De quoi es-tu si sûr ? by Keny Arkana Lyrics
[Couplet 1]
De quoi es-tu si sûr, la vie, la mort, le dilemme ?
Le souffle, l’Esprit de l’Homme, sa relation à lui-même ?
Les Forces qui le maintiennent, les Forces qui l’animèrent
Son rapport à l’animal, aux plantes et au petit règne
Sa place sur terre, sa difficulté à s’y faire
Ses désirs impossibles à satisfaire
Cette éternelle quête de bonheur
Ce besoin de chercher ailleurs
Quand la profondeur intérieure reste encore un mystère
De quoi es-tu si sûr, des limites et limitations ?
Droits, carrés, bien rangés d’une petite façon
Au rythme des vacances, des soldes, des liquidations
Est-ce que la vie active peut au final mener à l’inaction ?
J’nous le demande, j’ai encore plein de questions !
Non messieurs ! Les questions ça méritent pas d’objections
Qui a le courage de quitter ses schémas de protection ?
Et de fouiller derrière ses propres projections ?
Dis-moi qui ?
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
[Couplet 2]
De quoi es-tu si sûr ?
Discernes-tu l’inconnu et l’absence ?
Le rêve et la réalité si tu fermes tes cinq sens ?
Fais-tu la différence entre attente et patience ?
Et entre manque d’audace et pas de chance ?
Arrives-tu à percevoir derrière les apparences
À distinguer le chemin entre le malaise et la carence ?
À écouter l’intuition jusqu’à sentir à l’avance
De ne pas faire tienne une vérité qui au fond de toi n’a pas de sens ?
De quoi es-tu si sûr ? De quoi as-tu si peur ?
Sais-tu te préserver des pressions extérieures ?
Face aux dogmes et aux passions pleines d’aigreur
Même face à la majorité, rester fidèle au sceau que porte ton cœur
Peux-tu te faire tes idées propres sans jamais t’enfermer dedans et tout en écoutant l’autre ?
Voir ce qui nous unit, plutôt que ce qui nous divise
À l’heure où on se demande qui est le plus humain entre l’animal et l’homme
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
[Couplet 3]
De quoi es-tu si sûr ?
À quoi t’identifies-tu ?
Vois-tu qu’il y a autant de chemins qu’il y a d’individus ?
Tous les rayons mènent au soleil et les comparer serait trop bête, la Lumière est une et Indivisible
Pourquoi parler d’unité est bien difficile ?
À qui profite que tout le monde se divise, depuis quinze, dix piges ?
Les politiques de plus en plus insipides
Violents et sans limites souvent avec médias comme assise
Quelle liberté quand les choix sont minimes ?
On en est là ! À hésiter entre la peste et le choléra !
Sachant que les deux jouent des manigances les moins tolérables
Ce n’est pas à la guirlande, mais à ses fruits, que l’on reconnaît l’arbre !
Es-tu si sûr à t’y jeter corps et âme ?
Sais-tu prendre du recul même avec un cœur au bord des larmes ?
Discernes-tu la grandeur de l’humble ?
Passe la tornade, la ville trépasse mais le brin d’herbe est encore là !
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sûr, la vie, la mort, le dilemme ?
Le souffle, l’Esprit de l’Homme, sa relation à lui-même ?
Les Forces qui le maintiennent, les Forces qui l’animèrent
Son rapport à l’animal, aux plantes et au petit règne
Sa place sur terre, sa difficulté à s’y faire
Ses désirs impossibles à satisfaire
Cette éternelle quête de bonheur
Ce besoin de chercher ailleurs
Quand la profondeur intérieure reste encore un mystère
De quoi es-tu si sûr, des limites et limitations ?
Droits, carrés, bien rangés d’une petite façon
Au rythme des vacances, des soldes, des liquidations
Est-ce que la vie active peut au final mener à l’inaction ?
J’nous le demande, j’ai encore plein de questions !
Non messieurs ! Les questions ça méritent pas d’objections
Qui a le courage de quitter ses schémas de protection ?
Et de fouiller derrière ses propres projections ?
Dis-moi qui ?
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
[Couplet 2]
De quoi es-tu si sûr ?
Discernes-tu l’inconnu et l’absence ?
Le rêve et la réalité si tu fermes tes cinq sens ?
Fais-tu la différence entre attente et patience ?
Et entre manque d’audace et pas de chance ?
Arrives-tu à percevoir derrière les apparences
À distinguer le chemin entre le malaise et la carence ?
À écouter l’intuition jusqu’à sentir à l’avance
De ne pas faire tienne une vérité qui au fond de toi n’a pas de sens ?
De quoi es-tu si sûr ? De quoi as-tu si peur ?
Sais-tu te préserver des pressions extérieures ?
Face aux dogmes et aux passions pleines d’aigreur
Même face à la majorité, rester fidèle au sceau que porte ton cœur
Peux-tu te faire tes idées propres sans jamais t’enfermer dedans et tout en écoutant l’autre ?
Voir ce qui nous unit, plutôt que ce qui nous divise
À l’heure où on se demande qui est le plus humain entre l’animal et l’homme
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
[Couplet 3]
De quoi es-tu si sûr ?
À quoi t’identifies-tu ?
Vois-tu qu’il y a autant de chemins qu’il y a d’individus ?
Tous les rayons mènent au soleil et les comparer serait trop bête, la Lumière est une et Indivisible
Pourquoi parler d’unité est bien difficile ?
À qui profite que tout le monde se divise, depuis quinze, dix piges ?
Les politiques de plus en plus insipides
Violents et sans limites souvent avec médias comme assise
Quelle liberté quand les choix sont minimes ?
On en est là ! À hésiter entre la peste et le choléra !
Sachant que les deux jouent des manigances les moins tolérables
Ce n’est pas à la guirlande, mais à ses fruits, que l’on reconnaît l’arbre !
Es-tu si sûr à t’y jeter corps et âme ?
Sais-tu prendre du recul même avec un cœur au bord des larmes ?
Discernes-tu la grandeur de l’humble ?
Passe la tornade, la ville trépasse mais le brin d’herbe est encore là !
[Refrain]
Mais où vas-tu avec tes suffisances ?
Même l’univers s’expand, chaque jour que Dieu fait !
Le soleil ne brille pas que dans un sens
Et ne se lève pas quand tu l’crois se lever
De quoi es-tu si sur, mon ami ?
De quoi es-tu si sur, mon ami ?