Amertume by Kurdenn Lyrics
J'vais encore parler de moi, mais cette fois du moi d'avant
Pas d'ce corps chargé de balles mais, d'ce p'tit gars vaillant
Pas attiré par le chant des sirènes, mais bercé par le chant de ma mère
Encore loin d'ces langues de vipères, je ne pensais qu'à faire fondre la neige
Mes tempêtes étaient paisibles, sous la grande vague au large
Déjà j’estampais mes écrits, mais c'était l'ennui devant c'tableau noir
J'me voyais p'tit génie, célèbre chanteur, ou grand acrobate
Avant que mes pires ennemis détruisent mon semblant d'château de sable
J'revais d'être Peter Parker pour tisser des toiles
Et j'admirais Skywalker briser l'étoile noire
J'm'isolais parfois, le temps de crier ma rage
J'pigeais déjà pas comment attiser ma flamme
Mes premières amertumes de l'amour
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine
Au fait, merci papa et maman de m'avoir mis au monde
Mais pourquoi tant de malheur émane de moi, mon tonnerre gronde
Couleur rouge sang : elle est comme ça la vie
L'enfer est-il ici-bas au milieu de tous ces parasites ?
J'le dis bien si calme, nous sommes tous des parasites
On essaie tous d'approcher le bonheur mais il n'a pas d'amis
Comme nous, il avance en solitaire ouais
Il a lâché la partie, quand argent est devenu oxygène
J'comprenais pas, pourquoi ils dansent avec la mort et toujours pas d'ailleurs
Pourquoi prennent-ils les armes pour des violons ?
Ça n'arrive que dans les longs métrages, c'est ce que je me disais à tort
J'voulais être bagarreur sauver des vies partir au front
Mes premières amertumes de l'amours
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine
Grâce à ma mère, jeunesse d'or j'ai eu
Face à la merde elle s'est dévouée corps et plume
Une hirondelle en cage et sans le savoir j'en était le possesseur
Elle était capable d'arracher le mal que ma prose effleure
Et elle et moi, on joue à cache cache avec ses peines
Elle les masque si bien
En octobre promis j'lui offrirai des poussières d'étoiles pour qu'elles s'éteignent
Et elle et moi, on joue au loup avec mes rêves
Ça semble si facile, tiens
Mais quand elle verse des larmes secrètement c'est là que mes cauchemards s'éveillent
Mes premières amertumes de l'amours
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine
Pas d'ce corps chargé de balles mais, d'ce p'tit gars vaillant
Pas attiré par le chant des sirènes, mais bercé par le chant de ma mère
Encore loin d'ces langues de vipères, je ne pensais qu'à faire fondre la neige
Mes tempêtes étaient paisibles, sous la grande vague au large
Déjà j’estampais mes écrits, mais c'était l'ennui devant c'tableau noir
J'me voyais p'tit génie, célèbre chanteur, ou grand acrobate
Avant que mes pires ennemis détruisent mon semblant d'château de sable
J'revais d'être Peter Parker pour tisser des toiles
Et j'admirais Skywalker briser l'étoile noire
J'm'isolais parfois, le temps de crier ma rage
J'pigeais déjà pas comment attiser ma flamme
Mes premières amertumes de l'amour
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine
Au fait, merci papa et maman de m'avoir mis au monde
Mais pourquoi tant de malheur émane de moi, mon tonnerre gronde
Couleur rouge sang : elle est comme ça la vie
L'enfer est-il ici-bas au milieu de tous ces parasites ?
J'le dis bien si calme, nous sommes tous des parasites
On essaie tous d'approcher le bonheur mais il n'a pas d'amis
Comme nous, il avance en solitaire ouais
Il a lâché la partie, quand argent est devenu oxygène
J'comprenais pas, pourquoi ils dansent avec la mort et toujours pas d'ailleurs
Pourquoi prennent-ils les armes pour des violons ?
Ça n'arrive que dans les longs métrages, c'est ce que je me disais à tort
J'voulais être bagarreur sauver des vies partir au front
Mes premières amertumes de l'amours
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine
Grâce à ma mère, jeunesse d'or j'ai eu
Face à la merde elle s'est dévouée corps et plume
Une hirondelle en cage et sans le savoir j'en était le possesseur
Elle était capable d'arracher le mal que ma prose effleure
Et elle et moi, on joue à cache cache avec ses peines
Elle les masque si bien
En octobre promis j'lui offrirai des poussières d'étoiles pour qu'elles s'éteignent
Et elle et moi, on joue au loup avec mes rêves
Ça semble si facile, tiens
Mais quand elle verse des larmes secrètement c'est là que mes cauchemards s'éveillent
Mes premières amertumes de l'amours
Mes premiers aperçus de la mort
Mes premières secousses avant qu'la peur vienne
Changèrent un cœur rouge en cœur d'haine