Géo Polifric/À laube dune guerre mondialisée by James Deano Lyrics
[Couplet unique]
À l'aube d'une guerre mondialisée
En droit de me poser des questions sur notre avenir, balisé
Réalisant que le pire reste à venir
Validées sont les actions des belliqueux qui nous gouvernent
Tant qu'on est silencieux, qui ne dit mot consent, chers messieurs
Le temps de réaliser de la gravité de la chose, ça va faire boom
Le fric est mis en cause et diabolisés sont les pachtounes,
Mahmoud bien considéré comme un tyran
Mais qui soutient les fils de chien comme Pinochet et le chah d'Iran ? Tu le sais bien
Les mêmes qui veulent nous faire la leçon aujourd'hui
Les mêmes bâtards qui considèrent l'humain comme un produit
J'ai pas confiance en leurs médias
Je les refuse dans l'immédiat
Chacun écrit ce qu'il veut comme sur Wikipédia
Certains ont suivi le Diable, pris à parti comment leur faire la Morale ?
Je suis qu'un artiste qui veut comprendre l'Empire d'Alain Soral ?
Mais qui veut surtout faire du cash money
Je n'ai toujours pensé qu'à ma putain de ganache je le reconnais
Sans culture, sans panache, sans Kalashnikov
Je me balade dans un pays où l’austérité frappe comme les matraques de keuf
En faillite comme au pays de Nikos,
Là où les jeunes servent au MacDo et vont se bourrer la gueule aux mojitos
Ça m'a scié de voir la Syrie entre quatre planches
Tu ris mais l’Amérique et la Turquie sont responsables de ces tueries
L'OTAN c'est des bâtards
Les Alliés sont des putain de barbares
Sont financés par le putain de Qatar
C'est complexe et je comprends pas tout
Tout ce que je sais c'est qu'ils dressent des militaires pour obéir comme des toutous
Les Gazaouis sont Tutsis, massacrés par une poignée de Hutus
Quand des gosses meurent, c'est un crime c'est tout
Ces conneries avant j'en avais rien à foutre quand j'avais pas ma fille
Mais là je dois dire, ça me touche de voir qu'elle n'a peut-être pas d'avenir
Caché dans un buisson comme putain de paparazzi
Considère ce son comme une putain de photographie
J'ai pas la science infuse, je le concède
Essayer de donner son opinion, c'est juste le concept
James Deano, 2012 Boy
À l'aube d'une guerre mondialisée
En droit de me poser des questions sur notre avenir, balisé
Réalisant que le pire reste à venir
Validées sont les actions des belliqueux qui nous gouvernent
Tant qu'on est silencieux, qui ne dit mot consent, chers messieurs
Le temps de réaliser de la gravité de la chose, ça va faire boom
Le fric est mis en cause et diabolisés sont les pachtounes,
Mahmoud bien considéré comme un tyran
Mais qui soutient les fils de chien comme Pinochet et le chah d'Iran ? Tu le sais bien
Les mêmes qui veulent nous faire la leçon aujourd'hui
Les mêmes bâtards qui considèrent l'humain comme un produit
J'ai pas confiance en leurs médias
Je les refuse dans l'immédiat
Chacun écrit ce qu'il veut comme sur Wikipédia
Certains ont suivi le Diable, pris à parti comment leur faire la Morale ?
Je suis qu'un artiste qui veut comprendre l'Empire d'Alain Soral ?
Mais qui veut surtout faire du cash money
Je n'ai toujours pensé qu'à ma putain de ganache je le reconnais
Sans culture, sans panache, sans Kalashnikov
Je me balade dans un pays où l’austérité frappe comme les matraques de keuf
En faillite comme au pays de Nikos,
Là où les jeunes servent au MacDo et vont se bourrer la gueule aux mojitos
Ça m'a scié de voir la Syrie entre quatre planches
Tu ris mais l’Amérique et la Turquie sont responsables de ces tueries
L'OTAN c'est des bâtards
Les Alliés sont des putain de barbares
Sont financés par le putain de Qatar
C'est complexe et je comprends pas tout
Tout ce que je sais c'est qu'ils dressent des militaires pour obéir comme des toutous
Les Gazaouis sont Tutsis, massacrés par une poignée de Hutus
Quand des gosses meurent, c'est un crime c'est tout
Ces conneries avant j'en avais rien à foutre quand j'avais pas ma fille
Mais là je dois dire, ça me touche de voir qu'elle n'a peut-être pas d'avenir
Caché dans un buisson comme putain de paparazzi
Considère ce son comme une putain de photographie
J'ai pas la science infuse, je le concède
Essayer de donner son opinion, c'est juste le concept
James Deano, 2012 Boy