Peintures by Jean Guidoni Lyrics
Un Jésus et sa cour
La descente de croix
Il faut durcir le trait
Adoucir les contours
Indélébiles couleurs
Tant de gris délavés
Où sont passés les bleus
Les jaunes et puis les verts
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
Mon regard s'est brouillé
Rose et rouge noyés
Mes mains sont en colère
J'ai encore trop fumé
Les odeurs se mélangent
J'ai fermé les volets
C'est la vie qui dérange
Au dehors au-dedans
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
C'est de l'encre de chine
Sur une plume de paon
Le papier se déchire
Car il n'a pas la force
Pas plus que moi d'ailleurs
De marchander le pire
J'allume la télé
Economie de marché
Intégrants intégrés
Chômeurs et salariés
Prenons le même bain
Salissons-nous les mains
Avec ces battons gras
Qu'on nous donne à toucher
Il est très prétentieux
De penser et de croire
Qu'il n'y a pas de hasard
Tu me voyais en bleu
Je ne t'offre que du noir
Il faut tuer nos dieux
Rayer le mot destin
Je gomme mon dessin
J'en recommence un autre
Un Jésus et sa cour
La descente de croix
Il faut durcir le trait
Adoucir les contours
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
(Merci à annie pour cettes paroles)
La descente de croix
Il faut durcir le trait
Adoucir les contours
Indélébiles couleurs
Tant de gris délavés
Où sont passés les bleus
Les jaunes et puis les verts
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
Mon regard s'est brouillé
Rose et rouge noyés
Mes mains sont en colère
J'ai encore trop fumé
Les odeurs se mélangent
J'ai fermé les volets
C'est la vie qui dérange
Au dehors au-dedans
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
C'est de l'encre de chine
Sur une plume de paon
Le papier se déchire
Car il n'a pas la force
Pas plus que moi d'ailleurs
De marchander le pire
J'allume la télé
Economie de marché
Intégrants intégrés
Chômeurs et salariés
Prenons le même bain
Salissons-nous les mains
Avec ces battons gras
Qu'on nous donne à toucher
Il est très prétentieux
De penser et de croire
Qu'il n'y a pas de hasard
Tu me voyais en bleu
Je ne t'offre que du noir
Il faut tuer nos dieux
Rayer le mot destin
Je gomme mon dessin
J'en recommence un autre
Un Jésus et sa cour
La descente de croix
Il faut durcir le trait
Adoucir les contours
Les gouaches sur mes mains
Se sont entremêlées
Je laisse sur les murs
Des traces de peinture
(Merci à annie pour cettes paroles)