Les Fauves by Lofofora Lyrics
Non, ça ne fût pas tellement dur à comprendre
Mais cette fois je n’ai rien trouvé à lui répondre
D’autres viennent pour se plaindre ou finissent par se pendre
Moi j’ai quitté le bureau, sans un mot, sans esclandre
Alors que j’aurais dû lui crever la panse
Il aurait su comme ça, au moins ce que j’en pense
Qu’il le connaisse, ce mauvais sang qui me chauffe
Sa sale gueule encastrée là, dans le coin du coffre
À l’heure où s’abreuvent les fauves
Dès lors que l’un de nous succombe
L’homme apprivoisé, lui suppose
Que tout cela doit servir à quelque chose
Quand j’ai rendu ma carte, mes tickets de réfectoire
L’autre tocard m’a souhaité un avenir prospère
Là où j’en suis, j’espère pouvoir tenir l’hiver
Et avoir quelques amis dans mon répertoire
Mais j’ai trop trimé je ne suis plus qu’un travail
Cabossé, laminé à jamais incapable
Seulement d’imaginer affronter ces chacals
Prêts à s’entretuer pour rester rentables
Tu connais pas ta chance de ramasser les miettes
Alors tiens la cadence faut jamais qu’ça s’arrête
Le tranchant de la lame au-dessus de ta tête
Mais cette fois je n’ai rien trouvé à lui répondre
D’autres viennent pour se plaindre ou finissent par se pendre
Moi j’ai quitté le bureau, sans un mot, sans esclandre
Alors que j’aurais dû lui crever la panse
Il aurait su comme ça, au moins ce que j’en pense
Qu’il le connaisse, ce mauvais sang qui me chauffe
Sa sale gueule encastrée là, dans le coin du coffre
À l’heure où s’abreuvent les fauves
Dès lors que l’un de nous succombe
L’homme apprivoisé, lui suppose
Que tout cela doit servir à quelque chose
Quand j’ai rendu ma carte, mes tickets de réfectoire
L’autre tocard m’a souhaité un avenir prospère
Là où j’en suis, j’espère pouvoir tenir l’hiver
Et avoir quelques amis dans mon répertoire
Mais j’ai trop trimé je ne suis plus qu’un travail
Cabossé, laminé à jamais incapable
Seulement d’imaginer affronter ces chacals
Prêts à s’entretuer pour rester rentables
Tu connais pas ta chance de ramasser les miettes
Alors tiens la cadence faut jamais qu’ça s’arrête
Le tranchant de la lame au-dessus de ta tête