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Automne by Kampa Lyrics

Genre: rap | Year: 2020

Les jours sont de plus en plus courts, les gens de plus en plus fous
J’vais pas attendre que le temps s’écourte, ou que les barrières s’écroulent
J’suis dans la Tanière c’est cool mais
Faut taffer pour les études et ses couplets
Faut les pécules de l’humain c’est le couperet
Combien sans but finiront dégoutés d’tout
La seule mission c’est devenu de dégotter le double
J’démarre de l’automne, j’finis en été, j’fais toutes les saisons
Démarche de robot, physique en CD, t’écoutes mes vrais songes
Et j’sais pas combien de temps ça prendra pour avoir tout dit
Combien de temps j’dispose avant de me voir mourir
Cerveau plongé dans les souvenirs, j’suis dans la joie dans les sourires
Combien de temps avant que je l’oublie?

Près de mon tour de sommeil, j’sens plus trop les tours de soleil
Loin du sommet, j’vois qu’des plans tirés sur comète
Que des promesses, qui tiendront que si on est honnêtes
Genre j’m’y connais en l’avenir, genre y’a juste à l’dire et le commettre

C’est souvent pas c’qu’on prévoit, on a que rarement raison
J’me fie qu’au ciel qu’aux étoiles, j’me fie qu’aux siècles aux saisons
J’ai l’groove j’ai l’blues de l’automne, entre l’espace et les tréfonds
Si j’bouge y’a rien d’monotone, j’attends que le succès réponde
C’est souvent pas c’qu’on prévoit, on a que rarement raison
J’me fie qu’au ciel qu’aux étoiles, j’me fie qu’aux siècles aux saisons
J’ai l’groove j’ai l’blues de l’automne, entre l’espace et les tréfonds
Si j’bouge y’a rien d’monotone, j’attends que le succès réponde
J’enchaine les maquettes les prototypes, 4 heures du matin comportement robotique
Toute la ville sous opiacés ou sous opioïdes, genre plaisir certain mais dépendance corrosive
J’vois les chemins du vice je les vesqui, sers toi de leurs erreurs comme une esquisse
Le mal par le mal c’est cercle vicieux, donc on fait nos affaires et on laisse pisser
J’vois les hommes comme des animaux, pour les faire dégager la pluie sert
Jouer sa vie c’est pas si drôle, deux cranes éclatés dans des appuie-têtes
Pour un paris d’trop, jouer sa vie pour se sentir vivre
Réparer la mort, pour ça y’a pas de scientifique
Donc on anticipe, pour dans 5 ans ou pour dans dix piges
J’cours dans l’instant, le futur rend visite, on le voit pas maintenant l’travail rend visible
Du coup on taff dur on taff, met le cap sur les montagnes
J’mets le time sur les montages, et le calme sur les bons tracks


Près de mon tour de sommeil, j’sens plus trop les tours de soleil
Loin du sommet, j’vois qu’des plans tirés sur comète
Que des promesses, qui tiendront que si on est honnêtes
Genre j’m’y connais en l’avenir, genre y’a juste à l’dire et le commettre

C’est souvent pas c’qu’on prévoit, on a que rarement raison
J’me fie qu’au ciel qu’aux étoiles, j’me fie qu’aux siècles aux saisons
J’ai l’groove j’ai l’blues de l’automne, entre l’espace et les tréfonds
Si j’bouge y’a rien d’monotone, j’attends que le succès réponde
C’est souvent pas c’qu’on prévoit, on a que rarement raison
J’me fie qu’au ciel qu’aux étoiles, j’me fie qu’aux siècles aux saisons
J’ai l’groove j’ai l’blues de l’automne, entre l’espace et les tréfonds
Si j’bouge y’a rien d’monotone, j’attends que le succès réponde