j'pourrai jamais faire taire c'qui fait que j'suis né sur Terre
J'avais cette fille dans l'oeil, j'avais cette vie dans l'viseur, aujourd'hui c'est le blizzard, bizarre comme ta vie peut changer mo-difier le cap quand j'y pense, ramène vite dans tes pensées beaucoup de mangeurs d'âmes, ceux qu'on fait de l'Homme un damné (hé)
Les étoiles m'aiment autant qu'mes parents, si j'recommence j'le fais pareil
Dans leur monde sans couleurs, j'veux qu'on s'rappelle de moi comme d'une trace de feutre comme celui qui crache le feu au milieu des océans