Transmission by Lofofora Lyrics
Alors te voilà lancé dans le grand tout
Parmi ceux qui marchent debout
Petit bout de moi tu dois savoir, ici
De quoi ils sont capables
Se voyant si peu responsables
Ils en sont même à s’étonner
De tomber dans les trous qu’ils creusent
Et trouvent leur connerie valeureuse
Il te faudra apprendre à cultiver le doute
Pour mieux l'évincer ensuite, le chasser de ta route
Par-delà les déserts les plus arides
Et jusqu’au fond des impasses les plus sordides
N’oublie pas de ne pas être sage
La vanité n’est qu’un mirage
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences
Tout finit comme cela commence
Au bout du tunnel la lumière
Comme le ventre de ta mère
Qui te rappelle et puis ça recommence
Comme il est compliqué de se montrer tel qu’on est, fragile et qu’il est facile de jouer les malheureux et de juger les imbéciles, de se croire au-dessus du lot pour mieux ensuite se rabaisser
Et se trouver mauvais et con
Comme nous l’apprend la religion
Et quand tu comprendras enfin que ce grand tout ne tient à rien
Tu pourras prendre la vie comme elle vient
Et l’adorer d'un amour solide et sans fin
Il te faudra bien d’avantage
Que de la fougue et du courage
Personne ne mérite une bride à son cou
Tu n’es pas un agneau ni le petit du loup
Parmi ceux qui marchent debout
Petit bout de moi tu dois savoir, ici
De quoi ils sont capables
Se voyant si peu responsables
Ils en sont même à s’étonner
De tomber dans les trous qu’ils creusent
Et trouvent leur connerie valeureuse
Il te faudra apprendre à cultiver le doute
Pour mieux l'évincer ensuite, le chasser de ta route
Par-delà les déserts les plus arides
Et jusqu’au fond des impasses les plus sordides
N’oublie pas de ne pas être sage
La vanité n’est qu’un mirage
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences
Tout finit comme cela commence
Au bout du tunnel la lumière
Comme le ventre de ta mère
Qui te rappelle et puis ça recommence
Comme il est compliqué de se montrer tel qu’on est, fragile et qu’il est facile de jouer les malheureux et de juger les imbéciles, de se croire au-dessus du lot pour mieux ensuite se rabaisser
Et se trouver mauvais et con
Comme nous l’apprend la religion
Et quand tu comprendras enfin que ce grand tout ne tient à rien
Tu pourras prendre la vie comme elle vient
Et l’adorer d'un amour solide et sans fin
Il te faudra bien d’avantage
Que de la fougue et du courage
Personne ne mérite une bride à son cou
Tu n’es pas un agneau ni le petit du loup