Se Relever by Keurspi Lyrics
Verse 1
On a eu des passes difficiles, humides sont les cils
Moral file, est en exil, nos vies qui tiennent sur le fil
Ici l’espoir se deal, kill peur, les cœurs deviennent vils
Dans la ville ne tremble pas pour tirer dans le mille
Comme Scofield, je mets toute ma chair pour la liberté
Certains voudraient me mettre à poil et pas que depuis la puberté
On cherche et dans nos têtes c’est toute l’année l’été
On ressent le manque d’un gosse d’une mère qui n’a pas allaité
Les démons rodent, les yeux brillent mais loin de l’émeraude
L’amour déçoit et c’est des cœurs en pierre que l’on se brode
On reste good même quand c’est bad, reste peace quand tout se dégrade
Toujours les mêmes faibles qui morfleront tant qu’il y aura des grades
Dur de rester vrai là où tout est faussé
La chaussée glisse, aller trop vite c’est aller dans le fossé
Prends le temps de réfléchir, de ton âme l’élever
Même les genoux à terre, je dois me relever
Refrain x2
Il faut se relever, nos esprits les élever
On le sait, la vie c’est difficile, combien se perdent à saliver
Plus de temps à perdre, il faut se soulever
Plus le moment de se plaindre d’être mal dans nos souliers
Verse 2
On passe plus de temps à se plaindre qu’à trouver des solutions
Baisser les bras c’est faire que la débrouille elle souffre d’hydrocution
Rien ne se règle en mettant le vouloir sur un cintre
La vie un tableau, à toi d’y mettre les bonnes couleurs tel un peintre
Faire des choix, c’est accomplir le taf d’un potier
Je n‘irai pas chercher réponse à mes questions jusqu’à Poitier
Ni m’apitoyer, foutre la merde et puis me tailler
Je garde le fil, en couturier, belle vie je veux te côtoyer
Des cèdres décèdent noyés dans des cendres
J’ai la migraine à la graine, combien rêvent de nous descendre
Dans nos corps y’a plus de saisons, mon cœur est un mois de décembre
En quête de lumière, à l’horizon y’a plus que des ombres
Lassé d’embrasser lèvres, rêves glacés
Blasé de rasé la trêve, j’élève mon blaze et
Prône l’humilité quitte à passer pour un maboul
Pourvu que mon message de paix résonne jusqu’à Kaboul
Refrain x2
Verse 3
Je lève mon verre, élève mes vers à ceux qui se lavent des laves d’Enfer
Délaisse les larves qui cessent de faire et love ceux qui ne se lassent d’en faire
J’admire ce fils qui gère sa famille lorsqu’il perd le père
Je parle de paires, garde en mémoire ces filles déportées vers Le Caire
La force d’une future mère devant opter pour l’IVG
Si l’amour est ce poids à chaque page, alors son livre j’ai
À force de le lire, sa couverture est ouvragée
Courageux ces anciens combattants oubliés, finissent pauvres âgés
Je vénère victimes de guerre, survivent en terre minée
Alors qu’ici lorsque l’emploi il perd, pense que sa vie est terminée
J’ai honte de voir ceux-là te tendre leur dernier grain de riz
Tandis qu’ici, mendier du pain c’est se transformer en grand du rire
Je respecte tous ces guerriers de la vie, mon géniteur
Le goût de l’envie de soi-disant débiles à qui l’on a pris des gènes à tord
À ceux qui restent humbles, n’étalent pas leurs galères
Entre piège et objectifs, qui s’improvisent intercalaires
Refrain x2
On a eu des passes difficiles, humides sont les cils
Moral file, est en exil, nos vies qui tiennent sur le fil
Ici l’espoir se deal, kill peur, les cœurs deviennent vils
Dans la ville ne tremble pas pour tirer dans le mille
Comme Scofield, je mets toute ma chair pour la liberté
Certains voudraient me mettre à poil et pas que depuis la puberté
On cherche et dans nos têtes c’est toute l’année l’été
On ressent le manque d’un gosse d’une mère qui n’a pas allaité
Les démons rodent, les yeux brillent mais loin de l’émeraude
L’amour déçoit et c’est des cœurs en pierre que l’on se brode
On reste good même quand c’est bad, reste peace quand tout se dégrade
Toujours les mêmes faibles qui morfleront tant qu’il y aura des grades
Dur de rester vrai là où tout est faussé
La chaussée glisse, aller trop vite c’est aller dans le fossé
Prends le temps de réfléchir, de ton âme l’élever
Même les genoux à terre, je dois me relever
Refrain x2
Il faut se relever, nos esprits les élever
On le sait, la vie c’est difficile, combien se perdent à saliver
Plus de temps à perdre, il faut se soulever
Plus le moment de se plaindre d’être mal dans nos souliers
Verse 2
On passe plus de temps à se plaindre qu’à trouver des solutions
Baisser les bras c’est faire que la débrouille elle souffre d’hydrocution
Rien ne se règle en mettant le vouloir sur un cintre
La vie un tableau, à toi d’y mettre les bonnes couleurs tel un peintre
Faire des choix, c’est accomplir le taf d’un potier
Je n‘irai pas chercher réponse à mes questions jusqu’à Poitier
Ni m’apitoyer, foutre la merde et puis me tailler
Je garde le fil, en couturier, belle vie je veux te côtoyer
Des cèdres décèdent noyés dans des cendres
J’ai la migraine à la graine, combien rêvent de nous descendre
Dans nos corps y’a plus de saisons, mon cœur est un mois de décembre
En quête de lumière, à l’horizon y’a plus que des ombres
Lassé d’embrasser lèvres, rêves glacés
Blasé de rasé la trêve, j’élève mon blaze et
Prône l’humilité quitte à passer pour un maboul
Pourvu que mon message de paix résonne jusqu’à Kaboul
Refrain x2
Verse 3
Je lève mon verre, élève mes vers à ceux qui se lavent des laves d’Enfer
Délaisse les larves qui cessent de faire et love ceux qui ne se lassent d’en faire
J’admire ce fils qui gère sa famille lorsqu’il perd le père
Je parle de paires, garde en mémoire ces filles déportées vers Le Caire
La force d’une future mère devant opter pour l’IVG
Si l’amour est ce poids à chaque page, alors son livre j’ai
À force de le lire, sa couverture est ouvragée
Courageux ces anciens combattants oubliés, finissent pauvres âgés
Je vénère victimes de guerre, survivent en terre minée
Alors qu’ici lorsque l’emploi il perd, pense que sa vie est terminée
J’ai honte de voir ceux-là te tendre leur dernier grain de riz
Tandis qu’ici, mendier du pain c’est se transformer en grand du rire
Je respecte tous ces guerriers de la vie, mon géniteur
Le goût de l’envie de soi-disant débiles à qui l’on a pris des gènes à tord
À ceux qui restent humbles, n’étalent pas leurs galères
Entre piège et objectifs, qui s’improvisent intercalaires
Refrain x2