Les Nuits De Solitude by Jean-Jacques Goldman Lyrics
On s'était dit : "Peut-être que c'est mieux
On n'est pas forcément heureux à deux
Séparons-nous, oublions si l'on peut
Ça va être dur pendant un mois ou deux."
Un mois ou deux ou bien peut-être plus
Réapprendre à vivre seul et tenir
Rompre les liens serrés par l'habitude
Tout en attendant les moments, les pires
Oh ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Le matin que l'on a vu arriver
Se lever sans réfléchir, s'habiller
Sortir dans la rue, rencontrer des gens
Sourir et oublier jusqu'au moment...
Oh ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Se rencontrer par hasard et jouer
Parler sans rien dire mais se regarder
Et puis ces heures devant le téléphone
La tête dans les mains en attendant qu'ça sonne
Et ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
On n'est pas forcément heureux à deux
Séparons-nous, oublions si l'on peut
Ça va être dur pendant un mois ou deux."
Un mois ou deux ou bien peut-être plus
Réapprendre à vivre seul et tenir
Rompre les liens serrés par l'habitude
Tout en attendant les moments, les pires
Oh ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Le matin que l'on a vu arriver
Se lever sans réfléchir, s'habiller
Sortir dans la rue, rencontrer des gens
Sourir et oublier jusqu'au moment...
Oh ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Se rencontrer par hasard et jouer
Parler sans rien dire mais se regarder
Et puis ces heures devant le téléphone
La tête dans les mains en attendant qu'ça sonne
Et ces nuits, ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps
Ces nuits de solitude
Les yeux ouverts, le plafond blanc, le bruit du temps
Qui passe et se bouscule
Des images que l'on chasse mais qui reviennent tout le temps