Deviens quelquun by Kaotik Lyrics
Toi, tu ferais quoi à ma place ?
Toi, tu ferais quoi à ma place ?
Tu attendrais de voir le monde tourner ?
En attendant le voir se consumaient
Tu attends ton heure sur les bancs du quartier en fumant des joints Tes rêves partir en fumée
T’as la chance d’avoir des parents qui t’aiment
T’as la chance d’avoir des amis qui t’aident
Poto j’ai connu le foyer la Dass la crasse et ce passé qui te malmène
J’ai toujours bossé pour devenir quelqu’un
Je n’ai jamais voulu fairе comme les autres
Sеul sur le quai je suis monté dans le train
Je n’ai pas attendu que la chance tape à ma porte
Ma porte…
Il n’y avait personne pour l’ouvrir
J’ai squatté la rue toute la nuit
Y avait personne pour m’dire rentre, rentre…
Viens dormir maintenant…
Mais moi j’ai refusé de dormir
Je voulais devenir quelqu’un
Je me suis remis en question, j’ai bossé pour devenir un gars bien
J’ai bâti mon monde avec peu d’choses
Un peu d’amour et beaucoup d’proses
J’ai fuis mes problèmes
Gardé ceux que j’aime
La musique dans mes veines à grosses doses
Je rêve de te donner l’envie de te surpasser pour que tu devienne quelqu’un
Je rêve de te voir en haut de l’affiche, je rêve de te voir assis dans le même train
Je rêve de te voir vivre sans addictions
Ma vie peu devenir ta partition
Mon passé peu te servir de leçon
Si tu m’cherche j’suis derrière ton dos…
Seul le ciel peut devenir ta limite
Tu rêve de toucher la lune assis sur les bancs du quartier
Noyer dans la fumée de ton herbe et de ton shit
Je n’ai jamais croisé la chance dans nos escaliers
Alors bosse, bosse, bosse deviens quelqu’un
Ne laisse jamais personne guider tes rêves
Bosse, bosse, bosse, deviens quelqu’un
En guerre contre moi même je ne connais pas la trêve
Seul le ciel peut devenir ta limite
Tu rêve de toucher la lune assis sur les bancs du quartier
Noyer dans la fumée de ton herbe et de ton shit
Je n’ai jamais croisé la chance dans nos escaliers
Alors bosse, bosse, bosse deviens quelqu’un
Ne laisse jamais personne guider tes rêves
Bosse, bosse, bosse, deviens quelqu’un
En guerre contre moi même je ne connais pas la trêve
Toi, tu ferais quoi à ma place ?
Tu attendrais de voir le monde tourner ?
En attendant le voir se consumaient
Tu attends ton heure sur les bancs du quartier en fumant des joints Tes rêves partir en fumée
T’as la chance d’avoir des parents qui t’aiment
T’as la chance d’avoir des amis qui t’aident
Poto j’ai connu le foyer la Dass la crasse et ce passé qui te malmène
J’ai toujours bossé pour devenir quelqu’un
Je n’ai jamais voulu fairе comme les autres
Sеul sur le quai je suis monté dans le train
Je n’ai pas attendu que la chance tape à ma porte
Ma porte…
Il n’y avait personne pour l’ouvrir
J’ai squatté la rue toute la nuit
Y avait personne pour m’dire rentre, rentre…
Viens dormir maintenant…
Mais moi j’ai refusé de dormir
Je voulais devenir quelqu’un
Je me suis remis en question, j’ai bossé pour devenir un gars bien
J’ai bâti mon monde avec peu d’choses
Un peu d’amour et beaucoup d’proses
J’ai fuis mes problèmes
Gardé ceux que j’aime
La musique dans mes veines à grosses doses
Je rêve de te donner l’envie de te surpasser pour que tu devienne quelqu’un
Je rêve de te voir en haut de l’affiche, je rêve de te voir assis dans le même train
Je rêve de te voir vivre sans addictions
Ma vie peu devenir ta partition
Mon passé peu te servir de leçon
Si tu m’cherche j’suis derrière ton dos…
Seul le ciel peut devenir ta limite
Tu rêve de toucher la lune assis sur les bancs du quartier
Noyer dans la fumée de ton herbe et de ton shit
Je n’ai jamais croisé la chance dans nos escaliers
Alors bosse, bosse, bosse deviens quelqu’un
Ne laisse jamais personne guider tes rêves
Bosse, bosse, bosse, deviens quelqu’un
En guerre contre moi même je ne connais pas la trêve
Seul le ciel peut devenir ta limite
Tu rêve de toucher la lune assis sur les bancs du quartier
Noyer dans la fumée de ton herbe et de ton shit
Je n’ai jamais croisé la chance dans nos escaliers
Alors bosse, bosse, bosse deviens quelqu’un
Ne laisse jamais personne guider tes rêves
Bosse, bosse, bosse, deviens quelqu’un
En guerre contre moi même je ne connais pas la trêve