Les boîtes by Lofofora Lyrics
Cette fois, nous voilà plus près de la fin que du début
J’essaie encore d’avancer parfois même j’évolue
Déjà je ne vois plus la vie comme un rébus
On ne peut pas tout avoir comme on l’aurait voulu
Il y a des fois où la limite est floue
Entre l’essentiel et le superflu
Y’aurait de quoi devenir fou
Quand la frustration reste à l’affut
C’est comme un couloir sans fin
Où se confondent l’appétit et la faim
Ca ressemble à un puits sans fond
On ne voit plus ni le plancher ni le plafond
Ainsi vont vont les petites gens honnêtes
Abreuvées de sornettes le soir le matin
Afin qu’un prophète s’empare des manettes
Avec un super slogan qui ratisse loin
Plusieurs têtes pour un seul refrain
On est tous sœurs et frères si ça va encore bien
On retournera nos vestes peut être demain
T’inquiète si ça empeste on s’en lavera les mains
Faut mettre des boites dans les boites jusqu’à temps que ça éclate
Faut mettre des cases dans les cases même si ça nous écrase
Alors on fait des phrases dans les phrases allons enfants de la crise
Retirez vos doigts de la prise j’ai encore oublié de fermer le gaz
Dans l’infini désert aride
Seul le vertige dirige et l’ennemi c’est le vide
Au péril de nos vies sordides
Les techniques ancestrales n’ont pas pris une ride
Vous m’en voyez navré mais le roi c’est l’avide
Ca fait des tas de bordels en terrils qui s’oxydent
Des tonnes de fûts toxiques transpirent de l’acide
Comme investissement sur futur génocide
On empile On remplit
Tant que ça rentre à coup de lattes
Prédateurs accomplis
Comme toujours on s’en jette derrière la cravate
Fini les temps modernes voici les temps révolus
L’avenir paraît terne déjà qu’on en peut plus
Le morale est en berne et en quête d’absolu
Pour nous les gars d’ la gamberge il n’y a guère de salut
Avant de mourir de rire ne m’en voulez pas
Mais parfois, tu vois J’aimerais ça, tout voir voler en éclats
J’essaie encore d’avancer parfois même j’évolue
Déjà je ne vois plus la vie comme un rébus
On ne peut pas tout avoir comme on l’aurait voulu
Il y a des fois où la limite est floue
Entre l’essentiel et le superflu
Y’aurait de quoi devenir fou
Quand la frustration reste à l’affut
C’est comme un couloir sans fin
Où se confondent l’appétit et la faim
Ca ressemble à un puits sans fond
On ne voit plus ni le plancher ni le plafond
Ainsi vont vont les petites gens honnêtes
Abreuvées de sornettes le soir le matin
Afin qu’un prophète s’empare des manettes
Avec un super slogan qui ratisse loin
Plusieurs têtes pour un seul refrain
On est tous sœurs et frères si ça va encore bien
On retournera nos vestes peut être demain
T’inquiète si ça empeste on s’en lavera les mains
Faut mettre des boites dans les boites jusqu’à temps que ça éclate
Faut mettre des cases dans les cases même si ça nous écrase
Alors on fait des phrases dans les phrases allons enfants de la crise
Retirez vos doigts de la prise j’ai encore oublié de fermer le gaz
Dans l’infini désert aride
Seul le vertige dirige et l’ennemi c’est le vide
Au péril de nos vies sordides
Les techniques ancestrales n’ont pas pris une ride
Vous m’en voyez navré mais le roi c’est l’avide
Ca fait des tas de bordels en terrils qui s’oxydent
Des tonnes de fûts toxiques transpirent de l’acide
Comme investissement sur futur génocide
On empile On remplit
Tant que ça rentre à coup de lattes
Prédateurs accomplis
Comme toujours on s’en jette derrière la cravate
Fini les temps modernes voici les temps révolus
L’avenir paraît terne déjà qu’on en peut plus
Le morale est en berne et en quête d’absolu
Pour nous les gars d’ la gamberge il n’y a guère de salut
Avant de mourir de rire ne m’en voulez pas
Mais parfois, tu vois J’aimerais ça, tout voir voler en éclats